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3 octobre 2002
|

Rapport de nouvelles sur l’Irak

Dans ce rapport:

I.  Suite à l’acceptation par l’Irak du retour des inspecteurs en désarmement:

  1. Des officiers égyptiens retraités octroient des conseils militaires à l’Irak ;
  2. L’Irak poursuit ses préparatifs de guerre,
  3. Menace de détruire le Qatar,
  4. Met en garde la Turquie contre une intervention dans le Nord ;
  5. Le Koweït se prépare à une éventuelle agression chimique.

II.  Al-Watan : L’ouverture de la frontière entre l’Arabie Saoudite et l’Irak prévue pour dans deux semaines

III.  Cyber-Terroristes arabes et islamiques :  » Ôtez vos paluches de l’Irak »

IV.  Ansar al-Islam, Al-Qaïda et la connexion irakienne

V.  Les Irakiens autorisés à recouvrer leur citoyenneté irakienne

VI.  Les Kurdes en Irak du Nord : nouvelles et opinions

  1. Réconciliation renforcée des deux principaux partis kurdes
  2. Al-Barazani : certaines actions commises au nom de l’islam lui sont étrangères
  3. La Turquie pourrait rouvrir son consulat à Mosul

I.  Suite à l’acceptation par l’Irak du retour des inspecteurs en désarmement:

1 – En Irak, des officiers égyptiens retraités octroient des conseils militaires 
On sait de source jordanienne (Renseignement) que quatre officiers de l’armée égyptienne à la retraite ont passé deux semaines à Bagdad (du 7 au 22 septembre), dans le cadre d’une mission secrète, pour établir un plan de défense irakien à appliquer en cas d’offensive américaine.

Après avoir passé en revue les différents scénarios militaires mis au point par le haut commandement militaire irakien, les officiers égyptiens ont conclu que la région allant de la ville de Mosul au Nord de l’Irak jusqu’à la chaîne de montagnes Hamarine au Nord de Tikrit et au lac Saddam représentaient les points faibles du plan de défense irakien. Cette région se trouve à la portée des forces aériennes américaines postées à la base d’Incirlik en Turquie. Les officiers égyptiens sont également arrivés à la conclusion que la ville de Kirkuk, avec ses importants puits de pétrole, ne peut être défendue. (Ils ont envisagé l’éventualité d’une destruction du lieu par l’Irak, qui accuserait ensuite les Etats-Unis de l’acte, comme cela s’est produit au Koweït). Selon ces sources, les officiers égyptiens auraient conseillé aux Irakiens de construire une ligne de défense de Bagdad en Irak du centre, au Sud de la chaîne des Hamarine.

Les sources indiquent également que les plans de défense de Bagdad n’ont pas été révélés aux Egyptiens vu qu’ils incluent [la construction] d’aéroports secrets et de tunnels souterrains. Les Egyptiens ont conseillé [de construire] un tunnel sous le Tigre pour le déplacement de l’équipement militaire, en prévision d’une éventuelle destruction des 12 ponts liant la capitale au reste du pays.

Les officiers égyptiens ont trouvé des lacunes énormes concernant la défense de la partie Sud du pays. Suite aux conseils égyptiens, les Irakiens ont déplacé leurs installations d’urgence vers des zones dégagées facilement défendables. Ils ont également déplacé la première brigade, du secteur de Zahraa (situé derrière le Département de la circulation) à celui de Tarek, derrière la station de train. Quant à la deuxième brigade, elle a été déplacée de Garmat Ali à Al-Maqal (derrière le club de sport portuaire). Finalement, les Martyrs de l’unité de Saddam, situés dans la région de l’Hindiya, ont été réinstallés dans un bâtiment situé à proximité du vieil aéroport de Najibiyya.

