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Egypte, Minorités, Religion
9 octobre 2016
|
Administrateur

Le régime égyptien approuve la loi sur la construction d’églises ; l’Eglise copte est satisfaite ; le conflit interreligieux se poursuit

Le président Al-Sissi rencontre le patriarche copte Tawadros II (Al-Ahram, Egypte, le 29 juillet 2016)

Par C. Meital *

Au cours des récents mois, les tensions se sont accrues entre les Coptes et les musulmans en Egypte. Des incidents violents et récurrents entre musulmans et Coptes dans les régions rurales de la Haute Egypte, dans les gouvernorats de Minya et Bani Suef,[1] ont entraîné des protestations accrues de la part de l’Eglise copte[2] nécessitant même l’intervention du président Abdel Fattah Al-Sissi, qui a rencontré en juillet 2016 le patriarche copte Tawadros II pour tenter de calmer et de rassurer la communauté copte.[3] Au vu de ces événements, le gouvernement égyptien, ainsi que des représentants de l’Eglise copte de tout le pays, ont uni leurs forces pour promouvoir une loi réglementant la construction et la rénovation des églises en Egypte. Cette loi a reçu l’approbation présidentielle définitive le 28 septembre 2016.[4]

La nouvelle loi réglemente la construction et la rénovation des églises et structures liées, et comporte une définition légale du terme « église » et d’autres termes liés. Selon la loi, le conseil juridique de l’Eglise copte devra soumettre une requête pour construire ou rénover une église au gouverneur local, qui disposera de quatre mois pour répondre. S’il rejette la demande, il devra fournir des motifs détaillés. La loi mentionne également que la taille de l’église et des structures adjacentes seront fixées conformément à la taille et aux exigences de la population.[5]

Avant l’adoption de la loi, début août 2016, le gouvernement égyptien et l’Eglise copte [constituée de trois branches, orthodoxe, évangélique et catholique] auraient trouvé un accord sur le texte de la loi. Mais alors que certains députés, notamment coptes, l’ont accueillie favorablement, affirmant qu’elle contribuerait à mettre fin au conflit religieux, d’autres, parmi lesquels le député Atef Makhlif, ont soutenu que certains points demeuraient vagues, comme l’article 2 concernant la taille des églises.[7] Selon l’article, « la taille de l’église et de la structure adjacente pour laquelle le permis [de construire] est déposé doit être conforme au nombre et aux besoins des chrétiens dans la région où elle sera construite, en tenant compte du taux de croissance de la population… » [8]

L’Eglise orthodoxe a publié un communiqué affirmant que « des changements inacceptables et des ajouts impraticables » avaient été faits à la version acceptée, qui « pourraient mettre en danger l’unité nationale en Egypte en raison de leur complexité, de leurs défauts et de l’absence de prise en compte du sentiment national et des droits civiques des coptes en Egypte ».[9]

Suite à ces objections au texte proposé de la loi émanant de certains Coptes et certains députés, le gouvernement s’est empressé de débattre des articles contestés, craignant une aggravation des tensions entre musulmans et Coptes.[10] En outre, des représentants de l’Eglise ont rencontré le ministre égyptien des affaires juridiques et parlementaires, Magdy Al-Agaty [11] et le Premier ministre égyptien Sherif Ismail s’est entretenu avec le Patriarche Tawadros II.[12]

Le 25 août, l’Eglise a annoncé avoir trouvé un accord avec le gouvernement concernant le texte de la loi,[13] approuvé par le Parlement égyptien cinq jours plus tard, le 30 août. Le parti salafiste Al-Nour reste opposé à la loi ; ses membres se sont abstenus et ont quitté la salle après le vote,[14] et le député du parti Al-Nour Mohammad Ismail Gadallah a déclaré que la loi amènerait à l’éradication de l’identité islamique de l’Egypte.[15] Après l’adoption de la loi, le patriarche Tawardos II a remercié les représentants de l’Etat, notamment le président Al-Sissi et le Premier ministre Ismail, soulignant que « cette loi vise à corriger une erreur qui a duré durant 160 ans ». [16]

Malgré les réactions positives à la loi des représentants de l’Eglise, celle-ci a suscité depuis le début du processus de ratification la colère au sein du gouvernement et du parlement et l’opposition de nombreuses figures du public et des médias, y compris des Coptes, des libéraux et des islamistes. Ainsi, par exemple, l’avocat orthodoxe copte Naguib Gabriel a déclaré que la loi n’avait pas amené plus d’égalité entre les citoyens, et exprimé ses objections à l’article 2, fixant la taille d’une église proportionnelle à celle de la population chrétienne locale. Il n’y a pas de telles restrictions, a-t-il affirmé, à la construction de mosquées.[17] Kamal Zakher, coordinateur du mouvement des Coptes laïcs, a critiqué le traitement accéléré de la loi par le parlement, affirmant qu’elle divisait les musulmans et les chrétiens.[18] Il a ajouté que plusieurs mouvements coptes ainsi que des personnages publics, des politiciens et des organisations de la société civile avaient présenté un rapport officiel au président Al-Sissi, lui demandant de ne pas signer la loi et de la renvoyer au parlement.[19] L’argument principal contre la loi est qu’elle distingue les chrétiens du reste de la société égyptienne et que la question de la construction d’églises aurait dû s’insérer dans une loi plus large et plus générale réglementant la construction de tous les lieux de culte.[20]

*C Meital est chargée de recherche à MEMRI

Lire l’article dans son intégralité en anglais

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