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4 August 2004
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Le Gouvernement Transitoire Irakien : Une évaluation provisoire des progrès accomplis

Introduction

Le gouvernement transitoire irakien dirigé par le Premier ministre Iyad Allawi fut formé le 18 juin 2004, en résultat des efforts réalisés conjointement par le Représentant Spécial des Nations Unies en Irak, Lakhdhar Al-Ibrahimi, le Conseil Gouvernemental Irakien (CGI) et l’ Administration Provisoire de la Coalition (APC) . Le 28 juin, l’APC transférait la souveraineté au gouvernement transitoire. L’APC cessa dès lors d’exister, le CGI fut dissous et Mr. Al-Ibrahimi est retourné vers son quartier général à New-York. Cependant, le système né de ces efforts a commencé à fonctionner en tant que gouvernement de fait. Bien que ce gouvernement ne soit au pouvoir que depuis un peu plus d’un mois, il a laissé une empreinte notable aussi bien sur les orientations en matière de politique intérieure que de politique étrangère de l’Irak. Voici un rapport d’évaluation provisoire. [1]


Les défis à relever par le Gouvernement Transitoire

Dès le départ, Allawi a été confronté à des épreuves quasiment insurmontables. En parallèle aux actions terroristes quotidiennes visant principalement des postes de police, l’Irak doit affronter les menaces de l’Imam chiite Muqtada Al-Sadr , imprévisible et tendant fréquemment vers le radicalisme, et de son Armée du Mehdi . Il faut mentionner les Sunnites qui se sentent marginalisés dans l’Irak de l’après-saddam, rejoignant de ce fait la résistance et parfois même la mouvance terroriste. Il y a aussi les Kurdes, encore méfiants à l’égard des intentions des Irakiens arabes concernant les aspirations des Kurdes à l’autonomie dans un Irak fédéral, qu’il doit éviter de s’aliéner. Allawi doit composer avec la force multinationale, en premier lieu avec les forces américaines majoritaires, sans être perçu comme un outil de la politique américaine. Il doit démontrer que l’Irak a recouvré sa souveraineté, mais il ne peut, dans le même temps, dissimuler sa dépendance vis-à-vis des troupes américaines pour garder la situation du pays relativement sous contrôle. Il doit par-dessus tout se préoccuper d’une économie en stagnation, d’infrastructures à l’abandon et d’un taux élevé de chômage qui perdure, car en dépit des fonds d’assistance massivement attribués à l’Irak par les USA et d’autres pays donateurs, la situation sécuritaire a empêché le gouvernement de faire avancer les programmes de reconstruction et de créer des nouveaux emplois.

En outre, Allawi est confronté à la pression exercée sur les frontières orientale et occidentale de l’Irak par deux régimes autoritaires, l’Iran et la Syrie, qui ont laissé leurs frontières avec l’Irak devenir des points de passage pour des Islamistes de différents degrés d’extrémisme, décidés à combattre l’Amérique sur le sol irakien. Ces deux régimes, tout en étant visiblement inquiets de voir une culture démocratique en Irak déborder à l’intérieur de leurs frontières et causer une effervescence et une instabilité politiques, regrettent avec force l’absence d’un gouvernement élu à Bagdad, un type de gouvernement qui leur est étranger depuis des décennies.

Tous ces défis représenteraient une mission impossible pour n’importe quel gouvernement, qui plus est, un gouvernement dont les membres affrontent une menace quotidienne d’élimination au moyen de voitures piégées, d’attentats suicides et d’autres armes meurtrières.

La politique de la carotte et du bâton [2]

Sur le plan interne, Allawi a fait un geste de réconciliation en direction du jeune Imam chiite Muqtada Al-Sadr, en levant l’interdiction décidée par l’APC à l’encontre de son hebdomadaire, Al Hawza Al-Natiqa et en l’invitant à prendre part au processus politique. Il fit suivre la levée de l’interdiction par l’attribution de 6,5 millions de dollars destinés à la construction d’un réseau d’évacuation à Al-Sadr City, un des principaux bastions d’Al-Sadr [3] . Dans le même temps, il a fait progresser un processus, initié par l’APC lors de ses derniers jours au pouvoir, visant à achever la débaasification de l’Irak, invitant les Baasistes, officiers militaires et membres du pouvoir civil qui n’ont pas de sang sur les mains, à participer à la reconstruction de l’Irak. Il a proposé de gracier ceux des membres de la résistance qui n’ont pas été impliqués dans des actions violentes et prêts à rendre les armes. Il réitéra aux Kurdes l’attachement du gouvernement à un Irak fédéral et démocratique préservant l’autonomie des Kurdes, obtenue à la défaite de Saddam au Koweït en 1991. La réconciliation nationale est devenue la devise d’Allawi, ainsi qu’une profession de foi. [4]

