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Minorités, Pays du Levant, Politique
1 September 2016
|

Le Mouvement alaouite libre : premiers signes de résistance armée alaouite au régime Assad

Slogan du Mouvement alaouite libre : « La Syrie et rien d’autre » (Facebook.com/1192248117460289)

Le 4 juin 2016, l’officier alaouite Alaa Makhlouf, garde du corps de la femme du président Bachar Al-Assad, Asma, a été assassiné après qu’une bombe ait été placée dans sa voiture. Un groupe, le « Mouvement alaouite libre », a revendiqué la responsabilité de cet acte, devenant ainsi le premier groupe alaouite à mener une action militaire contre les forces du régime.

Un examen de ses pages sur les médias sociaux indique que le Mouvement alaouite libre, dirigé par Cheikh Mohsen Al-Haidari, a été fondé en février 2016 pour combattre le régime d’Assad et défendre la communauté alaouite. Ce mouvement opère sur trois niveaux : politique, médiatique et militaire. Son activité militaire est menée par sa branche armée, la Brigade alaouite libre. Le mouvement médiatise ouvertement son activité en Syrie et affirme sa volonté de coopérer avec d’autres groupes rebelles syriens et factions d’opposition. Les déclarations publiées par le mouvement indiquent que l’opposition de ses fondateurs au régime d’Assad est également la conséquence de rivalités anciennes entre différentes factions au sein de la communauté alaouite,[1] notamment entre la faction Kalaziya – groupe majoritaire incluant les familles Al-Assad, Makhlouf, Shalish et Kheirbek – et les factions Haidariya et Makhousiya, et sans doute d’autres encore. [2] Le mouvement souligne que le régime n’est pas aussi lié à la communauté alaouite qu’il le prétend mais qu’il lui porte préjudice et que de nombreux Alaouites ne le soutiennent pas.

Il convient de mentionner que la colère dirigée contre le président Assad et son régime de la part de la communauté alaouite n’est pas nouvelle, et qu’elle s’est exprimée par de larges manifestations contre le régime en août 2015 dans les bastions du régime de Lattaquié et de Tartous, et par la création le 22 octobre 2015 d’un groupe d’opposition politique alaouite en dehors de la Syrie, dénommé le mouvement « Upcoming Syria [Syrie à venir] ».[3] Toutefois, c’est la première fois depuis le début de la crise syrienne en 2011 qu’un mouvement alaouite revendique la responsabilité d’une action militaire contre le régime.

Il convient de préciser que le présent rapport est fondé sur les pages Facebook et Twitter du Mouvement alaouite libre, et qu’il n’existe aucune autre source d’informations sur le mouvement. En conséquence, la taille, l’étendue des activités du mouvement et le niveau de soutien dont il bénéficie restent incertains.

Le présent rapport examinera la plateforme et l’activité du Mouvement alaouite libre :

La plateforme du mouvement ; le régime d’Assad sera tenu responsable de ses crimes ; la Syrie est la patrie de toute sa population, indépendamment de toute appartenance religieuse

Le 24 avril 2016, le Mouvement alaouite libre a publié sa déclaration fondatrice. Celle-ci appelait à considérer la Syrie comme la patrie de tous ses résidents, indépendamment de leur appartenance ethnique ou religieuse, et à distinguer les Alaouites qui n’étaient pas liés aux crimes du régime syrien [de ses dirigeants], dont les mains sont couvertes du sang de leurs frères syriens, et qui devront être jugés pour leurs actes. Selon cette déclaration, les objectifs du mouvement sont d’aider tous les Alaouites qui souhaitent se révolter contre la domination de la faction Kalaziya et les familles qui lui sont loyales à établir des branches politiques et militaires qui agiront contre ces familles, et d’aider l’Armée syrienne libre. Le mouvement a exprimé son soutien aux organisations et figures alaouites qui s’opposent au régime, comme Monzer Makhous, porte-parole du Haut-Comité des négociations syrien, et le mouvement « Syrie à venir ». Pour mettre en lumière sa rivalité avec le régime d’Assad et ses dirigeants, le mouvement a affirmé qu’il considérait l’Iran, la Russie, le Hezbollah et les milices chiites en Syrie comme des ennemis, et que la communauté alaouite n’avait aucun lien religieux véritable avec l’Iran ; au contraire, le mouvement a souligné qu’il existait une hostilité historique entre eux.

