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19 September 2002
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Nouvelles économiques régionales

I – Nouvelles économiques régionales

Déclin du PIB des pays arabes en 2001
Des données publiées par le Fonds monétaire arabe montrent que le Produit Intérieur Brut des pays arabes pris dans leur ensemble a baissé de 1.9% en 2001. Cette baisse est attribuée au déclin des revenus du pétrole qui, de 193 milliards de dollars en 2000, sont passés à 152 milliards de dollars en 2001, suite aux événements du 11 septembre.

Au cours de la même année, les budgets gouvernementaux ont souffert d’une augmentation des dépenses et d’une baisse des revenus. Les dépenses ont atteint 211.2 milliards de dollars tandis que les revenus sont tombés à 193.8 milliards de dollars, engendrant un déficit de 17.4 milliards de dollars. [1]

L’OPEP dépasse les quotas de production
Certains membres de l’OPEP ont dépassé leurs quotas de production de 2.15 millions de barils par jour en août, soit de 10%. Il s’agit du dépassement le plus important depuis 1998, année où le prix du pétrole avait enregistré un net déclin. C’est le sixième mois consécutif de dépassement. Le système des quotas a été essentiellement enfreint par l’Algérie (30%), le Niger (9.5%) et l’Arabie Saoudite, plus gros producteur (9%). Ces augmentations, selon le journal, mettent en danger la crédibilité de l’organisation. [2]

Inquiétude aux Etats-Unis face à un éventuel retrait des investissements saoudiens

Selon une étude du Forum mondial de l’économie, une filiale de Morgan Stanley, l’inquiétude va croissant aux Etats-Unis face aux effets d’un éventuel retrait des investissements saoudiens du marché américain. On estime que les investissements saoudiens sur les marchés étrangers se montent à 750 milliards de dollars, dont 60%, soit 450 milliards de dollars, investis dans le marché américain (290 milliards de dollars le sont en biens immobiliers). Avec un déficit commercial de près de 350 milliards de dollars par an, les Etats-Unis devraient attirer 1 milliard de dollars par jour pour soulager la pression sur la valeur du dollar. L’étude attire l’attention sur le danger d’un durcissement des relations entre les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite, susceptible de conduire à une élévation du prix du pétrole, laquelle gèlerait une croissance de l’après-récession plutôt timide aux Etats-Unis. [3]

Parallèlement, le quotidien saoudien Al-Watan rapporte qu’en dépit de l’appréhension de l’Arabie Saoudite et d’autres investisseurs du Golf, et malgré le procès portant sur 100 trillions de dollars intenté au gouvernement saoudien, ses institutions financières et ses grands princes, il n’y a pas eu d’effort notable de la part des investisseurs saoudiens et de la région du Golf pour entreprendre un retrait de leurs investissements des marchés américains. [4]

Un autre article rapporte que les compagnies islamiques d’investissement préfèrent investir dans des immeubles de luxe et d’autres biens immobiliers haut de gamme. Le département américain du Commerce place le Koweït parmi les dix investisseurs étrangers les plus importants sur le marché américain de l’immobilier. [5]

Opinions divergentes sur le boycott des produits américains
La campagne au Moyen-Orient pour le boycott des biens et services américains (automobiles, cigarettes, restaurants fast food et habillement), dans le but de ” protester contre ce qui est perçu comme une politique pro-israélienne des Etats-Unis “, ne s’est pas calmée. Ihsan Abou Hulaïqa, économiste saoudien et membre du Conseil consultatif (organisme consultatif influent en Arabie Saoudite) s’est déclaré favorable au boycott tout en signalant les effets indésirables de ses excès. Un autre économiste saoudien, qui a souhaité garder l’anonymat, a manifesté sa vive opposition à l’encontre de la position de Hulaïqi, expliquant que les marchés américains sont trop importants pour se trouver affectés par le boycott arabe, même si ce dernier concernait l’ensemble des pays arabes. Il a ajouté que la campagne pour le boycott cause du tort aux producteurs, travailleurs et capitalistes saoudiens, alors que son impact sur l’économie des Etats-Unis serait nul. Il a accusé ceux qui encouragent le boycott au nom [de la défense] du peuple palestinien de faire preuve de démagogie, vu que les Palestiniens eux-mêmes n’ont pas manifesté d’intention similaire. [6]

