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Egypte, Voix progressistes
16 August 2016
|

Le chercheur égyptien Oussama Ghazali Harb : Le rejet arabe du Plan de partage fut une erreur historique

Voir les extraits vidéo sur MEMRI TV

Dans une récente interview télévisée, le chercheur et homme politique égyptien Oussama Ghazali Harb a déclaré : « Si les Arabes avaient accepté le Plan de partage en 1948, le problème n’existerait pas le moins du monde aujourd’hui… Aujourd’hui, après 60 ans, nous nous efforçons d’atteindre cette solution, cette résolution, et si nous y parvenons, ce sera une chose extraordinaire. » Il s’exprimait sur Rotana le 10 juillet 2016. Pour consulter d’autres déclarations de Harb, éminent libéral et cofondateurs du parti du Front démocratique, voir le clip n° 5315 de MEMRI TV.

Extraits :

Oussama Ghazali Harb : Je crois – et cela ne représente peut-être que ma propre opinion – que l’erreur historique concernant la cause [palestinienne] depuis 1948 est le rejet du Plan de partage par les Arabes. C’est mon opinion. Ce fut le début du désastre. Si les Arabes avaient accepté le Plan de partage en 1948, le problème palestinien n’existerait pas aujourd’hui. Un Etat palestinien et un Etat israélien, la solution à deux Etats, était incarnée dans cette résolution. Aujourd’hui, après 60 ans, nous nous efforçons de parvenir à cette solution, cette résolution, et si nous y arrivons, ce sera une chose extraordinaire.

Journaliste : Mais les circonstances et l’équilibre des pouvoirs en 1948 différaient de ceux d’aujourd’hui.

Oussama Ghazali Harb : Malheureusement, nous avons manqué cette chance, et aujourd’hui, c’est beaucoup plus dur.

Journaliste : Mais à l’époque, ce n’était pas une occasion. C’était une concession. Lorsque 21 ou 22 grands pays permettent à une bande de gangs d’usurper une partie de la Palestine…

Oussama Ghazali Harb : Non, le Plan de partage était une résolution de l’ONU…

Journaliste : Mais les Arabes le voyaient comme une concession…

Oussama Ghazali Harb : Néanmoins, je ne peux dire que la perspective des Arabes fut… Mon constat, en tant que politicien ayant étudié le problème palestinien, est que ce fut une erreur historique. Pour votre information, certains politiciens égyptiens à l’époque prônaient l’acceptation du Plan de partage.

Selon moi, en raison des rivalités de pouvoir dans le monde arabe, et du fait que chaque dirigeant arabe entendait montrer qu’il était plus grand patriote panarabe que les autres, ils se sont fait inutilement concurrence pour prouver qu’ils étaient les meilleurs, et au bout du compte, c’est le Plan de partage qui a été rejeté. Cela a mené à la catastrophe connue de la guerre de Palestine, et au mythe, répandu à travers le monde, selon lequel Israël a vaincu huit armées arabes, alors que les forces arabes étaient beaucoup plus réduites que l’armée israélienne en ce temps. C’est ainsi que le problème a commencé, et il se poursuit à ce jour. C’est ma vision des choses. Je crois que si le Plan de partage de l’ONU avait été accepté [par les Arabes] – une résolution acceptée par l’ensemble de la communauté internationale  – toute la question [palestinienne] aurait été résolue. Malheureusement, cela ne s’est pas passé ainsi.

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