Selon la déclaration fondatrice : « Le mouvement a été fondé le 20 février 2016. Il inclut un groupe de dirigeants des [factions] Haidariya et Makhousiya de la secte alaouite, ainsi que certains officiers de l’armée du régime, officiers à la retraite et quelques politiciens en poste et à la retraite.

Principes fondateurs du mouvement :

– La Syrie est la patrie de tous ses fils, indépendamment de leur appartenance ethnique, communautaire ou religieuse.

– Quiconque a versé le sang de ses frères syriens est un criminel qui sera jugé par les tribunaux.

– Le mouvement ne servira absolument pas de couverture pour les criminels et fera en sorte d’extrader tout criminel dont les crimes sont établis.

– Nous demandons à nos frères dans notre pays de ne pas nous tenir tous [Alaouites] responsables des événements en Syrie. Un grand nombre de personnes parmi nous s’opposent à ces crimes [même si] certaines ont été impliquées [dans la guerre] suite au lavage de cerveau de la part des partisans du régime.

Objectifs du mouvement :

1. Libérer les Haidaris et les Makhousis de la domination de la [faction] Kalaziya et des familles Al-Wahsh,[4] Makhlouf, Shalish, et Kheirbek.

2. Protéger les jeunes rescapés d’une mort inévitable s’ils restent au service de ces familles.

3. Expliquer à nos jeunes qu’ils meurent pour ces familles et non pour la patrie, tandis que les membres des Kalaziya et des familles Al-Wahsh [Al-Assad], Makhlouf et Shalish sont bien protégés dans leurs palais et bureaux et jouent [à des jeux d’argent].

4. Créer une force politique de membres de la secte libre pour protéger la secte des partisans des Kalaziya.

5. Garantir la sécurité aux déserteurs, fuyards et à ceux qui refusent d’être entraînés dans la guerre.

6. Créer des fondations caritatives pour garantir une aide aux familles que le régime refuse d’aider en raison de leur opposition à ses crimes.

7. Créer une force militaire comprenant des officiers, des soldats et des jeunes qui ont fait défection [de l’armée du régime].

8. S’efforcer d’éliminer les activistes de la Shabiha[5] des familles Al-Wahsh, Makhlouf et Shalish dans tous les domaines.

9. Soutenir Monzer Makhous et le dirigeant de la « Syrie à venir », le frère Fouad Hamira.[6]

10. Contacter l’Armée syrienne libre… pour fournir des informations et une aide et la défendre dans toutes nos régions.

11. Distribuer et coller des affiches pour dénoncer les criminels.

12. Traiter l’Iran, la Russie, le Hezbollah et les milices envoyées par l’Iran en Syrie comme nos ennemis communs.

13. [Souligner]  que rien ne lie le Mouvement alaouite libre à l’Iran du point de vue religieux, et qu’il y a une hostilité historique entre nous [les Alaouites] et eux…

14. [Réitérer] que l’Iran met en œuvre son ancien projet… visant à faire d’une partie de la secte alaouite ses valets dans la région.[7]

Activité militaire : La Brigade alaouite libre vise le régime

Comme indiqué ci-dessus, à la différence des autres mouvements d’opposition alaouites, le Mouvement alaouite libre est le premier à avoir mené une résistance armée contre le régime, à une échelle apparemment limitée toutefois, jusqu’à présent. La branche militaire du mouvement est la Brigade alaouite libre, probablement constituée de déserteurs de l’armée syrienne. S’il n’existe pas d’information concernant le commandant de la brigade, on sait que son lieutenant est le colonel Mohammed Barakat, qui a fait défection de l’armée du régime le 2 mai 2016 pour rejoindre la brigade.[8]

La brigade a revendiqué la responsabilité de plusieurs opérations, dont la plus importante était l’assassinat d’Alaa Makhlouf, garde du corps de la femme du président Assad, Asma, en posant une bombe dans sa voiture le 4 juin 2016.[9] Le 12 juin, le Mouvement alaouite libre a twitté que l’un de ses combattants avait « réussi à faire exploser le quartier général d’une brigade de la 4e division [de l’armée syrienne] et à prendre la fuite ». [10]

Explosion du quartier général d’une brigade de la 4e division de l’armée syrienne (Photo : Twitter.com/jojohm7, 12 juin 2016)

