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Egypte, Minorités
2 mars 2016
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Coptophobie

Icône des "21 Nouveaux Martyrs de la Libye" par l'artiste américano-égyptien Tony Rezk

Par : Alberto M. Fernandez *

Ci-dessous une adaptation de l’original en anglais :

L’État islamique (EI) et ses anciens maîtres, devenus d’amers rivaux, au sein d’Al-Qaïda, sont d’excellents ennemis. Et ils s’échinent à traduire cette haine en une réelle violence contre certains groupes. Leurs priorités immédiates diffèrent quelque peu. Si les deux organisations diabolisent et exaltent la violence contre les juifs (tout comme le Hezbollah, le Hamas et même le prétendument plus respectable Fatah), l’EI privilégie également la violence contre les musulmans chiites, que ce soit au sein des gouvernements syriens ou irakiens, ou contre les fidèles chiites au Koweït ou en Arabie saoudite. Al-Qaïda, de son côté, appelle souvent à privilégier les attaques contre l’Occident, notamment les États-Unis, sur celles contre les minorités religieuses locales.

Concernant la prise pour cible des chrétiens, l’EI s’évertue à faire une belle publicité de sa destruction des symboles et des sites chrétiens, de son déracinement des communautés historiques, du massacre des chrétiens, tandis qu’il gagne du territoire en Irak, en Syrie et en Libye. Mais le groupe s’adonnait déjà à ces pratiques quand il était encore un membre en bonne et due forme d’Al-Qaïda (2003-2014). Les deux groupes semblent nourrir une haine particulière pour la plus grande entité chrétienne au Moyen-Orient et Afrique du Nord, l’Église copte orthodoxe, le « Patriarcat d’Alexandrie et le siège de Saint-Marc ».

La plus grande partie de l’histoire de l’Eglise copte autochtone sous l’islam ne diffère pas vraiment de celle des autres communautés chrétiennes sous domination islamique. Elles ont toutes deux été favorisées ou persécutées sous cette domination. [1] On verra ce que l’on veut bien voir, et l’on observera un réel épanouissement humain, et de la tolérance, ainsi que des discriminations, de la brutalité et de l’oppression au cours de ces 14 siècles. [2]

Compte tenu du nombre relativement important de coptes en Egypte et de la montée du djihadisme salafiste dans le pays dans les années 1970, il était probablement prévisible que ces groupes takfiris – à bien des égards des précurseurs d’Al-Qaïda – visent les chrétiens égyptiens en sus des responsables du gouvernement. Voler un magasin appartenant à des chrétiens et tuer son propriétaire était au moins aussi louable que de tuer un policier local, et plus rentable.

Si certains affrontements formaient le tissu historique de la violence communautaire localisée en Haute-Égypte rurale, ces nouveaux groupes islamistes lui ont donné une nouvelle couleur et une nouvelle justification. Ironiquement, les chrétiens égyptiens ont toujours eu très peu d’influence ou de puissance sous la succession des gouvernements militaires qui régissaient le pays depuis 1952. Mais du temps du président Sadate à ce jour, les coptes ont fréquemment été sujets à des meurtres et vols de la part d’islamistes, mais également à un dénigrement idéologique. [3]

Comme Gilles Kepel l’a montré, dans le discours des différents islamistes salafistes qui prévalait dans l’Egypte des années 1970, les coptes sont considérés soit comme les dhimmis heureux et satisfaits d’autrefois, soit comme les « croisés » ingrats, gâtés et trop puissants d’aujourd’hui. [4]

Alors que le gouvernement égyptien a terrassé le groupe terroriste Gamaa Al-Islamiya dans les années 1990, l’incitation anti-copte a pris une tournure internationale avec la montée d’Al-Qaïda et de son noyau de djihadistes égyptiens vétérans, principalement issus de l’organisation Jihad islamique égyptien (JIE). Certains hauts-dirigeants du JIE et d’Al-Gamaa appartenaient aux Frères musulmans. [5]

Alors que le terme « islamophobie » est devenu très à la mode ces dernières années, ce phénomène ne semble pas avoir affecté le désir profond de nombreux musulmans de gagner les pays occidentaux. L’explosion de violence salafiste-djihadiste contre les minorités religieuses du Moyen-Orient, dont les chrétiens, a déversé un flot de désespérés en quête de refuge sur les rives des pays occidentaux. Si cette violence anti-chrétienne mondiale est néfaste et répréhensible, la « coptophobie » semble unique, de par le fait qu’elle sévit même en l’absence de communautés coptes.