Ces sources indiquent aussi que l’équipe égyptienne a conseillé de placer une seconde ligne de défense de Bagdad au Sud de la ville, entre le Tigre et l’Euphrate, au Sud d’Al-Amara et à l’Est de Diwaniyya. L’équipe a en outre recommandé de construire de nouvelles fortifications destinées aux lanceurs de missiles. Mais elle a estimé qu’en dépit de tous ces préparatifs, Basra ne pourrait être défendue pendant plus de trois jours. [1]

2 – L’Irak poursuit ses préparatifs de guerre 
La décision irakienne d’accepter une inspection internationale a été soudaine : tandis que le peuple irakien apprenait la nouvelle par différentes sources, les journaux contenaient toujours des articles et des dépêches sur les  » espions  » et la détermination irakienne à refuser leur retour, si ce n’est dans le cadre d’une solution globale aux problèmes de l’Irak et du Moyen-Orient. [2]

Le quotidien koweïtien Al-Watan cite une source kurde affirmant que  » Saddam a décidé d’assigner la responsabilité de l’Irak du Sud au lieutenant général Ali Hassan Al-Majid (dit Ali Kimaoui : ‘Ali le chimiste’)… et l’a autorisé à avoir recours aux armes chimiques contre un éventuel soulèvement populaire dans la région.  » D’après la même source,  » Al-Majid a installé ses quartiers généraux dans la ville d’Al-Nassiriya, a rencontré les dirigeants de clans du Sud, les a mis en garde contre toute tentative de rébellion, a exigé qu’ils participent aux contre-offensives et les a informés de la décision de placer sans plus attendre une artillerie anti-aérienne sur les toits des bâtiments…  » Le rapport précise pour finir que  » Saddam a informé son administration et ses organisations d’imposer le couvre-feu dans tout le pays immédiatement après le début de la guerre afin d’éviter une insurrection populaire…  » [3]

Le correspondant d’Al-Hayat à Bagdad décrit l’entraînement militaire des femmes en Irak, précisant que les citoyens de la ville ont désormais l’habitude de voir des femmes porter des fusils sur le chemin des camps d’entraînement… Selon la dépêche, ces femmes sont issues de tous les milieux de la société irakienne :  » des médecins, des académiciennes, des ingénieurs et des femmes au foyer… Les femmes subissent un entraînement militaire rigoureux qui [comprend l’enseignement] de tactiques de survie consistant par exemple à s’alimenter d’herbe et d’animaux sauvages : lapins, serpents…  » [4]

Citant des visiteurs ayant récemment voyagé de Bagdad à Amman, le quotidien Al-Sharq al-Awsat publie que certains  » courageux Irakiens ont inscrit le slogan ‘En finir avec Saddam’ en caractères gras sur les murs du quartier d’Al-Jadida [dans la ville nouvelle de Bagdad], et que la réaction [des autorités] a été terrible : les services secrets ont fait une descente nocturne dans le quartier, ont fouillé les maisons et arrêté des dizaines de personnes qui possédaient des marqueurs, et depuis personne ne sait ce qui les attend…  » Selon un autre visiteur,  » [les autorités] ont prévenu certains pères de familles qu’ils seraient exécutés, eux et des membres de leurs familles, si quiconque essayait de se rebeller…  » [5]

Al-Sharq al-Awsat publie la déclaration du ministre des Affaires étrangères Naji Sabri Al-Hadithi, selon laquelle les Etats-Unis ne pourront pas renverser Saddam Hussein comme ils renversent les  » républiques bananières « . Ce dernier met en garde le monde arabe contre  » la capacité des Etats-Unis à geler le capital des pays arabes « , ajoutant que  » les Arabes devraient donc refuser la politique américaine…  » M. Al-Hadithi précise :  » Nous ne devrions pas attendre qu’on nous demande de changer notre système éducatif et de supprimer du Coran tous les textes se référant aux Juifs…  » [6]

3 – Saddam menace de détruire le Qatar 
Le quotidien Al-Gumhuriya [Egypte] rapporte que  » le président irakien a menacé de complètement détruire le Qatar si jamais les Etats-Unis utilisaient la base Al-Udeid du Qatar au lancement de l’offensive militaire escomptée. Saddam a formulé cette menace à l’occasion d’un meeting avec le ministre des Affaires étrangères du Qatar à Bagdad… L’officiel du Qatar a été pris de court par cette féroce remontrance de Saddam… Des sources irakiennes révèlent que Saddam s’est montré très émotif, parlant assez fort pour que les personnes se trouvant en dehors de la pièce puissent l’entendre, ce qui est rare… Les sources ajoutent que l’officiel en question a quitté la réunion d’un air maussade, prenant directement la direction de l’aéroport…  » [7]