D’autre part, le gouvernement d’Allawi a adopté la Loi de Sécurité Nationale, autorisant le gouvernement à décréter des lois d’urgence et des couvre-feux dans des zones sujettes à la violence (les zones kurdes en ont été exclues). La loi est renforcée par une force de déploiement rapide en liaison avec la Garde Nationale irakienne, fraîchement mise en place, pour pourchasser les terroristes. [5] Il a également menacé les terroristes de sévères sanctions, comprenant la peine capitale, qui avait été abolie par l’APC. Lors d’une réunion avec ce qui fut désigné comme les forces de la «résistance», Allawi avertit qu’à moins qu’ils ne rendent les armes, il les pourchassera « non seulement de maison en maison mais de pièce en pièce». [6] Exprimant son courage personnel et sa sympathie pour les victimes de la violence ainsi que sa défiance à l’égard de leurs auteurs, Allawi visita des sites où eurent lieu des attentats à la voitures piégée. La propension d’Allawi à se servir du bâton avec force a conduit certains de ses détracteurs à affirmer que, comme Saddam, il est un homme manquant d’instinct démocratique.

Une amélioration de la sécurité intérieure

Il y a de plus en plus d’éléments montrant qu’en dépit des actions terroristes, le crime dit «traditionnel» – les vols, les enlèvements, les agressions et de nombreuses autres manifestations criminelles- est en baisse. La baisse du taux d’actes délictueux peut être attribuée à trois facteurs: premièrement, les effectifs de la police irakienne et de la garde nationale dans les rues de Bagdad et des autres villes principales ont augmenté et la qualité de leur formation a été améliorée; deuxièmement, les Irakiens semblent davantage enclins à coopérer avec, et fournir des informations à leurs autorités nationales de sécurité qu’aux forces de la coalition; et troisièmement, les services de collecte de renseignements se sont améliorés. Le second facteur en particulier semble avoir un impact sur l’activité de groupes terroristes, la population irakienne réprouvant de plus en plus les assassinats aveugles de civils et la destruction des infrastructures économiques du pays. [7]

Allawi fait une visite dans les pays arabes

Un mois à peine après sa prise de fonction, le Dr. Allawi a entamé une tournée de plusieurs pays arabes, en commençant par la Jordanie et la poursuivant par l’Egypte, la Syrie, le Liban, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis et le Koweït. Certains thèmes de discussion, abordés avec les chefs d’Etat de ces pays, furent communs à toutes ces destinations:

*La reprise des relations diplomatiques avec l’Egypte, l’Arabie Saoudite et le Koweït, mises à mal après l’invasion du Koweït par Saddam en 1991, et avec la Syrie, avec qui les relations s’étaient tendues plus de dix ans auparavant.

*La sécurisation des frontières irakiennes avec les pays voisins et endiguer l’afflux de terroristes.

*Des discussions sur le commerce et les relations bilatérales

A part les questions générales abordées par Allawi avec ses interlocuteurs, certaines questions d’ordre bilatéral ont été soulevées par la délégation irakienne ainsi que par ses hôtes.

En Jordanie, sa première escale, Allawi a eu droit à un accueil exceptionnellement chaleureux dû à une profonde amitié personnelle avec le Premier ministre jordanien Faisal Akef Al-Fa’iz . Concrètement, l’Entente Nationale Irakienne était le seul groupe d’opposants irakiens autorisé à opérer depuis la Jordanie. [8] Du temps du régime de Saddam, la Jordanie importait du pétrole irakien à des conditions extrêmement préférentielles accordées par Saddam en geste de remerciement à l’égard de son voisin qui avait refusé de prendre part à la coalition qui avait délogé son armée du Koweït. La Jordanie s’est montrée désireuse de renouveler cet accord. Allawi accepta, mais les termes de l’arrangement sont moins généreux et d’une durée plus limitée. En échange, la Jordanie s’est engagée à utiliser son expérience dans la lutte contre les Islamistes pour venir en aide à l’Irak dans sa lutte contre le terrorisme sur son sol. [9]

En Egypte, Allawi a tenté, apparemment sans y parvenir, d’obtenir l’engagement du Président Moubarak de rejoindre la force multinationale en Irak. Les Egyptiens souhaitaient voir Allawi s’engager à rembourser aux travailleurs égyptiens, les 200 millions de dollars de pertes qu’ils subirent en raison du gel de leurs salaires pendant la campagne du Koweït. Allawi n’est pas disposé à offrir quelque chose sans aucune contrepartie.

