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11 December 2007
|

Témoignages de deux jeunes gens partis mener le djihad en Irak, l’un repenti, l’autre pas.

Les témoignages de deux jeunes gens partis mener le djihad en Irak ont été mis en ligne récemment. Le premier, un Saoudien du nom d’Ahmed Ben Abdallah Al-Shayi’, regrette ses agissements et accuse Al-Qaïda d’exploiter les jeunes en les attirant dans l’organisation pour ensuite les envoyer perpétrer des opérations martyres. Il invite les jeunes, et les musulmans en particulier, à tirer la leçon de ses erreurs et à ne pas rejoindre le djihad en Irak ou ailleurs dans le monde.

Le deuxième se fait appeler “noble moudjahid Muhib As-Sunnah Al-‘Iraqi”. Contrairement à Al-Shayi, il décrit son expérience en termes très positifs et fait l’éloge des commandants d’Al-Qaïda, notamment du défunt comandant d’Al-Qaïda en Irak Abou Muss’ab Al-Zarkaoui.

Le témoignage d’Al-Shayi’ a été publié dans le quotidien gouvernemental saoudien Al-Riyad le 21 novembre 2007, dans le cadre des récents efforts déployés par l’Arabie saoudite pour dissuader les jeunes gens du pays de partir mener le djihad en Irak. Le deuxième témoignage, publié par le centre Rafidayn, a été affiché en français sur le forum islamiste Minbar-SOS (hébergé par Bravenet Web Services Inc. au Canada) le 28 octobre 2007, [1] ainsi que sur le forum Elshouraa (hébergé par ZipServers Inc., dans l’Oklahoma, aux Etats-Unis) le 21 novembre 2007. [2]

Ci-dessous des extraits du témoignage en français. Pour consulter le témoignage d’Al-Shayi’ traduit en anglais, voir http://www2.memri.org/bin/articles.cgi?Page=archives&Area=sd&ID=SP178007.

Dans son témoignage, intitulé: “Un jour dans ma vie, et la vérité à propos d’un commandant, Al-Iraqi relate comment il a rejoint une opération de djihad en Irak et rencontré des membres d’Al-Qaïda, notamment Abou Mussab Al-Zarkaoui:

“Mon bien-aimé frère proche Abu Muhammad m’a demandé de l’aider dans une opération (…). Et je ne pouvais pas rejeter sa demande, comme j’espérais avec impatience la récompense [d’Allah].”

“(…) J’ai appris – lorsqu’il s’agit de questions concernant le Jihad et les Moudjahidine – à garder pour moi ce que j’ai vu et entendu de deux manières: les garder afin qu’elles soient oubliées, et les garder afin qu’elles ne soient racontées à personne. C’est ce que l’un des Moudjahidine m’a enseigné (…) Mais aujourd’hui, je vais ressusciter l’une des choses que j’ai enterrées et je vais révéler l’une des choses que j’ai gardées sous silence, car je considère cela comme le moment nécessaire dans lequel il ne peut y avoir aucun retard dans la publication (…)

Il y a environ trois ans et quelques mois, j’étais dans une phase de transition, idéologique et méthodologique, et l’amour de la Sunna a commencé à remplir mon coeur. Ensuite, quelque chose m’est arrivé en ce jour et qui a eu un grand effet en me faisant quitter les méthodologies et les chemins de l’innovation, et qui à la place m’a lié au Minhaj (voie) d’Ahl As-Sunnah wal-Jama’ah – puisse Allah me garder inébranlable sur ce Minhaj et me permettre de mourir en le défendant.

L’affaire a commencé lorsque mon bien-aimé, frère proche, Abu Muhammad – puisse Allah l’accepter dans les rangs des martyrs – m’a demandé ce jour-là de l’aider dans une opération qu’il préparait et qui aurait lieu dans l’un des zones de Bagdad. Et je ne pouvais pas rejeter sa demande, comme j’espérais avec impatience la récompense et l’indemnisation [d’Allah] – ‘Et pour cela laisser lutter (tous) ceux qui veulent lutter.’