4 – Le vice-président irakien met en garde la Turquie 
Dans une conférence de presse à laquelle assistait une délégation turque, le vice-président irakien Taha Yassine Ramadhan a affirmé que  » l’Irak refuse toute présence turque ou étrangère sur son territoire, quelle qu’en soit la raison, et considérera [toute présence turque ou étrangère] comme un acte d’hostilité, une intervention dans ses affaires intérieures et une menace à sa sécurité et sa souveraineté nationale…  » [8]

5 – Le Koweït se prépare à une offensive à l’arme chimique 
Le quotidien koweïtien Al-Watan annonce que les autorités distribueront 100 000 masques à gaz aux membres du secteur public, tandis que le secteur privé en vendra à des prix variables. Le journal rapporte que des brochures d’information seront distribuées pour expliquer au public quelles dispositions prendre en cas d’attaque irakienne avec des armes conventionnelles, chimiques ou biologiques. Le journal publie également une liste d’instructions à suivre  » en cas de sirène, ou de l’utilisation d’armes chimiques par l’ennemi…  » Dans une dépêche de nouvelles, le journal cite  » une source sûre non identifiée de la Défense civile du Koweït « , qui insiste sur la  » qualité et l’intégrité  » des procédures établies, précisant que des mesures de contre offensive seront prises par la garde nationale et les forces de la Défense civile. [9]

Le jour suivant, le journal rapporte que :  » Le ministère [koweïtien] de la Santé a procédé à l’achat de tentes… dans le but d’isoler et de traiter les victimes d’attaques chimiques en évitant la contamination par les hôpitaux. Le ministre de la Santé a rencontré des administrateurs d’hôpitaux de la région d’Al-Sabbah pour évoquer le problème, et les a encouragés à s’entraîner au moyen de fausses alertes.  » [10]

Dans un article du quotidien arabe Al-Sharq al-Awsat, édité à Londres, le chroniqueur Ahmed Al-Rubi rapporte qu’une majorité de Koweïtiens, tous secteurs confondus (parlementaires, académiciens, acteurs, veufs de guerre compris), a signé une lettre ouverte au peuple irakien appelant au renversement du régime actuel et à son remplacement par un système démocratique. La lettre a été envoyée à plusieurs journaux arabes pour publication. Les signataires se plaignent que  » plusieurs journaux ont refusé de publier la lettre, prétextant qu’ils ne publient pas de publicités politiques, quelles qu’en soit le contenu…  » L’article conclut de la sorte :  » Ceux qui se taisent sur la tragédie du peuple irakien vireront de 180% en s’apercevant que le changement est tout proche, et useront alors de la même hypocrisie, estimant que les gens ont la mémoire courte…  » [11]

II. Al-Watan: L’ouverture de la frontière entre l’Arabie Saoudite et l’Irak prévue pour dans deux semaines 
Le président du Centre pour la promotion des exportations saoudiennes, Abdul Rahman Al-Zamel, a annoncé que la frontière de  » Jderit Arar « , reliant l’Arabie Saoudite à l’Irak, ouvrirait deux semaines plus tard… Dans une déclaration rapportée vendredi par le quotidien saoudien Al-Watan, Al-Zamel remarque que les Saoudiens sont [déjà] près depuis un an à inaugurer la frontière, franchie chaque année par des pèlerins à la période d’Al-Haj.

Il a appelé à la signature d’un accord de libre échange avec l’Irak, accord dont bénéficieraient les deux pays, et notamment les exportateurs saoudiens qui seraient ainsi exemptés de certaines taxes… Cet officiel saoudien a exprimé sa satisfaction face au feu vert de l’ONU concernant l’ouverture du passage d’Arar aux exportations saoudiennes. Al-Zamel a aussi déclaré qu’il espérait qu’une centaine d’hommes d’affaires saoudiens, parmi ceux attendus à la foire internationale de Bagdad en novembre, emprunteraient ce passage pour se rendre à Bagdad. Il a souligné que l’ouverture de la frontière augmenterait le volume des exportations saoudiennes et des échanges commerciaux qui, estime-t-il, connaissent des progrès de plus en plus rapides.