En Syrie, Allawi a rencontré le Président Bashar Al-Assad et a accepté la reprise des relations diplomatiques détériorées en 1981 et de tourner une nouvelle page dans les relations entre les deux pays. Les deux parties ont signé plusieurs protocoles d’accord concernant l’acheminement et la vente de pétrole brut irakien à la Syrie et l’achat par l’Irak de produits pétroliers raffinés. Néanmoins, les grandes attentes suscitées par cette visite ne durèrent pas longtemps. Moins d’une semaine après la rencontre Allawi-Assad, le ministre syrien des Affaires étrangères Farouk Al-Shara’ a remis en cause la légitimité du gouvernement irakien. [10] Allawi lui rétorqua: « Selon les standards de légitimité du Moyen Orient, le gouvernement irakien est légitime». [11] Précédemment, Allawi avait nié les allégations syriennes selon lesquelles des Israéliens opéraient dans le nord de l’Irak. Un quotidien irakien fit remarquer qu’il y a suffisamment d’espions iraniens au Kurdistan qui, en cas de présence d’israéliens, les auraient localisés et que les accusations syriennes étaient destinées uniquement à troubler les relations entre les Kurdes et les Arabes. [12]

Au Liban, le point central des discussions fut le rôle du secteur privé libanais pour revitaliser les échanges commerciaux entre les deux pays et le paiement des sommes dues aux industriels et négociants libanais au titre de contrats conclus avec le régime précédent [13] . Allawi souleva la question des 500 millions de dollars déposés dans des banques libanaises par le régime de Saddam. Il est clairement apparu de la conférence de presse conjointe tenue par Allawi et le Premier ministre Hariri, que les Libanais ne seraient pas plus disposés de se séparer de cet argent que les Syriens ne le sont à propos des dépôts irakiens dans leurs banques, également estimés à 500 millions de dollars.

En Arabie Saoudite, il obtint une promesse d’assistance d’un montant d’un milliard de dollars, dont une moitié sous forme de prêts à des conditions préférentielles et une autre moitié sous forme d’exportations garanties.

Aux Emirats Arabes Unis, la visite s’est avérée être une visite de courtoisie peu couverte par la presse locale.

Au Koweït, la visite a pris en premier lieu une signification historique du fait de l’invasion du Koweït par l’Irak en 1990. Allawi s’est rendu au Koweït pour resserrer les liens et en a probablement profité pour calmer l’appétit insatiable du Koweït d’obtenir des compensations de la part de l’Irak au titre des dommages causés par l’invasion de Saddam.

Lors de toutes ses visites officielles, le Dr. Allawi fut reçu conformément aux règles du protocole diplomatique, ce qui atteste d’une reconnaissance supplémentaire de la légitimité de son gouvernement.

Les critiques adressées au gouvernement d’Allawi

Dans un article pour le quotidien irakien Al-Zaman, intitulé ‘Rationaliser le message du gouvernement’, Samir Ubaid estime que l’absence d’un langage diplomatique envers la Syrie et de l’Iran combinée avec une politique de grande fermeté sur le plan intérieur est loin de constituer un moyen efficace de ramener la paix et la sécurité. Ubaid écrit: Nous invitons sincèrement le gouvernement transitoire à rationaliser son discours. Le langage menaçant [ employé par deux membres du gouvernement à l’adresse de l’Iran ] [14] ne servira pas les intérêts de l’Irak et n’intimidera pas l’Iran. Au contraire, cela pourrait renforcer son arrogance (…) Cela pourrait également nuire aux relations avec les pays voisins. Ces pays sont las des menaces et des intimidations qui leur étaient adressées par le régime de Saddam, désormais enterré. Les avertissements, lancés par le ministre de la Défense, de déplacer le champ de bataille à l’intérieur de ces pays prête pour le moins à sourire car il n’y a pas la moindre symétrie [ des forces ] entre ces pays et l’Irak actuel, souffrant de la déliquescence de ses frontières.» [15]

Il existe aussi une critique récurrente à propos de l’incapacité du gouvernement à diminuer les pannes de courant encore très sérieuses, en particulier pendant les difficiles mois d’été à Bagdad. En tout premier lieu, l’échec apparent du gouvernement à rétablir la sécurité et l’ordre est présent dans tous les esprits.

Conclusion

Au bout du compte, le gouvernement transitoire irakien et Allawi en particulier peuvent se voir crédités des progrès suivants:

* L’obtention de la reconnaissance de son gouvernement aussi bien sur le plan interne que sur le plan extérieur, et s’affirmer comme le responsable irakien avec lequel il faut compter.

