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Egypte, Politique
8 December 2016
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La crise économique en Egypte déclenche des appels de plus en plus nombreux à réduire le taux de natalité du pays – Partie II

Un religieux dirige une conférence à Alexandrie intitulée "Le sens de la planification familiale en Islam" (Al-Sharq Al-Awsat, Égypte, 15 mars 2016)

Etant donné la gravité du phénomène et de ses implications pour la société et l’économie égyptiennes, l’establishment religieux égyptien, dirigé par le Cheikh d’Al-Azhar, a exprimé son soutien à la politique du régime visant à encourager une baisse du taux de natalité.

Le Cheikh d’Al-Azhar, Ahmed Al-Tayeb, a déclaré lors d’une grande conférence, en réponse à une question du président Al-Sissi, que la loi islamique autorisait la planification familiale. L’ancien mufti égyptien Ali Guma a également mis en garde contre le problème de la croissance démographique en août 2016, lors d’une cérémonie d’inauguration d’un projet de construction de dix mille logements abordables en Haute Egypte. Il a affirmé : « Prenez garde à la croissance démographique, car elle ruinera [le pays]. » [14]

Le site web de Dar Al-Ifta, l’institution officielle égyptienne chargée d’émettre des fatwas, a affirmé que la planification familiale était permise et même requise par la loi islamique. En réponse à une question posée en janvier 2016 par une mère égyptienne de deux enfants, qui a écrit que son mari et elle avaient décidé d’attendre avant d’avoir plus d’enfants en raison de difficultés économiques, l’institution a répondu qu’un homme qui ne planifie pas sa famille endosse de trop grandes responsabilités, ce qui peut nuire à lui-même, à sa femme et à ses enfants. Dar Al-Ifta a ajouté que « l’islam n’exige pas que chaque musulman ait un certain nombre d’enfants, mais exhorte tous les musulmans à procréer, appel [destiné] à ceux qui le peuvent… Quant à ceux qui ne peuvent pas [avoir de nombreux enfants] en raison de difficultés économiques, la loi islamique leur demande d’être patients et sages… L’objectif de la planification familiale est que les deux parents acceptent d’utiliser des moyens contraceptifs pendant un certain laps de temps, ce afin de limiter la taille de la famille et de garantir la capacité des parents de fournir à leurs enfants les meilleurs soins possibles sans privations… » [15]

En fait, dès 2003, le centre de recherche islamique d’Al-Azhar a établi que la planification familiale était autorisée selon la loi islamique et qu’elle n’était pas considérée comme un homicide du foetus, puisque la femme qui utilise les moyens contraceptifs ne tombe pas enceinte. Selon cette décision, la planification familiale signifie un espacement des grossesses pour préserver la santé de la mère afin qu’elle puisse élever ses enfants, et cela est autorisé par la loi islamique, car aucun texte ne l’interdit dans le Coran ou la Sunna. [16]

Conférences et ateliers pour sensibiliser à la planification familiale

Au cours de l’année écoulée, le ministère de la Santé égyptien a organisé des conférences et des ateliers d’information à l’intention des citoyens, en particulier les femmes, afin de sensibiliser au concept de planification familiale dans la société. Ces activités se sont déroulées dans divers gouvernorats comme Al-Dahlia, Al-Mina et Assiout, dans les zones rurales de la Haute-Egypte. Les ateliers comprenaient également la distribution de contraceptifs oraux gratuits, et certaines réunions étaient encadrées par des religieux, qui expliquaient que la pratique était autorisée dans l’islam [17].

En outre, en juin 2016, le ministère de la Solidarité sociale a alloué 30 millions de livres égyptiennes aux associations qui encouragent la planification familiale [18].

Conférence sur la réduction du taux de natalité à Al-Dakahlia (Al-Yawm Al-Sabi, Egypte, 19 juillet 2016)


Les journalistes égyptiens appellent le gouvernement et les religieux à agir pour réduire le taux de natalité

L’inquiétude suscitée par la croissance rapide de la population a également été exprimée dans des articles de la presse égyptienne avertissant de ses graves conséquences pour l’Egypte et son économie. Beaucoup ont accusé les autorités de ne pas faire assez pour résoudre ce problème, et d’autres ont appelé les religieux à aborder la question et à réformer le discours religieux à ce sujet. Certains ont même appelé à s’inspirer de la Chine, qui a imposé des mesures énergiques pour réduire radicalement sa natalité, parvenant à améliorer sa situation économique.