Les finances d’Al-Qaida ne sont pas touchées
Un récent rapport rendu public par le comité des Nations unies chargé de surveiller les finances d’Al-Qaïda évalue l’aide financière en provenance des pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord à 30 millions de dollars, précisant qu’elle pourrait aller jusqu’à 300 millions de dollars (sur une durée non indiquée ; il semblerait que ce soit par an). De plus, les 16 millions de dollars annuels attribués à Al-Qaïda à titre ” charitable ” n’ont pas été affectés par la ” guerre contre le terrorisme “. Cela dit, un an après le 11 septembre, et en dépit d’efforts concertés pour geler, confisquer ou déranger les importantes finances saoudiennes, les résultats obtenus sont minimes. La somme totale gelée ou confisquée est estimée à 10 millions de dollars. [7]

II – Le problème de l’eau

Bagdad cherche un arrangement avec la Turquie et la Syrie sur la question de l’eau
Rassoul Abd El-Hussein Saouadi a déclaré que son pays cherchait encore à reprendre les meetings de la commission tripartite pour l’eau (entre la Turquie, la Syrie et l’Irak), par des moyens diplomatiques. L’Irak accuse la Turquie de construire sur l’Euphrate des barrages qui ont considérablement réduit le flux des eaux en aval vers la Syrie et l’Irak, eaux destinées à l’agriculture comme à la boisson. La Turquie s’est retirée de la commission tripartite il y a quelques années, refusant dès lors de participer aux débats. [8]

Egypte : Aucune modification des accords sur le bassin du Nil

Dr. Mahmoud Abou Zaïd, ministre égyptien des Ressources en eau et de l’Irrigation a déclaré que le lac Nasser (Assouan Dam) était rempli à ras bord, avec 123 milliards de mètres cubes d’eau. Il a ajouté que les accords entre les 10 pays ayant accès au bassin du Nil ont été respectés mais que la construction de barrages sur le Nil supérieur réduirait la quantité d’eau s’écoulant vers le Soudan et l’Egypte. Il a précisé que les institutions internationales ne financeraient aucun projet sur le bassin du Nil susceptible d’affecter l’un de ces 10 pays. [9] [L’Egypte s’inquiète de l’intention de l’Ethiopie de construire un important barrage sur son territoire, et suspecte une participation israélienne]

La Syrie projette de réduire ses dépenses d’eau
Le gouvernement syrien a lancé une campagne pour réduire ses dépenses d’eau dans le domaine de l’agriculture. L’utilisation de méthodes d’irrigation traditionnelles fait que 90% des ressources syriennes en eau vont à l’agriculture. Si un système d’irrigation moderne constitué d’arroseurs était introduit dans les champs de blé, le rendement augmenterait de 23% (soit une augmentation de 819 000 tonnes) tandis que les dépenses d’eau seraient réduites de 43%, soit 6.1 milliards de mètres cubes. De même, l’utilisation d’arroseurs dans les champs de coton, sur une superficie de 250 000 hectares, augmenterait le rendement de 19% et réduirait les dépenses d’eau de 27%. Le gouvernement accordera des prêts à taux référentiels aux agriculteurs qui choisiront de passer aux méthodes d’irrigation modernes. [10]

Israël s’engage à s’approvisionner en eau auprès de la Turquie
Israël s’est engagé à respecter l’accord conclu il y a deux ans, stipulant l’achat par Israël de 50 millions de mètres cubes d’eau à la Turquie pour chacune des 20 années à venir. L’exécution de cet engagement a été retardée par l’inquiétude du ministère des Finances face à une augmentation trop forte du coût de l’eau. Pour sa part, le ministère des Affaires étrangères a déclaré que la question du coût devait être ignorée au profit du maintien des excellentes relations avec la Turquie. [11]

La Jordanie annonce l’élaboration d’un plan pour créer un canal entre la mer rouge et la mer morte