III. Cyber-Terroristes arabes et islamiques :  » Ôtez vos paluches de l’Irak «  
Le quotidien saoudien Al-Jazira rapporte de son bureau au Caire que  » des pirates informatiques arabes et musulmans ont mené une attaque surprise coordonnée contre plusieurs sites américains, israéliens et britanniques, sous le slogan  » Ôtez vos paluches de l’Irak…  » Selon ce rapport, l’attaque  » coïncidait avec la date du 11 septembre et a pris pour cible plus de 155 sites gouvernementaux et commerciaux de ces trois pays, détruisant partiellement des portails Internet, remplacés par des slogans condamnant une offensive anti-irakienne, et paralysant les sites pendant quelques heures…  » Selon le rapport, les sites touchés incluaient U.S. online, Banking group, la bibliothèque de l’université du Texas, le Naval Service Center, le Queen Mary’s College, Israel Forever… Le rapport poursuit :  » Les premières informations indiquent que plus de vingt groupes de pirates arabes et musulmans ont participé à l’attaque, sous la direction d’une organisation connue sous le nom de ‘Unix Guards – USG’… ainsi que deux mouvements respectivement dénommés ‘Combattant égyptien’ et ‘LinuxLover’…  » Les autres groupes ayant participé à l’attaque se trouvaient notamment au Maroc, au Pakistan et au Cachemire.[12]

IV. Ansar al-Islam, Al-Qaïda et la connexion irakienne 
Dans un rapport de son correspondant à Washington, le quotidien saoudien Al-Jazira affirme que  » l’administration américaine essaie à présent [en juillet] de mettre en évidence ce qu’elle qualifie de liens solides entre Ansar al-Islam et les services de renseignements irakiens. L’administration américaine cherche [ainsi] un lien entre Bagdad et Al-Qaïda.  »

Le rapport rend compte brièvement des origines d’Ansar al-Islam et des violents affrontements l’ayant opposée à l’union patriotique du Kurdistan [UPK], précisant que les tensions se sont à nouveau aggravées en juillet dernier et que l’UPK  » a accusé Ansar al-Islam de contrevenir aux accords conclus, tandis qu’Ansar al-Islam affirme que Washington aurait instruit l’UPK de couper tout contact avec elle et d’essayer de l’écraser avant qu’elle n’assoie ses positions en Irak du Nord.  »

Ce faisant,  » l’UPK a arrêté plusieurs membres d’Ansar al-Islam, précisant que parmi eux se trouvait un dénommé ‘Abou Iman al-Baghadi’ qui travaillait aux services de renseignements et était chargé d’assurer la sécurité d’un vieil officier des renseignements surnommé ‘Abou Wail’ – un membre de la direction d’Al-Ansar depuis le début de l’année.  »

Le rapport indique que pour l’Administration américaine,  » il existe suffisamment de preuves établissant un fort lien entre Bagdad et Al-Qaïda… pour convaincre l’opinion publique américaine de soutenir la guerre contre l’Irak… [Par le passé], les sources militaires américaines avaient affirmé qu’Ansar al-Islam ne représentait pas un problème majeur… en raison de sa petite taille. Ces mêmes sources se sont mises à chanter un autre air.  »

V. Les Irakiens autorisés à recouvrer leur nationalité irakienne 
Lors d’une réunion du cabinet présidé par Saddam Hussein, il a été décidé que  » tout Irakien qui abandonne sa citoyenneté étrangère a le droit de recouvrer sa citoyenneté irakienne dès qu’il termine de procéder à son auto-critique. En revanche, celui qui obtient une citoyenneté étrangère pour la deuxième fois n’aura plus jamais le droit de recouvrer la citoyenneté irakienne… Cette décision est rétroactive… « [13]

VI. Les Kurdes en Irak du Nord : nouvelles et opinions 

1. Réconciliation renforcée entre les deux principaux partis kurdes 
Les chefs des deux principaux partis kurdes du Nord de l’Irak, Al-Barazani et Al-Talabani, ont tenu une conférence de presse commune à la suite de la réconciliation officielle de leurs partis respectifs. Ils ont insisté sur la signification historique de cet accord, présenté ses grandes lignes et souhaité qu’il contribue  » à instaurer la paix au Kurdistan irakien.  »