Le taux de natalité de l’Égypte contrecarre les efforts de développement

Gamal Zayda, chroniqueur pour le quotidien égyptien Al-Ahram, a affirmé que la population et le gouvernement ignorent le problème de la croissance démographique, entravant toute chance de développement. Il écrit :

Il semble que nous tous, la population et le gouvernement – ceux qui le soutiennent ou s’y opposent – vivons dans une grande illusion. Nous nous leurrons en pensant que nous pourrons sortir de ce goulot d’étranglement et parvenir à un développement [économique] sans freiner la croissance de la population… Nous avons une croissance de plus de deux millions de personnes par an, et ce chiffre nous garantit que tout effort de développement sera vain…

Dans les pays industriels développés, la population ne croît pas, mais au contraire se réduit, et l’âge moyen de la population augmente, alors que nous avons permis à quiconque veut avoir cinq, six ou sept enfants de le faire facilement et la vérité est que cette croissance démographique dévorera tout effort de développement. [19]

Un auteur égyptien : Les religieux sont à blâmer pour le crime d’amener au monde de nombreux enfants pauvres

Ibrahim Hejazi, chroniqueur pour le quotidien Al-Ahram, a affirmé que la construction de nouvelles écoles, d’hôpitaux et de routes ne suffira pas tant que le problème de la croissance démographique ne sera pas traité comme il se doit. Il a souligné que la clé de ce problème, parmi d’autres, réside dans la réforme du discours religieux, un processus que le président Al-Sissi a demandé aux religieux de lancer il y a plus d’un an [20]. Selon lui, les religieux sont les symboles de l’autorité et devraient expliquer aux gens les conséquences des familles nombreuses, qui perpétuent le cycle de la pauvreté. Il écrit :

La surpopulation dans les salles de classe se poursuivra jusqu’à la fin des temps, tant que persistera ce taux effrayant de croissance démographique, empêchant l’Égypte et ses citoyens de vivre une existence normale. Chaque fois qu’une école est construite, la croissance démographique dans la région en nécessite trois de plus que celle déjà construite. Lorsque nous terminons [de paver] une route pour résoudre un problème, nous sommes choqués de [découvrir] qu’elle est surpeuplée et que nous avons besoin d’une nouvelle route… Il en va de même pour les hôpitaux et les autres services. Aucun outil ne peut nous aider à déraciner ce problème, puisque [les bébés] qui naissent pendant que vous lisez ces lignes peuvent remplir chaque école et chaque hôpital et avaler chaque dernier pouce de bonne terre. Si vous doutez de mes propos, consultez le Rapport du Bureau central des statistiques de juillet 2016 : en 1882, la population égyptienne était de 6,7 millions de personnes… En janvier 2016, elle atteignait 90,1 millions personnes.

Ce sont des chiffres douloureux, non pas des opinions ou des conclusions personnelles. Il est clair que ces chiffres n’ont fait perdre le sommeil à personne pendant toutes ces années, sinon [les officiels] auraient agi [pour y remédier] ! Nous avons laissé la population croître pour devenir un animal sauvage qui piétine tout ! Rendez-vous compte que nous avons triplé notre population en seulement 50 ans ! En 1966, nous étions 30 millions et en 2016 nous sommes 90 millions… La Chine est le pays le plus peuplé du monde, [pourtant] le taux de croissance de la population égyptienne est cinq fois supérieur à celui de la Chine !…

Il y a plus d’un an, le président a demandé de réformer le discours religieux. Certains d’entre nous ignoraient que la réforme du discours religieux était la solution à tous les problèmes, le terrorisme en tête. [Mais] le terrorisme armé n’est [qu’un] type de terrorisme. Des fatwas malavisées qui divisent la patrie [sont aussi une forme] de terrorisme, et dire que la planification familiale est interdite [dans l’islam] est la plus grande forme de terrorisme. Oui, c’est un terrorisme horrible, car la situation actuelle dans laquelle un bébé naît à chaque seconde nous empêche de résoudre tout autre problème dans n’importe quel domaine – l’éducation, les soins médicaux, le développement, le chômage et les services [civils]. Pourquoi ? Parce que notre population double à un rythme alarmant. Peu importe combien d’usines nous construisons, nous ne pouvons résoudre le problème de la production ou des possibilités d’emploi ; peu importe le nombre d’écoles que nous construisons, nous ne pouvons résoudre le problème de la surpopulation ; peu importe le nombre d’enseignants que nous employons, nous ne pouvons pas faire face au déficit en quantité et en qualité [d’enseignants] ; peu importe combien de routes nous pavons, nous ne pouvons résoudre le problème [de la circulation].