En outre, le 9 mai 2016, le mouvement a revendiqué la responsabilité de l’explosion d’un dépôt d’armes appartenant à la milice de Défense nationale du régime dans la ville de Al-Suqaylabiya.[11]

Activité d’information

Il semble que l’activité du mouvement se focalise sur le plan de l’information, principalement via ses pages Facebook et Twitter, en critiquant les familles Al-Assad, Makhlouf et Shalish et le régime d’Assad en général. Le principal argument du mouvement est que ces familles et le régime d’Assad ne représentent pas la secte alaouite et l’exploitent au service de l’Iran. Ainsi, par exemple, le 13 avril 2016, le mouvement a publié un statut sur Facebook affirmant que rien ne liait les Alaouites aux chiites, et que ceux qui répandent l’islam chiite parmi les Alaouites sont la famille de Suleiman Al-Assad, qui ne faisait pas partie à l’origine de la secte alaouite et qui est venue en Syrie en provenance de lieux inconnus.[12] Un autre post soutenait que la famille Al-Assad vit aux dépens des Alaouites appauvris, qui représentent 50 % de la secte, et qu’elle coopère avec l’Iran pour contrôler les opposants alaouites au régime, permettant ainsi à l’Iran de prendre le contrôle de la Syrie.[13]

On pouvait lire dans un post du 10 mai que le régime d’Assad utilise les loyalistes des factions alaouites qui ne font pas partie des supporters du régime comme chair à canon, citant pour preuve le nombre d’Alaouites appartenant à la faction Kalaziya tués pendant la guerre, largement inférieur au nombre de morts parmi les Alaouites loyalistes membres des autres factions.[14] Et d’ajouter que le régime d’Assad était responsable des attentats massifs de Jableh et de Tartous le 23 mai 2016, qui ont fait 317 morts, tous membres des factions Haidariya et Makhousia.[15] Même si l’Etat islamique a revendiqué ces attentats, le mouvement a affirmé que le régime d’Assad les avait perpétrés pour empêcher qu’une « Intifada alaouite » n’éclate sur la côte syrienne.[16]

Le 30 avril 2016, après le début d’une campagne massive du régime à Alep, le mouvement a condamné les crimes du régime, affirmant qu’il ne pouvait être tenu pour responsable des actions du régime.[17]

Symbole du Mouvement alaouite libre (Facebook.com/1192248117460289, 2 mai 2016)

Activité politique

Le mouvement affirme mener une activité politique en dehors des frontières de la Syrie. Ainsi, le 19 mai, il a publié un statut Facebook affirmant que « l’autorité suprême du Mouvement alaouite libre avait lancé sa troisième journée de débats en France. Le mouvement a rejeté la demande de Rifa’at Al-Assad [oncle du président Bachar Al-Assad] de rejoindre le mouvement en raison de son passé peu glorieux. Le mouvement publiera une déclaration à l’issue de sa réunion. Ce sont les derniers jours de Bachar Al-Wahsh, et le monde entier est d’accord à ce sujet. » [18]

Selon le mouvement, il a entretenu des liens avec le Haut comité syrien des négociations, par le biais de son porte-parole Monzer Makhous, membre de la faction alaouite Makhousiya. Après les attentats de mai 2016 à Jableh et à Tartous, le dirigeant du mouvement, Cheikh Mohsen Al-Haidari, a envoyé une lettre à Makhous, lui demandant d’informer la communauté internationale que les membres loyalistes de la faction Kalaziya étaient sur le point de massacrer les sunnites réfugiés sur la côte syrienne. [19] Au-delà de cela, il n’existe aucune information sur des liens entre le mouvement et d’autres organes d’opposition syriens importants, comme la Coalition nationale des forces de l’opposition et de la révolution syrienne.