Hazim Al-Nasser, ministre jordanien de l’Eau, a décidé, au sommet des Nations unies sur le Développement durable (à Johannesburg), de l’élaboration d’un plan de construction d’un canal reliant la mer rouge et la mer morte, afin de contrecarrer le déclin des eaux de la mer morte causé par une réduction des arrivées d’eau et l’extraction importante de ses ressources minérales par la Jordanie et Israël. Ces quarante dernières années, le niveau de l’eau de la mer morte est tombé de 392 mètres à 412 mètres au-dessous du niveau de la mer. Des problèmes d’ordre politique, écologique et financier font toutefois encore obstacle à la construction du canal. [12]

Ce projet a essentiellement critiqué par le professeur Dan Zaslavski, ancien commissaire des eaux en Israël. M. Zaslavski explique qu’en plus du coût élevé du projet, le transfert des eaux de la mer rouge à la mer morte réduirait la salinité de cette dernière, et donc la qualité de ses ressources et propriétés naturelles. Il pourrait en outre occasionner de mauvaises odeurs susceptibles d’éloigner les touristes de la région.[13]

Irak Bagdad entre la guerre et les accords commerciaux
Sous ce titre, Abd El-Rahman Al-Rashid, directeur du quotidien saoudien Al-Hayat, édité à Londres, annonce que le gouvernement irakien a entrepris de se préparer à la guerre avec les Etats-Unis en témoignant d’une ” générosité commerciale sans précédent “, de quelques 40 milliards ” imaginaires ” vis à vis de la Russie et d’un nombre inconnu de milliards vis à vis de la Turquie, tandis que certains pays font la queue pour vendre leur soutien politique à l’Irak.

Pourquoi l’Irak, demande Al-Rashid, a-t-elle recours à cette politique du dollar contre la plus grande armée et le plus riche pays au monde ? Selon lui, cette attitude témoigne d’une réflexion simpliste sur un sujet hautement complexe et dangereux. Il en coûterait beaucoup moins au régime, insiste Al-Rashid, d’adopter une politique d’ouverture et de transparence. [14]

Le vice-président irakien, Taha Yassine Ramadhan, a signé de nombreux accords avec la Syrie pour la création d’entreprises industrielles communes d’une valeur de 700 millions de dollars. [15] A peine une semaine plus tôt, l’Irak avait annoncé son intention de signer des accords bilatéraux de ce type avec la Syrie pour une valeur de 500 millions de dollars. [16] [Les chiffres concernant le volume des accords potentiels entre l’Irak et d’autres partenaires semblent avoir été régulièrement révisés à la hausse sans que soit prise en compte la quantité des ressources disponibles dans le cadre du programme ” Pétrole contre denrées alimentaires “.]

L’Irak, premier débouché des exportations jordaniennes
Les chiffres dernièrement publiés par le ministère jordanien de l’Industrie et du Commerce font apparaître l’Irak comme le principal partenaire commercial de la Jordanie. Les exportations jordaniennes à destination de l’Irak ont atteint, dans la première moitié de l’an 2002, 181.3 millions de dollars, soit 19% des exportations jordaniennes totales. Parallèlement, les importations jordaniennes en provenance de l’Irak, consistant essentiellement en pétrole et produits pétroliers, ont atteint 311.7 millions de dollars, soit 14% des importations jordaniennes totales. Le commerce total entre les deux pays s’élevait à 900 millions de dollars en 2001, soit plus que le commerce total avec les Etats-Unis, lequel se montait à 600 millions de dollars. [17]

Arabie Saoudite

L’Arabie Saoudite procède à la construction stratégique d’une deuxième installation de stockage de pétrole
L’Arabie Saoudite a récemment terminé la construction de sa deuxième réserve stratégique de pétrole dans la région de Jeddah. Le projet, considéré comme de très grande envergure, a nécessité le creusement de 18 millions de mètres cubes de terre, l’application de 7.1 millions de tonnes de béton, 188 000 tonnes d’acier, 8 100 kilomètres de pipelines et 5000 kilomètres de fils électriques. Le coût du projet a été évalué à 3 milliards de dollars, pour une capacité de stockage de 12 millions de barils de pétrole. Un projet plus ancien avait été réalisé trois ans plus tôt à Riad. [18]

