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20 February 2009
|

L’élection d’Obama donne de l’espoir aux Irakiens noirs, aujourd’hui encore traités comme des esclaves

Ci-dessous des extraits d’une émission télévisée sur les noirs en Irak, diffusée sur Al-Arabiya le février 2009

Pour voir des extraits vidéo de MEMRI TV, VEUILLEZ au préalable VOUS IDENTIFIER ICI: http://www.memritv.org.
Cliquer sur “Register” en haut à droite de la page d’accueil.

Reporter:
On les appelle encore esclaves à une époque où les plus somptueux palais se sont effondrés. Leur profonde souffrance est due à plusieurs formes d’oppression de l’homme par l’homme – d’autres hommes faisant d’eux leurs instruments. Ils n’avaient pas le droit de posséder des terres et travaillaient pour les féodaux. Ils représentent un pourcentage important de la société irakienne. La plupart vivent à Basra, dans le sud de l’Irak.

Jalal Diyab, Secrétaire du Mouvement libres des Irakiens: Les noirs étaient, et sont encore, marginalisés et exclus de la société et de la politique. Les noirs sont encore considérés comme des esclaves inférieurs. Cette vision des choses s’est transmise de génération en génération. Un noir est considéré comme de moindre valeur, de moindre importance, comme un objet inutile, comme quantité négligeable. Pas même les politiciens, les écrivains et les chercheurs n’accordent d’attention aux noirs et à leurs problèmes.

(…)

Un Irakien: Les gens m’appellent “l’esclave” ou “le noir”. Il n’ont ni respect, ni estime. Qui est responsable de cette situation ? Les familles nombreuses. Prenez par exemple ces enfants. Ils nous courent derrière en criant: “Eh, le noir!” ou je ne sais quoi d’autre. Ce n’est pas sympathique.

Interviewer : Et comment les blancs vous appellent-ils habituellement ?

L’Irakien: Ils nous appellent toujours “esclaves”.

Interviewer: Aujourd’hui encore ?

L’Irakien: Le plus courant – et je le subis constamment – est qu’à la moindre confrontation, ils disent immédiatement: “Dégage, esclave.” Nous sommes tous les esclaves d’Allah. La seule chose qu’ils savent dire est: “Dégage, esclave.” Hier, je rentrais de Bagdad, et quand ce fut mon tour de monter [dans les transports], le conducteur me dit: “Non seulement tu es noir, mais tu essaies en plus de nous pousser.” Qu’est-ce que cela signifie ? Ton Dieu est-il blanc et le Mien noir ? Je suis surpris que les gens parlent de cette manière.

(…) Quand Obama a gagné les élections, nous nous sommes pris à espérer qu’un jour, nous aurions un président [noir] – pas forcément le président du pays, mais un haut responsable noir, quelle que soit sa fonction.

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