La solution à ces problèmes peut être trouvée si le [discours] religieux est réformé, et c’est si simple concernant la planification familiale… Si seulement les religieux expliquaient au petit [peuple] que, dans les prochaines générations, le Prophète [Mahomet] sera fier de nations fortes, vigoureuses et instruites plutôt qu’ignorantes, pauvres et malades. Si [seulement] ils expliquaient qu’avoir beaucoup d’enfants afin qu’ils travaillent dès le plus jeune âge et donnent de l’argent à leur père signifie que ces enfants se voient refuser l’accès à l’éducation, qu’ils se voient privés d’un présent et qu’ils se voient privés d’un avenir, auquel ils ne sont pas préparés. [Ils n’ont] ni éducation, ni profession, ni emploi, et donc le cycle de la pauvreté se poursuit et s’élargit… Les pauvres donnent naissance à des pauvres… alors que les salaires sont maigres et sporadiques. Si [un homme] a seulement deux enfants, leur situation est sûrement meilleure que s’il en a huit… Deux [enfants] peuvent rester à l’école… où ils peuvent apprendre une profession. Mais huit enfants n’auront aucune chance de quoi que ce soit…

Ô, religieux, le crime contre ces enfants, et plus encore, le crime contre toute l’Egypte, repose sur vos épaules. [21]

Un auteur égyptien : Imposer des sanctions aux familles de plus de trois enfants, encourager les familles réduites

Mohammed Al-Herawi, chroniqueur pour le quotidien officiel Akhbar Al-Yawm, a blâmé le gouvernement de ne pas intervenir pour stopper le rythme rapide de la croissance démographique, en initiant une campagne d’information ou en établissant des mécanismes de planification familiale. Il a appelé à encourager les familles réduites et à sanctionner celles qui comptent plus de trois enfants. Il a écrit :

J’ignore pourquoi le gouvernement n’intervient pas pour mettre fin à la croissance démographique qui consomme tout et affaiblit la capacité de l’État à relever le défi de la construction. Le gouvernement a fermé le ministère de la Population et l’a transformé en ministère de la Santé ; ainsi, tous les plans visant à endiguer la croissance démographique ont échoué, surtout parmi les familles pauvres, et aucune campagne de sensibilisation ou de planification familiale n’est prévue…

Il ne suffit pas que les officiels disent « nous souffrons de la croissance démographique » car [ensuite] ils ne font rien [pour gérer] ce problème, qui ne peut être résolu sans campagnes médiatiques récurrentes pour diffuser le concept de réduction du taux de croissance démographique, qui étouffe tout véritable effort de développement…

Nous devons encourager les familles de trois enfants au maximum ou sanctionner les familles de plus de trois [enfants], en particulier parmi les chômeurs, les pauvres et ceux qui sont responsables de la croissance démographique qui affecte le pays. Nous voulons des générations fortes et compétentes qui protègent l’Égypte, ses trésors et sa culture, et s’emploient à poursuivre son développement. [22]

Des éditorialistes appellent à tirer profit de l’importante population en faveur de l’État

À l’inverse, certains chroniqueurs ont fait valoir que l’importante population égyptienne est un atout qui peut être utilisé pour développer divers secteurs du pays, comme l’économie et l’armée.