Les Européens prêts à financer une campagne contre les compagnies américaines en Arabie Saoudite

Huit compagnies européennes (britanniques, françaises et allemandes) ont informé leurs représentants en Arabie Saoudite de leur souhait d’apporter une contribution de 50% au coût d’une campagne contre la ” dépendance saoudienne ” aux fast food, boissons sucrées et produits dérivés du tabac en provenance des Etats-Unis. Le coût total de la campagne, devant durer 5 ans, serait de 225 millions de rials saoudiens (60 millions de dollars). La campagne se ferait au moyen d’annonces publicitaires dans la presse et les médias télévisés. Le nom des compagnies n’a pas été divulgué. [19]

Iran

Zamzam Cola désaltèrera les pèlerins de la Mecque
Le producteur iranien de Zamzam Cola cherche à remplacer Pepsi Cola et Coca Cola en faisant de Zamzam Cola la boisson sucrée privilégiée des pèlerins de la Mecque. La compagnie iranienne produit 800 millions de litres par an et exporte ses produits en Arabie Saoudite, au Bahrayn, au Qatar, vers l’Union des émirats arabes et en Irak. La compagnie produit aussi 300 millions de bouteilles de bière Halal [sans alcool], commercialisée exclusivement par l’Iran. [20]

Chômage en hausse
Le ministère iranien du Travail a rapporté que le chômage en Iran a battu un nouveau record en atteignant les 14.8%. Le ministre du Travail Ali Yaqoubi a prédit une aggravation de la situation, 5.5 millions de nouveaux demandeurs d’emplois étant attendus sur le marché du travail les quatre années à venir. [21]

Union des émirats arabes
L’Union des émirats arabes établit de nouveaux contrôles sur les transferts monétaires saoudiens

Dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d’argent, la banque centrale de l’Union des émirats arabes a établi, sur la demande de l’Arabie Saoudite, de nouvelles mesures de contrôle sur le transfert de fonds saoudiens via l’Union des émirats arabes. [22]

Egypte

Modernisation de trois aéroports régionaux
L’Egypte octroiera 75 millions de dollars à la modernisation des systèmes de radars et autres installations de trois aéroports régionaux : El Arish, Taba et Burj Al-Arab. Cette décision intervient après la modernisation de quatre autres aéroports régionaux : Sharm Al-Cheik, Ghardaqa, Luxor et Aswan.[23]

La pauvreté et le chômage en Egypte
La fédération égyptienne des sociétés civiles, qui participait au sommet mondial sur le Développement durable à Johannesburg, y a soumis un rapport indiquant que 38% du peuple égyptien vit en dessous du seuil de la pauvreté, dont 4.7%, soit cinq millions, vivent de moins d’un demi-dollar par jour. Parallèlement, le taux de chômage a atteint 25%. [24]

Syrie

25 millions de dollars pour des investissements sur cinq ans
Dans une interview accordée au quotidien Al-Hayat, le ministre syrien de l’Industrie, le Dr Issam Al-Zaïm, a déclaré que son gouvernement avait décidé de l’investissement de 25 milliards de dollars dans les secteurs public et privé sur les cinq ans à venir, 14.6% de la somme provenant de sources extérieures. Il a précisé que la ” privatisation sera écartée de manière définitive pour des considérations sécuritaires, économiques et stratégiques. ”

Interrogé sur l’application de la loi sur les banques privées, considérée par la presse syrienne comme un symbole de libéralisation économique, le ministre a répondu qu’elle nécessitait ” la mise en place d’un cadre légal, administratif, organisé permettant de mener à bien la procédure “, ce qui pouvait prendre longtemps. [25] [En pratique, la Syrie a opté pour le maintien d’un système économique responsable de la stagnation, la bureaucratisation, la corruption et le gaspillage.]