L’État islamique d’Irak, avant de devenir l’Etat islamique actuel, avait à sa tête un Egyptien de 2006 à 2010, au cours d’une période clé de son histoire. [6] Mais Abou Ayub Al-Masri était déjà mort quand l’EI, dirigé par le tristement célèbre Abou Bakr Al-Baghdadi, a lancé une attaque en octobre 2010 contre des fidèles syriaques catholiques à l’église Sayedat Al-Najat de Bagdad. Les chrétiens d’Irak étaient certes pris pour cibles depuis des années, mais cette attaque a marqué un tournant. L’EI a déclaré que cette opération sanglante, où des femmes et des enfants irakiens ont trouvé la mort, vengeait le prétendu emprisonnement par l’Eglise copte dans l’un de ses « monastères de l’infidélité et églises de polythéisme » de deux femmes égyptiennes qui se seraient converties à l’islam. [7]

Les cas de Camilia Shehata et de Wafa Constantine, de prétendues musulmanes converties, des femmes battues, ou simplement des femmes souffrant de problèmes conjugaux, utilisés par les militants salafistes pour inciter à la violence communautaire, devaient servir maintes fois d’excuse pour tuer des individus n’ayant aucun lien avec ces deux femmes. [8] L’opération de Bagdad était « une revanche », même si les femmes étaient toujours en en vie.

L’argument de « coptes maltraitant des femmes musulmanes » était suffisamment sensationnel et grave pour susciter des commentaires vidéo houleux du chef d’Al-Qaïda Al-Zawahiri et de l’un de ses principaux lieutenants, Abou Yahya al-Libi. [9] Cette accusation sert de prétexte à des pogroms anticoptes locaux depuis déjà de nombreuses années. [10] Désormais, elle devait prendre des proportions considérables dans le discours du mouvement djihadiste international.

Alors que des innocents étaient tués en Irak et que les dirigeants d’Al-Qaïda basée au Waziristan appelaient à l’action, les coptes ont été victimes d’un attentat suicide sanglant à Noël, en janvier 2011, qui a fait 23 mort et près d’une centaine de blessés à Alexandrie, en Egypte. [11]

Comme souvent en Egypte, la revendication de cet attentat n’était pas claire. Pourtant, celui-ci a eu lieu lors d’une crise politique aiguë et d’agitations anti-chrétiennes. Un politicien islamiste notoire, Mohammed Salim Al-Awa, avait accusé les coptes de stocker des armes dans les églises et les monastères, dans le but de créer un « Etat copte ». [12] Al-Zawahiri, plus extrémiste, avait formulé des accusations similaires. [13] Considéré comme un chef islamiste réfléchi, Al-Awa a reçu 1 % des voix aux élections présidentielles égyptiennes de 2012. Il a été présenté positivement dans une récente interview sur la solidarité entre sunnites et chiites sur la chaîne télévisée Al-Manar, contrôlée par le Hezbollah. [14] Selon certains, le gouvernement égyptien aurait manipulé les terroristes islamistes pour les inciter à perpétrer l’opération. [15]

Le langage utilisé contre les coptes, justifiant la violence à leur encontre, ressemble à celui utilisé contre d’autres minorités ethniques et religieuses à travers l’Histoire, comportant des accusations hallucinantes de déloyauté, de violence, d’inconduite sexuelle, d’arrogance et de complot. [16] Et comme dans tant de pogroms et de massacres passés, y compris au Moyen-Orient, la minorité incriminée devait être « punie » collectivement. [17]

La violence contre les coptes s’est poursuivie pendant la transition tumultueuse de l’Egypte, atteignant son paroxysme lors du renversement du gouvernement du président égyptien Mohammed Morsi en juillet 2013, avec des dizaines d’églises incendiées et une violence généralisée dans tout le pays. [18] Le discours islamiste a accusé la communauté copte d’une grande partie de la crise et de la chute du gouvernement des Frères musulmans. [19]

Le chef d’Al-Gamaa Al-Islamiya, Assem Abdel Maged ne fut que l’un des leaders islamistes à avoir fustigé l’armée égyptienne pour se ranger du côté des « minorités religieuses, politiques et sociales ». [20] (…)

S’étant déjà servi des coptes en 2010, l’État islamique les a portés au-devant de la scène en février 2015. La vidéo en anglais (avec des sous-titres arabes) des 20 chrétiens coptes égyptiens et du chrétien ghanéen décapités par la branche libyenne de l’EI envoyait plusieurs messages.