Abu Muhammad, puisse Allah l’accepter, a établi le plan pour l’opération, et il a commencé à recueillir ses composantes et nécessités, et il a demandé de moi que j’aille avec lui et le frère qui était le fournisseur, Abu Zaynab – puisse Allah lui faire Miséricorde qu’il soit vivant ou mort – à la périphérie de Bagdad afin d’apporter les éléments nécessaires à l’opération. Donc, nous trois avons procédé en deux voitures – mon frère Abu Muhammad, puisse Allah l’accepter, dans l’une et Abu Zaynab roulait avec moi dans une autre voiture. Et ma rencontre avec lui pour cette opération a été notre première et dernière rencontre. (…)

Et après un court laps de temps, nous sommes arrivés à l’endroit prévu et le frère Abu Zaynab a demandé à se rendre seul à la maison qui contenait les nécessités de l’opération et de les rapporter seul, alors que nous devions l’attendre dans les alentours. Donc je suis resté avec mon frère Abu Muhammad, puisse Allah l’accepter, à converser, jusqu’à ce que le frère revienne avec les nécessités. Et après un court laps de temps, le passage des voitures des habitants qui nous donnaient le Salam tout en nous observant a augmenté, alors j’ai informé Abu Muhammad, puisse Allah l’accepter, à ce sujet. Il a répondu que c’était parce que nous étions étrangers à cette zone, et que, par coïncidence, la zone a été incendiée ce jour-là, après le meurtre de l’un des Imams d’une Mosquée connue dans la zone par les mains de la Milice de Ghadr [Badr], [3] et il y a eu des nouvelles d’une autre opération à proximité du district.

Et c’était juste quelques secondes avant qu’un groupe de voitures remplies d’hommes voilés avec des Ashāmigh [des Ghutrahs] ne nous encercle. Ils sont venus à nous de toutes les directions ! Aucune de leur main ne se trouvait libre d’un revolver ou d’une Kalachnikov ! (…)

Donc, j’ai confié mon sort à Allah. Et après ça, ils ont fouillé la voiture et ils ont trouvé la caméra, de sorte que le problème a augmenté en complication, en particulier avec ce que j’ai mentionné plus haut, qu’il y avait des nouvelles de la présence d’individus de la Milice de Ghadr dans le district !

Et après ça, ils ont pris moi et mon frère Abu Muhammad, chacun d’entre nous d’un côté, et ils m’ont bandé les yeux Et il me semblait qu’ils étaient grossiers lorsqu’ils manipulaient Abu Muhammad. Puis ils m’ont transféré dans une voiture à un endroit un peu éloigné, et après cela, je me suis entretenu avec mon frère Abu Muhammad, puisse Allah l’accepter, dans une chambre. Je lui ai demandé, “Qui sont ces gens ?”

Il dit: ‘Je ne sais pas, et ne parle de rien avant que les choses ne deviennent plus claires. Et si je reste avec toi, laisse moi mener la discussion !’ ”

“Celui qui met sa confiance en Allah, (…) sait avec certitude que le premier de tous les objectifs est l'[établissement] de l’Etat Islamique”

“Je ne vous cacherai pas combien a été difficile la situation pour moi, car c’était la première fois que j’ai été soumis à l’emprisonnement. (…)

Celui qui met sa confiance en Allah, et Lui confie son sort, et reste patient tout au long de son procès, sait avec certitude que le premier de tous les objectifs est l'[établissement] de l’Etat Islamique, ou la compagnie du meilleur de la création, paix et bénédiction d’Allah sur lui. Donc quiconque migre vers Allah, Allah lui a promis qu’il trouvera de nombreux lieux d’habitation sur Terre et vivra dans l’abondance. Et si le moment venu [de la mort] est accéléré par Allah, la récompense [pour la Hijrah] est obligatoire, même s’il meurt dans l’heure et juste à une coudée de la porte de sa maison ! (…)

Après quelques secondes, un homme dont le visage était recouvert d’une Ghutrah est entré, et a défait nos liens, puis il a commencé à nous interroger. J’ai donc laissé parler mon frère Abu Muhammad, puisse Allah l’accepter, et après seulement quelques secondes j’ai appris qu’ils étaient des Moudjahidine, alors mon coeur était apaisé. (…)
Et à ce moment-là, Abu Zaynab est entré face à nous, épuisé de courir. Ses yeux étaient remplis de larmes, et lorsqu’il nous a vu il fit le Takbir puis nous étreint et étreint l’interrogateur. Les frères ont commencé à entrer face à nous, et ils étaient entre tristesse et gêne due à ce qu’ils avaient fait auparavant. Ils nous ont présenté des excuses et ont insisté pour que nous déjeunions avec eux, mais nous nous sommes nous-mêmes excusés, après ce qu’il s’était passé pouvait-il y avoir un quelconque désire de nourriture ?!