La Syrie pourvoit la Jordanie en eau
La Syrie a entrepris de pomper trois millions de mètres cubes d’eau destinés à la Jordanie, sur une période de 45 jours, pour pallier au manque d’eau potable de ce pays. Le taux de pompage sera de 700 litres par seconde. L’eau s’écoulera du barrage du martyr Basil Al-Assad vers le canal Abdallah, situé à proximité d’Amman. [26]

Jordanie

385 millions de dollars d’aide étrangère
La Jordanie a reçu 385 millions de dollars d’aide étrangère durant la première moitié de l’an 2002. Le ministère de la Planification évalue l’aide totale pour 2002 à 668 millions de dollars, soit une augmentation de 44.6 % par rapport à l’aide totale de l’année précédente, qui s’était élevée à 462 millions de dollars. [27]

Libye

Une compagnie chinoise construit des pipelines de pétrole et de gaz
La Compagnie nationale chinoise de pétrole, la plus importante de Chine, a gagné un contrat d’une valeur de 230 millions de dollars lui permettant de construire un pipeline à double usage (pétrole et gaz naturel) en Libye. Le pipeline mesurera 520 km et reliera le champ de pétrole de Wafa, au Sud de la Libye, à une région située à 50 km de la capitale. [28]

Israël

La dette extérieure en hausse
La Banque d’Israël (banque centrale) a annoncé que la dette extérieure d’Israël avait augmenté de 2.1 milliards les six premiers mois de cette année, atteignant les 66 milliards de dollars, après une hausse de seulement 500 millions de dollars en 2001. L’économie israélienne est en récession depuis deux ans, d’une part en raison du ralentissement de l’économie mondiale, lequel a affecté les exportations de technologie israélienne, et d’autre part en raison de l’Intifada. [29]

Autorité Palestinienne

Taux de chômage élevé parmi les Palestiniens
Selon un rapport rendu public par Terje Larsen, représentant spécial de Nations unies pour la rive Ouest et Gaza, le taux de chômage parmi les Palestiniens a atteint 50% en 2002 à cause de bouclages qui relèguent entre 600 000 et 900 000 Palestiniens à leurs domiciles. Les pertes éprouvées par l’économie palestinienne pendant les années d’Intifada ont atteint 7.6 milliards de dollars. [30] Un rapport de l’UNRWA (United Nations Relief Agency for Palestinian Refugees) estime que 64% de la population de la rive Ouest et 80% à Gaza vivent en dessous du seuil de la pauvreté. [31]

* Le Dr Nimrod Raphaeli est directeur du programme d’études économiques de MEMRI


[1] Al-Hayat, le 29 août 2002

[2] Al-Qods al-Arabi, le 4 septembre 2002

[3] Al-Hayat, le 28 août 2002

[4] Al-Watan, le 5 septembre 2002

[5] Al-Hayat, le 30 août 2002

[6] Al-Sharq al-Awsat, le 18 août 2002

[7] Al-Hayat, le 4 septembre 2002

[8] Al-Iqtissadi (Bagdad), le 4 septembre 2002

[9] Al-Sharq al-Awsat, le 18 août 2002

[10] Techrine, le 26 août 2002

[11] Al-Hayat, le 8 août 2002

[12] Al-Qods al-Arabi, le 8 août 2002

[13] Al-Sharq al-Awsat, le 30 août 2002

[14] Al-Sharq al-Awsat, le 26 août 2002

[15] Al-Hayat, le 30 août 2002

[16] Al-Hayat, le 23 août 2002

[17] Al-Qods al-Arabi, le 27 août 2002

[18] Al-Qods al-Arabi, le 8 août 2002 et Al-Hayat, le 29 août 2002

[19] Al-Qods al-Arabi, le 29 août 2002

[20] Al-Qods al-Arabi, le 27 août 2002

[21] Al-Hayat, le 30 août 2002

[22] Al-Sharq al-Awsat, le 4 septembre 2002

[23] Al-Sharq al-Awsat, le 27 août 2002

[24] www.elaph.com, le 28 août 2002

[25] Al-Hayat, le 1er septembre 2002

[26] Al-Qods al-Arabi, le 29 août 2002

[27] Al-Sharq al-Awsat, le 4 septembre 2002

[28] Al-Bayan (Union des émirats arabes), le 23 août 2002

[29] Al-Sharq al-Awsat, le 4 septembre 2002

[30] Al-Qods al-Arabi, le 30 août 2002

[31] Al-Watan, le 27 août 2002

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