Vidéo de l’EI : « Nous allons conquérir Rome, avec la permission d’Allah, comme promis par notre Prophète »

Le message avait un contexte égyptien évident : Ils étaient des « adeptes de l’Eglise égyptienne hostile », et les meurtres « vengeaient Camelia et ses sœurs ». Mais l’assassinat de ces travailleurs migrants fait partie d’un contexte plus large d’une guerre de l’EI contre le christianisme. [21] C’est un « Message signé avec le sang à la Nation de la Croix ». [22]

Le meneur anglophone du massacre déclare : « Nous allons conquérir Rome » et le sang des infidèles est mélangé à l’eau de mer, comme le fut celui d’Oussama ben Laden. Il se réfère également aux décapitations d’Occidentaux en 2014 au nord de la Syrie, près de Dabiq, l’Armageddon de la prophétie islamique. [23] Et, dans une autre référence eschatologique, il mentionne la Seconde venue annoncée de Jésus-Christ (dans la tradition musulmane relative à la fin des temps) qui « brisera la croix, tuera le porc et abolira la jizya (impôt humiliant, traditionnellement payé par les non-musulmans selon la loi islamique).

Entretien sur Al-Jazeera de l’émir de Jabhat Al-Nosra, Abou Mohammed Al-Julani

Alors que le discours communautaire de l’EI est souvent tourné en dérision, même par de nombreux musulmans tout aussi extrémistes, une tentative visant à disculper les djihadistes tournait les chrétiens coptes en dérision. Dans son interview sur Al-Jazeera en mai 2005, Abou Mohammed Al-Julani, chef syrien de l’amer rival de l’EI, Jabhat Al-Nusra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, a dressé un portrait naïf de son organisation. [24] Le correspondant Ahmed Mansour, lui-même islamiste égyptien, a interrogé Al-Julani sur le traitement des minorités religieuses, notamment des chrétiens. Al-Julani a répondu que son organisation ne blâmait pas les chrétiens de Syrie « pour ce que les Américains ou les coptes ont fait ». [25]

L’EI à Tripoli a continué de régionaliser la violence anticopte dans une vidéo de 13 minutes diffusée en février 2016. [26] Les deux membres égyptiens de l’EI y appelaient leurs compatriotes à abandonner les autres groupes islamistes pour rejoindre l’Etat islamique. Ils y traitent le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi, qui a fait de grands efforts pour promouvoir la tolérance religieuse et tendre la main aux coptes, [27] de « singe, porc, esclave de la Croix et gardien des juifs ».

Sur fond de photographie d’Al-Sissi en compagnie du pape-patriarche copte Tawadros II, l’orateur dit : « Combattez-les et tuez-les, depuis leur Grand Prêtre (Tawadros II) jusqu’au plus pathétique ». Un deuxième orateur appelle les Egyptiens à « terroriser les juifs et brûler les esclaves de la Croix ». Et si aucune nouvelle vidéo de décapitation de coptes n’a été diffusée à ce jour (la deuxième vidéo portait sur des chrétiens éthiopiens [28]), au moins sept autres chrétiens égyptiens sont portés disparus en Libye. [29]

Avec ce discours venimeux moderne sur les chrétiens coptes, la coptophobie islamique n’est pas près de disparaître. Les actes meurtriers de l’État islamique et le discours toxique d’hommes politiques contemporains comme Abdel Maged et Al-Awa, couplés aux préjugés traditionnels des siècles passés, ont contribué à créer un environnement mortel pour les chrétiens égyptiens. Et ce qui était autrefois une affaire égyptienne est devenu un problème régional, avec des islamistes en dehors des frontières qui diffusent le message sur les médias sociaux. Le fait que certains apologistes de l’islamisme égyptien qualifient les dirigeants ou militants coptes isolés d’ « imprudents et immoraux » ne diminue en rien l’intolérance nue et profonde, dirigée contre une communauté de millions d’innocents menacés. [30]

* Alberto M. Fernandez est vice-président de MEMRI.

