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13 October 2010
|

Le président syrien Bachar Al-Assad : Je n’ai pas “promis” de réforme

Voir les extraits vidéo sous-titrés en anglais sur MEMRI TV:
http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/207/0/2632.htm

Ci-dessous des extraits d’une interview du président syrien Bachar Al-Assad, diffusée sur la télévision turque en arabe TRT, le 7 octobre 2010:

“…nous n’avons d’autre choix que de mener la résistance.”

Présentateur: Jusqu’à quand et jusqu’à quel point la Syrie va-t-elle continuer à soutenir la résistance au Liban et en Palestine ? Après tout, vous en payez le prix. Vous devez faire face à des pressions internationales dues au soutien que vous apportez aux mouvement de résistance: le Hezbollah au Liban et les factions palestiniennes. Jusqu’où le soutien de la Syrie ira-t-il ?

Bachar El-Assad: Tant que nos droits seront confisqués, qu’il s’agisse de territoires, de souveraineté, de menaces, etc., nous suivrons cette voie. Nous n’avons pas le choix. Ce n’est pas comme si nous avions des dizaines de possibilités et que nous avions choisi celle-là, et ce n’est pas [non plus] que nous aimons la guerre et le combat. Nul n’aime la guerre et le combat à moins d’avoir perdu l’esprit. Mais avons-nous le choix ? Alors que les résolutions de l’ONU ne sont pas appliquées et que la politique internationale se trouve démunie de toute considération morale, alors que le pouvoir prend le pas sur la raison dans le monde, nous n’avons d’autre choix que de mener la résistance.

(…)

Présentateur: Malgré [l’existence de] relations entre les Etats-Unis, l’Europe et la Syrie, il arrive que ces pays accusent la Syrie de ne pas respecter les droits de l’Homme et vous accusent de ne pas tenir vos promesses en matière de réformes démocratiques. Quelle est la position de la Syrie face à ces accusations ?

“…je ne leur ai rien promis.”

Bachar El-Assad: D’abord, il n’y a pas lieu de faire des comparaisons. Nous n’avons pas de prisons comme Guantanamo ou Abou Ghraib. Nous n’avons pas occupé de territoires, fait des millions de morts, ni donné naissance à des millions de réfugiés, de mutilés, de veuves, d’orphelins et j’en passe. Ils n’ont pas le droit d’aborder ces sujets. Quoi qu’il en soit, je ne leur ai rien promis. Et le processus de la réforme en Syrie n’a rien à voir avec eux. Quand j’ai donné mon discours, lors d’une cérémonie de serment en Syrie, j’ai parlé de ma vision de la Syrie, pas de promesses. Ce terme de “promesse” n’est pas apparu dans mon discours, pour être précis.

“…le processus de réforme en Syrie n’est l’affaire d’aucun autre pays. Peu nous importe ce qu’ils pensent.”

De toute façon, qu’on l’appelle “promesse” ou “vision”, c’est en Syrie que je l’ai présentée. C’était un point de vue 100% syrien, et le processus de réforme en Syrie n’est l’affaire d’aucun autre pays. Peu nous importe ce qu’ils pensent. Peu nous importent leurs critiques ou leurs éloges. Même leurs éloges représentent une ingérence dans nos affaires intérieures.

(…)

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