* Le renforcement de la Loi de Sécurité Nationale par une force de déploiement rapide en liaison avec la Garde Nationale pour procéder à l’arrestation des terroristes. [16]

* La mise en œuvre d’une politique de réconciliation nationale en intégrant divers groupements politiques, y compris des représentants du Parti Baas, dans le processus politique.

*La création d’un Conseil Supérieur du Pétrole et du Gaz qui supervisera la tarification et la commercialisation du pétrole irakien. [17]

* L’amélioration des relations avec les pays limitrophes et la reprise des relations diplomatiques détériorées par Saddam Hussein.

Néanmoins, le gouvernement transitoire devra être plus attentif au lien existant entre l’économie et le terrorisme. Un taux élevé de chômage cause le désespoir chez la jeunesse, et pourrait faciliter leur recrutement par les mouvements de résistance.

*Le Dr Nimrod Raphaeli est analyste au Programme d’Etudes Economiques du Moyen Orient pour MEMRI.


[1] Le Dr. Iyad Hashem Allawi , Médecin , est né à Bagdad en 1946 d’une famille chiite de grand renom. Son père était un docteur et sa mère était la fille de Mr Adil Ussayran, le speaker du Parlement libanais, un poste confié à un Chiite conformément au système constitutionnel libanais. Il étudie la médecine à l’Université de Bagdad où il devient actif au sein du Parti Baas . A la suite d’une discorde avec Saddam Hussein , Allawi s’enfuit en Angleterre où il demeura jusqu’à la fin du régime en Avril 2003. Alors qu’il se trouvait en Angleterre, des agents de Saddam firent irruption dans sa maison et lui assénèrent plusieurs coups de couteau, le laissant pour mort. Il survécut à l’attaque et forma un groupe d’opposition à Saddam, l’Entente Nationale Irakienne (Al-Wifaq Al-Watani). Après avoir été choisi pour le poste de Premier ministre transitoire, Allawi s’est engagé sur de nombreux fronts avec de la détermination, un sens des priorités et un courage personnel en dépit de la détermination de groupes terroristes à lui nuire et même à l’éliminer. Les propos publiés sur le site Internet du terroriste Abou Moussab Al-Zarqaoui, lechef du mouvement islamiste « Al-Tawheed wal-Jihad» (Monothéisme et Jihad), furent les plus effrayants de tous. Après une tentative infructueuse d’assassiner Allawi au moyen de missiles tirés contre sa maison, Zarqaoui fulmina sur Internet: «Je vous annonce comment nous allons vous faire du mal, oh Allawi. Si vous avez survécu aux missiles de la mort qui ont fait s’abattre la destruction sur votre maison, notre carquois, grâce à Dieu, est encore rempli des flèches du trépas.» Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 15 juillet 2004.

Pour une biographie plus complète du Dr. Allawi, voir MEMRI, Enquêtes et Analyses, No. 182, 18 juin 2004, «Les nouveaux dirigeants irakiens : Le Premier ministre intérimaire Iyad Hashem Allawi et le gouvernement provisoire»

http://www2.memri.org/bin/french/articles.cgi?Page=archives&Area=ia&ID=IA18204

[2] Il y a deux articles sur la question. Le premier, écrit par le chroniqueur Nidhal Al-Leithy, «L’économie irakienne et la lutte contre le terrorisme», Al-Zaman (Irak), 13 juillet 2004, et «Le Premier ministre irakien adopte la politique de la carotte et du bâton», Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 22 juillet 2004.

[3] Al-Sabah (Irak), 25 juillet 2004.

[4] Al-Hayat (Londres),15 juillet 2004.

[5] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 15 juillet 2004.

[6] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 13 juillet 2003.

[7] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 24 juillet 2004.

[8] Al-Shira’ (Iraq), 12 juillet 2004

[9] Al-Hayat (Londres), 20 juillet 2004.

[10] Baghdad (Irak), 25 juillet 2004. Baghdad est le quotidien official de Al-Wifaq Al-Watani .

[11] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 28 juillet, 2004.

[12] Al-Mu’tamar (Irak), 24 juillet 2004.

[13] Al-Nahar (Liban), 27 juillet 2004

[14] Voir MEMRI, Dépêches spéciales, No. 750, 22 juillet 2004, ‘Les ministres irakiens de la Défense et de l’Intérieur accusent l’Iran de soutenir le terrorisme contre l’Irak; ils menacent de représailles à l’intérieur de l’Iran’.

[15] Al-Zaman (Irak), 23 juillet 2004

[16] Al-Sharq Al-Awsat (Londres),15juillet 2004.

[17] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 17 Juillet 2004.

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