Notes :

[1] « Waq’at Al-Kana’is », The Coptic Encyclopedia, Vol. 7, Claremont Graduate University School of Religion, 1991.

[2] « Motherland Lost: The Egyptian and Coptic Quest for Modernity”, entretien avec Samuel Tadros, Institut de Venn, 6 avril 2014.

[3] « A New Crisis for Egypt’s Copts”, Joshua Hammer, Smithsonian Magazine, novembre 2011.

[4] Muslim Extremism in Egypt, The Prophet and Pharaoh, Gilles Kepel, Berkeley: University of California Press, 1986.

[5] Web.stanford.edu/group/mappingmilitants/cgi-bin/groups/view/401

[6] « Abu Hamza al-Muhajir, Zarqawi’s Mysterious Successor (alias Abu Ayub al-Masri), » Eben Kaplan, Council on Foreign Relations, 13 juin 2006.

[7] « Al Qaeda in Iraq claims massacre at Christian church in Baghdad », Bill Roggio, The Long War Journal, 1er novembre 2010.

[8] « Egypt: the two women at the centre of the clashes », Richard Spencer, The Telegraph, 8 mai 2011.

[9] Archive.org/details/jihad024

[10] « In the Year of the Martyrs: Anti-Coptic Violence in Egypt, 1988-1993, » Alberto M. Fernandez, paper presented at the Middle East Studies Association Annual Meeting, San Francisco, California, 18 au 20 novembre 2001.

[11] « Deadly blast outside Egypt church », Al-Jazeera, 1er Janvier 2011.

[12] Aljazeera.net/news/arabic/2010/9/19/%D9%85%D8%AD%D8%A7%D9%85%D9%88%D9%86-%D9%85%D8%B5%D8%B1%D9%8A%D9%88%D9%86-%D9%8A%D8%AA%D8%B6%D8%A7%D9%85%D9%86%D9%88%D9%86-%D9%85%D8%B9-%D8%A7%D9%84%D8%B9%D9%88%D8%A7

[13] Youtube.com/watch?v=hXInb6sTpCg, 12 janvier 2012.

[14] Youtube.com/watch?v=ZIDIOatkAKA, 6 novembre 2015.

[15] « Ex-minister suspected behind Alex church bombing », Farrag Ismail, Al-Arabiya, 7 février 2011.

[16] « The History Of Using White Female Sexuality To Justify Racist Violence », Emma Gray, Huffington Post, 18 juin 2015.

[17] « Guest Column: Islam’s Collective Punishment of Christians », Raymond Ibrahim, The Investigative Project On Terrorism, 18 avril 2013.

[18] « Egypt’s Christians face backlash for Morsi ouster », Hamza Hendawi, Associated Press, 10 juillet 2013.

[19] Youtube.com/watch?v=QnUPgtkK5QI, 29 juin 2013.

[20] « Leader of Gamaa Islamiya issues threats against Egypt from Qatar exile », Middle East Online, 1er décembre 2013.

[21] « Photos: Coptic Christian Village Mourns ISIS Victims In Libya », Jonathan Rashad, Newsweek, 8 mars 2015.

[22] Zerocensorship.com/t/uncensored-isis-execution/86622-isis-execution-of-21-coptic-christians-video#axzz40LutQTqM.

[23] « ISIS Fantasies of an Apocalyptic Showdown in Northern Syria », William McCants, Brookings Institute, 3 octobre 2014.

[24] « Nusra leader: Our mission is to defeat Syrian regime », Al-Jazeera, 28 mai 2015.

[25] Youtube.com/watch?v=-hwQT43vFZA, 27 mai 2015.

[26] « ISIS In Libya To Egyptians: Rise Up Against Al-Sisi, Burn The Slaves Of The Cross, Terrorize The Jews », MEMRI Jihad & Terrorism Threat Monitor Project, 8 février 2016.

[27] «  »Egyptian President Sisi Attends Christmas Mass, Wishes Copts Merry Christmas », Egyptian Streets, 6 janvier 2016.

[28] « ISIS’s View Of Christians Echoes That Of Official Saudi Fatwas », Alberto M. Fernandez, The Middle East Media Research Institute, 1er juin 2015.

[29] « Families of Copts kidnapped in Libya protest before Egyptian Foreign Ministry », Maria Alfi, MCN, 27 janvier 2016.

[30] Twitter.com/MohamedElibiary, 15 septembre, 2013.

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