Puis après cela, mon frère Abu Muhammad s’en est allé préparer la voiture des frères, et je suis parti avec Abu Zaynab dans une maison près du lieu où il nous a fallu attendre si longtemps, et il m’a informé que durant le trajet, il avait pensé que nous avions été touchés ou tués par erreur après que les choses soient devenues douteuses entre nous et les frères !

Et lorsque nous sommes arrivés, nous sommes entrés dans la maison et avons salué les frères qui s’y trouvaient, s’excusant de ce qu’il s’était passé. Et assis près de moi se tenait un vieil homme sombre. J’ai demandé à un des frères un endroit pour prier. Alors que je priais, j’ai entendu quelqu’un donner le Salam. J’ai terminé ma prière, alors je me suis tourné vers ma droite, et j’ai trouvé un homme – oui, par Allah, un homme à une époque où les hommes sont rares – et c’était comme si je le connaissais, et que ses caractéristiques ne m’étaient pas étrangères. Je l’ai donc accueilli, lui et ses compagnons, et j’ai commencé à me remémorer ce qui s’est passé et glorifier et louer Allah. Et chaque fois je regardais cet homme, et chaque fois il me souriait lorsque je le regardais.

Puis il est parti discuter avec le vieil homme qui possédait la maison, et en se fondant sur ce que j’ai entendu de son discours, je savais qu’il était un Mouhajir [émigré], et j’ai entendu des choses de lui qui m’ont rassuré le concernant. Oui, par Allah, il parlait de la manière d’améliorer la condition des Gens de la Sunna par les notables et les anciens des tribus. Et il est apparu de ses paroles qu’il avait la charge de chacun d’entre eux – par le Seigneur des Cieux – comme s’il craignait pour eux un avenir sombre si les Croisés et les Rawafidhs prenaient le pouvoir sur eux, et si les notables et les anciens et cheikhs tribaux renonçaient à s’élever eux et leurs familles parmi les Gens de la Sunna, et de gérer les affaires générales des Gens de la Sunna et les empêcher d’être dirigés par chaque Tom, Dick et Harry. (…)

Le Mouhajir (…) m’a conseillé d’avoir de la patience, et il m’a rappelé que cette voie était faite d’épreuves et de tribulations. Je suis resté calme, j’ai loué Allah, et me suit senti rassuré. (…)

Ces quelques mots du Mouhajir et du vieil homme qui possédait la maison, ainsi que le signe précédent d’Abu Zaynab envers moi, m’étaient suffisants pour connaître le Minhaj des frères d’Al Qa’ida, et de leur patience et de leur tolérance, et de leur mépris des différences, et comment ils se sont efforcés de les enterrer. Et je n’ai ni entendu parler de ce que je vous dis, ni une personne digne de confiance me l’a raconté, mais par Allah je l’ai vu et vécu.

Et c’était seulement quelques minutes avant qu’un jeune homme parmi les habitants de la maison n’entre informer le vieil homme que les adorateurs de la Croix avaient pénétré dans la zone. Alors, le vieil homme dit au Mouhajir: ‘L’endroit n’est plus sûr pour toi.’ Le Mouhajir se leva avec ses compagnons, nous a donné le Salam et son sourire n’a pas quitté son visage lorsqu’il me regardait. Puis il a quitté la maison. Peu après, mon frère Abu Muhammad, puisse Allah l’accepter, est arrivé, et nous avons pris ce pour quoi nous étions venus. (…)

Et quant à l’homme souriant, le Mouhajir, son image n’a pas quitté mon esprit, et j’ai continué à penser que je le connaissais, jusqu’à ce qu’un jour je vis une photo d’un homme qui s’était rendu en Irak ‘pour briser l’union de son peuple, pour tuer ses fils, violer ses femmes et briser son unité’, comme les adorateurs de la Croix et leurs adeptes apostats le prétendent.