Ce riche capital humain doit être utilisé pour atteindre le progrès, comme beaucoup de grands pays l’ont fait

Nasser Gweida, chroniqueur pour Al-Ahram, a écrit que l’Égypte devrait apprendre de pays tels que l’Inde et la Chine, qui ont su tirer profit de leurs vastes populations :

L’affirmation selon laquelle la population égyptienne a atteint 100 millions de personnes est obstinément répétée à l’infini. Les opinions sont divisées : il y a les pessimistes qui croient que le [taux] de croissance démographique engloutira les efforts de développement avant tout le reste… et il y a les optimistes… qui croient que cette richesse de main-d’œuvre nous place en première place dans la région…

Mais la réalité montre que de grands pays comme la Chine, l’Inde et d’autres, dont la population dépasse largement un milliard [chacun], ont réussi à utiliser cette ressource humaine pour favoriser la croissance et obtenir des positions dominantes parmi les puissances du monde développé, en termes d’industrie, d’agriculture et de [puissance] militaire.

Concernant l’Égypte, le [taux] de croissance [élevé] de la population n’est pas une honte, comme les gens essaient de le dépeindre… Nous avons une ressource humaine que le monde nous envie. Si l’on reconnaît [le bénéfice que cela représente] et si nous l’exploitons, comme c’est le cas dans d’autres grands pays du monde, la [population] égyptienne de 100 millions engendrera des politiciens, des scientifiques et des athlètes de renommée mondiale, ainsi que des experts en technologie atomique… » [23]

Le gouvernement égyptien devrait formuler une stratégie pour tirer profit de la vaste population

Une opinion similaire a été exprimée par Nasser Zalouk, chroniqueur pour Al-Ahram, qui a également mentionné l’Inde et la Chine comme des pays fortement développés à dense population. Il a écrit :

Ce taux [de croissance démographique] doit se transformer en un atout, en formulant une stratégie pour améliorer les normes d’éducation et de formation technologique et créer des emplois, afin de stimuler la production, le développement et le progrès… La Chine, l’Inde et les États-Unis, les trois pays les plus peuplés au monde, ont tiré le meilleur avantage possible de leur importante population en devenant performants dans tous les domaines et en parvenant à un développement économique considérable. En Egypte la situation est différente. Si nous possédons des ressources naturelles précieuses, [le taux] de croissance démographique est devenu un fardeau en période de sévère crise économique. Le gouvernement doit accorder la priorité absolue [à l’élaboration] d’un programme et d’une stratégie visant à tirer profit de cet immense taux de croissance démographique… [24]

Lien vers l’article en anglais

Notes :

[1] Al-Masri Al-Yawm (Égypte), 31 juillet 2016 ; Elbalad.news, 26 août 2016.

[2] Npc.gov.eg.

[3] Voir Enquêtes et analyses de MEMRI Rapport No. 1265 Three Years Into Al-Sisi’s Rule: Difficult Challenges At Home And Abroad, 14 août 2016.

[4] Al-Yawm Al-Sabi (Égypte), 30 juillet 2016.

[5] Al-Misriyyoun (Égypte), 26 août 2016.

[6] Al-Yawm Al-Sabi (Égypte), 14 juin 2016.

[7] Copts-united.com, 2 février 2015.

[8] Al-Ahram (Égypte), 25 septembre 2016.

[9] Al-Ahram (Égypte), 16 octobre 2016.

[10] Al-Masri Al-Yawm (Égypte), 31 juillet 2016.

[11] Al-Watan (Égypte), 31 juillet 2016.

[12] Al-Watan (Égypte), 22 août 2016.

[13] Al-Watan (Egypte), 29 août 2016.

[14] Al-Wafd (Égypte), 19 août 2016.

[15] Dar-alifta.org, 17 janvier 2016.

[16] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), le 11 mars 2003.

[17] Dotmsr.com, 8 mai 2016 ; Al-Yawm Al-Sabi (Egypte), 12 avril 2016, 19 juillet 2016 ; Elbalad.news, 20 juillet 2016 ; Al-Sharq Al-Awsat(Égypte), 15 mars 2016.

[18] Al-Yawm Al-Sabi (Égypte), 21 juin 2016.

[19] Al-Ahram (Égypte), 24 août 2016.

[20] Voir Dépêche spéciale de MEMRI n° 6114 Egyptian Columnists On Al-Sisi Regime’s Campaign For ‘Renewal Of Religious Discourse’ As A Way Of Fighting Terrorism, 23 juillet 2015.

[21] Al-Ahram (Egypte), 26 août 2016.

[22] Akhbar Al-Yawm (Egypte), 22 août 2016.

[23] Al-Ahram (Égypte), 26 novembre 2016.

[24] Al-Ahram (Egypte), 27 novembre 2016.

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