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Education, Pays du Levant
23 August 2017
|

Le coach palestinien Nadeem Abou Khalaf : les femmes parlent plus que les hommes parce qu’elles ont plus de centres linguistiques dans le cerveau

Voir la vidéo sur MEMRI TV

Nadeem Abu Khalaf, qui dirige le Centre des experts pour le développement humain et représente l’Association internationale des formateurs de programmation neuro-linguistique en Palestine, a affirmé que les femmes disposaient de six centres de langage dans le cerveau, alors que les hommes, selon lui, n’en ont qu’un. En outre, selon Abou Khalaf, « le cerveau de l’homme opère étape par étape, alors que celui de la femme opère ‘comme un escargot’ et est multi-tâches ». S’exprimant sur Al-Quds TV le 20 juillet, Abou Khalaf a tenté de donner des conseils sur la manière de résoudre les conflits conjugaux.

Nadeem Abu Khalaf : Les femmes ont quatre… non, six… Elles ont six centres de langage [dans le cerveau]. Lorsqu’elles parlent, les femmes activent six centres de langage. Les hommes, de leur côté, n’ont qu’un centre de langage. En moyenne, les femmes prononcent entre 20 000 et 40 000 mots par jour, tandis que les hommes n’en prononcent que 7 000 à 14 000 en moyenne. Lorsque j’aborde un problème avec ma femme, je prononce à peine cinq mots, et elle en a déjà dit 30. Bien, bien… Elle a déjà dit 30 mots. Si elle comprenait seulement qu’elle a plus de centres de langage que moi, elle l’accepterait. C’est la première chose. La seconde est que son esprit est circulaire, tandis que le mien est linéaire. Le cerveau de l’homme procède étape par étape, tandis que celui de la femme opère comme un escargot. Elle pense et accomplit plusieurs choses simultanément.

Qu’est-ce que cela signifie ? Lorsque je rentre chez moi après une journée de travail, j’ai besoin de 5 à 15 minutes pour aller de l’étape 1 à l’étape 2. Mais lorsque j’arrive chez moi, elle est en train de s’occuper du linge, du problème que son fils a causé, des corvées quotidiennes, du mariage du soir et des corvées du surlendemain… Tout cela se mélange, et elle attend de moi que je les traite sur le champ. Mais je ne peux pas. C’est injuste. Je préfère être seul. Si elle ne comprend pas qu’un homme fonctionne étape par étape, et si je ne comprends pas qu’elle peut accomplir plusieurs tâches en même temps, je ne pourrai régler aucun conflit. Elle entre dans les détails, alors que je vais droit au but. Le cerveau de l’homme rend les choses concises.

Intervieweur : La femme doit aussi comprendre que l’homme pense de la manière que vous avez expliquée, et qu’il ne peut comprendre qu’une chose à la fois. Elle devrait le décomposer, pour que le problème puisse être résolu.

Nadeem Abu Khalaf : Notre compréhension des conflits dans le couple est la clé de la solution. Il existe une troisième différence aussi. Afin de résoudre un problème, l’homme doit se trouver seul. Il doit s’asseoir pour réfléchir et le résoudre. La femme, de son côté, a besoin d’un groupe. Quelque 7 000 cellules nerveuses travaillent dans le cerveau de la femme lorsqu’il se pose un problème. Cela n’est pas le cas pour les hommes. C’est pourquoi la femme commence par parler à son père, à sa mère, à n’importe qui. Avec les hommes, cela ne fonctionne pas ainsi. Lorsqu’un problème se pose, l’homme doit être seul, regarder la télé, lire le journal, attraper un stylo et une feuille de papier et planifier la résolution du problème.

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