Et c’était lui…

C’était cet homme, le Mouhajir que j’ai rencontré, qui souriait lorsque ses yeux se posaient sur moi…

Et il était l’Amir des Martyrs, l’Imam, le Mouhajir, Abu Muss’ab Az-Zarqawi, puisse Allah l’accepter dans les confins du Paradis. (…)”

“Je n’ai jamais rencontré âmes plus pures, ou coeurs plus doux, ou personnes plus humbles que (…) les soldats d’Al Qa’ida.”

“Donc, je n’ai jamais été aussi certain que ce qui a été dit à propos de l’Organisation d’Al Qa’ida et ses Mouhajirins et Ansar et sur le commandant martyre Abu Muss’ab – puisse Allah lui faire Miséricorde – n’étaient que purs mensonges, que lorsque j’ai vu son image et réalisé qu’il était mon ami…

Est-ce que celui qui parle avec cette angoisse et qui porte sur lui le fardeau des musulmans de la manière qu’aucun autre homme ne porterait le fardeau de sa propre famille vient dans le but de tuer les musulmans ? Est-ce que l’homme avec ce sourire a comme intention le sang des musulmans, ou d’être négligent avec ?

Je prends Allah pour témoin que quiconque prétend cela est un menteur.

Et j’ai transmis cela afin que nous prenions une leçon de ce qui s’est passé, pour que les terrains du Jihad ne soient pas libres de situations et d’erreurs qui pourraient se développer si les sages parmi les commandants ne les rectifiaient pas. (…) Et je crois que les dirigeants de l’Etat Islamique d’Irak, puisse Allah sécuriser ses piliers, avec ses Amirs et ses ministres, puisse Allah les protéger, sont capables d’éviter la Fitnah et de l’enterrer à ses débuts avec patience et avec contentement face à ceux qui les oppriment et les diffament sans droit. (…)

Et je n’ai jamais été, ne serait-ce qu’une seule journée, un membre de l’Organisation d’Al Qa’ida ou du Groupe At-Tawhid wal Jihad, [4] plutôt nous travaillons et aidons les Moudjahidine en général.

Ô Allah, tu m’es témoin que je n’ai jamais rencontré âmes plus pures, ou coeurs plus doux, ou personnes plus humbles que les Gens du Tawhid que sont les soldats d’Al Qa’ida, ni plus sévères dans la puissance et la force et la haine pour le peuple de l’idolâtrie et de l’association que les soldats d’Al Qa’ida. Et Allah est témoin de ce que je dis.

Et je tiens à souligner la question de manière à que personne ne pense que je supporte mon Amir ou mon Groupe ou faisant la lumière de leurs erreurs – le groupe avec qui s’est passé cet incident n’était pas l’Organisation d’Al Qa’ida ou le Groupe At-Tawhid wal Jihad. Il s’agit plutôt d’un autre groupe connu sur les terrains (…)

Ô Allah, accepte Ton serviteur, le Moujahid sur Ton Sentier, Abu Muss’ab, parmi les martyrs (…)

Et accepte mon frère bien-aimé Abu Muhammad, et tous les morts parmi les Moudjahidine. (…)

Ô Allah protège l’Etat Islamique [d’Irak], Ô Allah protège l’Etat Islamique (…)
Que la paix et la miséricorde d’Allah soient sur vous

Votre frère
Muhib As-Sunnah Al-‘Iraqi
Rabi’ Ath-Thani 1428″



[1] http://www.minbar-sos.com/forum/forumdisplay.php?f=14 ; ISP vérifié le 29 novembre 2007.

[2] http://elshouraa.com/vb/showthread.php?t=14611 ; ISP vérifié le 27 novembre 2007.

[3] Le terme “ghadr” (“traître”) est utilisé ici dans un jeu de mots pour qualifier les Forces Badr, branche militaire du parti irakien SCIRI (Conseil suprême de la Révolution islamique en Irak) dirigée par Abd El-Aziz Al-Hakim et soutenue par l’Iran.

[4] Le groupe At-Tawhid wal Jihad (Monothéisme et djihad) était le nom de l’organisation d’Al-Zarkaoui avant qu’il rejoigne Al-Qaïda et adopte le nom d'”Al-Qaïda en Irak”.

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