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Asie, Politique, Religion
23 octobre 2017
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Le chercheur de MEMRI Tufail Ahmad lors de la Conférence soufie d’Asie du Sud : « Nous devons admettre que la paix et la réforme peuvent se produire sans le secours de l’islam »

La Conférence soufie d’Asie du Sud s’est tenue dans la ville touristique de Jaipur, Inde.

Par : Tufail Ahmad 

Tufail Ahmad, chargé de recherche pour le projet Islamism and Counter-Radicalization Initiative de MEMRI, a pris la parole lors du Festival soufi d’Asie du Sud, qui s’est tenu du 6 au 9 octobre 2017 à Jaipur, également connue sous l’appellation « ville rose » d’Inde. On trouvera ci-dessous le texte de son intervention :

« J’écris principalement sur les menaces djihadistes posées à la civilisation et sur le besoin d’une réforme islamique… »

Je remercie les organisateurs – en particulier, Ajeet Cour ji et Dr Anand Kumar ji – de m’avoir invité ici. On m’a demandé de m’exprimer sur le rôle de l’islam dans la paix mondiale. Le 16 février dernier, un terroriste suicide a attaqué le sanctuaire du mystique soufi Lal Shahbaz Qalandar à Sehwan Sharif, au Pakistan. Ce mois-ci, deux quotidiens indiens en ourdou, Roznama Sahafat le 9 février et Roznama Khabrein le 6 février, ont justifié la démolition de mosquées au nom de l’islam, affirmant que le prophète Mohammed lui-même avait ordonné la démolition d’une mosquée, Masjid-e-Zarrar, construite par des mounafiqin (littéralement : les musulmans hypocrites, ou dissidents) à Médine.

J’écris principalement sur les menaces sécuritaires djihadistes pour la civilisation et sur la nécessité d’une réforme islamique, et j’ai donc un point de vue qui découle du conflit. Mais je suis conscient que dans ce festival soufi de quatre jours, il y a un grand nombre de personnes qui ont une opinion pacifique. Il y a environ 200 orateurs, danseurs, artistes, musiciens et interprètes – y compris 94 poètes d’Afghanistan, du Bangladesh, de Bhoutan, du Népal, du Sri Lanka, des Maldives et d’Inde.

Les langues se plient à la force de l’histoire. Du fait de la partition de l’Inde en 1947, la langue ourdou a perdu son caractère progressif et est tombée aux mains des cheikhs musulmans en Inde ; au Pakistan, elle est devenue une langue du colonialisme pour les populations (ne parlant pas l’ourdou) de Sindh, du Balouchistan, de Khyber Pakhtunkhwa et d’autres régions. Mais la langue, en particulier la poésie, peut aussi être une force positive.

Le poète américain Jorie Graham a dit : « La poésie veut être contagieuse. » Si nous adoptons cette approche, les poètes peuvent inspirer, et inspirent une génération de musulmans et de non musulmans pour être une force positive, une force de paix, une force contagieuse en faveur de la civilisation. Adopter le point de vue d’un poète sera cohérent avec une vision soufie de l’islam, en harmonie avec les divers éléments du monde, qui est aussi cohérente avec le fait sociologique que la grande majorité des musulmans du monde vivent en paix.

« Nous devons expliquer ce qu’est l’islam – pour comprendre pourquoi il y a la paix et pourquoi il y a un bain de sang djihadiste »

Avec cette méthodologie, comme la plupart des musulmans vivent en paix, il n’est pas nécessaire d’aborder le rôle de l’islam dans la paix mondiale. Ceci est une vision qui émane de la paix, une approche qui découle de la paix, mais elle ne parvient pas à expliquer pourquoi il y a un bain de sang au nom de l’islam. Et par conséquent, nous devons expliquer ce qu’est l’islam – pour comprendre pourquoi il y a la paix d’une part, et pourquoi il y a un bain de sang d’autre part. Cela nous amène à la seconde approche, une vision découlant du conflit, une approche qui provient du conflit.

Les idées ont des conséquences. Pour autant que les idées ont des conséquences, toute compréhension de l’islam doit rendre compte de tous les mythes, croyances, idées et pratiques qui influent sur la vie des musulmans, qu’on les approuve ou non. Si une idée est conséquente, elle ne peut être exclue d’une compréhension de l’islam. De ce point de vue, l’islam émerge tel un mouvement d’idées – en conséquence duquel il n’y a pas de Juifs en Arabie saoudite, pas de Zoroastriens en Iran, pas d’Hindous au Balouchistan, pas d’Hindous au Pakistan, pas de Sikhs à Lahore, à l’origine métropole, et pas d’Hindous dans la vallée du Cachemire. […]

Malheureusement, si les critiques du christianisme, de l’hindouisme et des autres religions sont qualifiés de réformateurs, les critiques de l’islam sont rejetés comme islamophobes.

Martin Luther, Raja Ram Mohun Roy et Sir Syed ont vécu à une époque pré-démocratique. Toutefois, un autre réformateur, Hamid Dalwai (1932-77), a situé la réforme de l’islam dans une ère de démocratie et fait campagne pour la liberté individuelle et contre les orthodoxies musulmanes. Si nous avons besoin de réformateurs comme Luther parmi les religieux musulmans qui émergeront, nous devons reconnaître que la paix et la réforme peuvent survenir sans recourir à l’islam. Malheureusement, si les critiques du christianisme, de l’hindouisme et des autres religions sont qualifiés de réformateurs, les critiques de l’islam sont rejetés comme islamophobes, comme l’a récemment observé Taslima Nasreen, auteure bangladeshie aujourd’hui exilée en Inde. […]

Lire le rapport dans son intégralité en anglais

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