Evaluant l’impact de cet accord, Al-Talabani souligne :  » Les Kurdes ont su faire de l’ordre dans leurs affaires et sauront se battre ensemble, d’une seule voix… pour réaliser leurs buts politiques…  » Il fait remarquer que  » l’opposition irakienne se bat pour la mise en place d’un système parlementaire, démocratique et fédéral en Irak… « , ajoutant que  » la plupart des Irakiens ont aujourd’hui pour principal but la création d’un système fédéral…  »

Elaborant sur relations entre les Kurdes d’un côté, la Turquie et des pays voisins de l’autre, Al-Barazani souligne :  » … Nous avons toujours cherché à établir des relations d’amitié et de coopération avec les pays voisins… basées sur le respect mutuel …  » Concernant le rôle des Kurdes dans l’opposition irakienne, il précise que  » …ces deux partis sont le pivot de l’opposition irakienne, et je n’exagère pas en disant qu’ils jouent un rôle décisif dans les meetings [de l’opposition], qu’ils participent largement à leur direction et à la formation de décisions…  » [14]

Le journal turc Hurriyet (21 septembre) rapporte que les deux chefs des partis kurdes se sont mis secrètement d’accord pour former une armée unie et poursuivre le recrutement de jeunes combattants. Le journal cite aussi des sources du Renseignement turc, lesquelles auraient affirmé que les Etats-Unis ont dernièrement envoyé des armes de technologie de pointe au Nord de l’Irak, à l’attention des combattants kurdes.[15]

2. Al-Barazani : certaines actions commises au nom de l’islam lui sont étrangères 
Sans mentionner le nom d’Ansar al-Islam, le dirigeant kurde a vivement critiqué  » les actes de violence, les meurtres et le mal commis au nom de l’islam… Ceux qui agissent de la sorte ne comprennent pas l’essence de l’islam. Pire encore, ils font de la religion un prétexte à la réalisation de leurs buts politiques… Nous, au Kurdistan irakien, considérons toute forme d’irrespect de notre religion, foi ou doctrine comme un crime majeur, impardonnable.  »

3. La Turquie pourrait rouvrir son consulat à Mosul 
Un porte-parole du ministre turc des Affaires étrangères a annoncé (13 septembre 2002) que la Turquie  » s’apprête à rouvrir son consulat à Mosul [dans la région autonome kurde, au Nord de l’Irak], où les Turkmènes représentent une majorité…  » Concernant les efforts déployés par le PDK pour détendre les relations avec la Turquie, le porte-parole a affirmé que  » la Turquie a pris bonne note des affirmations du PDK, favorable à l’intégrité territoriale de l’Irak et à la mise en place d’une structure administrative démocratique, dans l’éventualité d’un Irak post-Saddam ».[16]


[1] Al-Watan (Arabie Saoudite), le 26 septembre 2002

[2] Al-Sharq al-Awsat (Londres), le 22 septembre 2002

[3] Al-Watan (Koweït), le 17 septembre 2002

[4] Al-Hayat (Londres), le 26 septembre 2002

[5] Al-Sharq al-Awsat (Londres), le 24 septembre 2002

[6] Al-Sharq al-Awsat (Londres), le 15 septembre 2002

[7] Al-Gumhuriya (Egypte), le 11 septembre 2002

[8] Al-Jumhuryia (Irak), le 24 septembre 2002

[9] Al-Watan (Koweït), le 24 septembre 2002

[10] Al-Watan (Koweït), le 25 septembre 2002

[11] Al-Sharq al-Awsat (Londres), le 25 septembre 2002

[12] Al-Jazira (Arabie Saoudite), le 15 septembre 2002

[13] Al-Thawra (Irak), le 23 septembre 2002

[14] Khabat (PDK), le 13 septembre 2002

[15] Arabicnews.com, le 23 septembre 2002

[16] Cumhuriyet (Turquie), le 14 septembre 2002

 
 

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