La page Facebook du mouvement a également fait état de liens avec l’ancien ministre de la Défense syrien et chef d’état-major Ali Habib, un Alaouite démis de ses fonctions par le président Assad en août 2011. Le 10 mai 2016, le mouvement a publié un « communiqué de Paris » affirmant que le « général de division Ali Habib, ancien ministre de la Défense syrien, avait parlé avec certaines factions d’opposition et responsables du monde entier [à Paris] afin de trouver une solution à la guerre en Syrie qui entraînerait l’expulsion des familles Al-Wahsh, Makhlouf et Shalish de Syrie et la punition de toute personne ayant du sang syrien sur les mains ». Le post faisait aussi état d’une prochaine réunion « en présence du général Ali Habib, du général de brigade Manaf Tlass [ancien général de l’armée syrienne associé d’Assad, qui a fait défection en 2012], et de plusieurs autres officiers supérieurs qui ont fait défection de l’armée de la famille Al-Wahsh [Al-Assad], afin de créer un conseil militaire provisoire qui transformerait la Syrie en pays libre et démocratique, débarrassé des familles Al-Wahsh, Shalish et Makhlouf, et qui jugerait tous les criminels. Notre cheikh [Mohsen Al-Haidari] se joindra à la réunion en tant que dirigeant du Mouvement alaouite libre et de la Brigade alaouite libre. »[20]

Le 12 juillet 2016, le mouvement a publié un statut Facebook selon lequel Al-Haidari était arrivé à Ankara avec Ali Habib, et qu’ils avaient entamé une série de rencontres avec des dirigeants militaires et politiques, parmi lesquels Khaled Al-Mahamid, en charge de la coordination des liens avec les officiers ayant fait défection des factions de l’opposition syrienne en Syrie du Sud. Il était mentionné que ces réunions dureraient deux jours, et que les deux dirigeants se rendraient ensuite à Moscou.[21]

Notons dans ce contexte que si les rencontres d’Ali Habib à Ankara ont été mentionnées par d’autres médias, aucun d’eux n’a mentionné le Mouvement alaouite libre ou Al-Haidari. Ainsi, le site web d’opposition syrien Orient-news.net a rapporté le 12 juillet qu’Ali Habib était arrivé à Ankara en provenance de Paris deux jours auparavant pour rencontrer le haut commandement militaire turc afin de traiter de la création d’un gouvernement militaire élargi en Syrie, qui serait dirigé par et inclurait de nombreux officiers ayant fait défection, et pour débattre de la création d’un embryon de nouvelle armée nationale. Selon ces informations, après les délibérations à Ankara, Habib poursuivrait ses rencontres à Moscou. Toutefois, comme indiqué, le site ne mentionnait pas le Mouvement alaouite libre.[22] En outre, certaines informations ont nié que Habib ait quitté la Syrie.[23]

 Lien vers l’article en anglais

Notes :

[1] La communauté alaouite est répartie en plusieurs factions qui reflètent les écoles religieuses en désaccord sur les rituels solaires et lunaires.

[2] Aljazeera.net, 17 janvier 2016.

[3] Voir Enquête et analyse n° 1225 de MEMRI, ‘Alawi Sect Showing Signs Of Opposition To Assad Regime, 4 février 2016.

[4] Al-Wahsh était le nom d’origine du grand-père de Bachar Al-Assad. Il a changé son nom en Al-Assad en 1927 après le début de son activité publique.

[5] Nom populaire donné à la milice en civil du régime syrien.

[6] Voir Enquête et analyse n° 1225 de MEMRI, ‘Alawi Sect Showing Signs Of Opposition To Assad Regime, 4 février 2016.

[7] Cette déclaration est datée du 24 avril 2016, mais elle a été postée sur les pages Facebook et Twitter du mouvement le 25 mai. Twitter.com/jojohm7, Facebook.com/1192248117460289, 25 mai 2016.

[8] Twitter.com/jojohm7,  2 mai 2016.

[9] Twitter.com/jojohm7,4 juin 2016.

[10] Twitter.com/jojohm7, 12 juin 2016.

[11] Facebook.com/1192248117460289, 19 mai 2016.

[12] Facebook.com/1192248117460289, 13 avril 2016.

[13] Facebook.com/1192248117460289, 13 avril 2016.

[14] Facebook.com/1192248117460289, 10 mai 2016.

[15] Twitter.com/jojohm7, 23 mai 2016.

[16] Twitter.com/jojohm7, 23 mai 2016.

[17] Twitter.com/jojohm7, 30 avril 2016.

[18] Facebook.com/1192248117460289, 19 mai 2016.

[19] Twitter.com/jojohm7, 23 mai 2016.

[20] Facebook.com/1192248117460289, 10 mai 2016.

[21] Facebook.com/1192248117460289, 12 juillet 2016.

[22] Orient-news.net, 12 juillet 2016.

[23] Orient-news.net, 13 juillet 2016; Al-Quds Al-Arabi (Londres), 14 juillet 2016.

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