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Djihad et terrorisme, Pays du Levant
21 octobre 2015
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Abbas : Nous poursuivrons la résistance populaire

Mahmoud Abbas (Photo : Al-Sharq Al-Awsat, Londres, le 14 octobre 2014)

Par C. Jacob* –

A l’instar des première et seconde Intifadas, l’actuelle vague de terrorisme est exploitée par des organisations et dirigeants palestiniens, y compris par le président palestinien Mahmoud Abbas, qui fustigent Israël et l’accusent de terrorisme et de crimes en diffusant des informations non avérées. Certaines organisations et dirigeants palestiniens ont félicité les auteurs des attaques, soutenant qu’il s’agissait de légitime défense. Les Brigades d’Al-Aqsa, l’aile militaire du Fatah, ont même appelé à intensifier les attaques.

Dans ses récentes déclarations, Abbas n’a mentionné aucune action violente du côté palestinien, ne parlant que de la « résistance populaire », qu’il a défendue. Or cette expression prête à confusion, en ce qu’elle évoque des actions non violentes, telles que des manifestations et des marches pacifiques, alors que la récente vague de terrorisme palestinien inclut des attaques au couteau, dont beaucoup ont fait des blessés graves et des morts, ainsi que des jets de pierres et de bombes incendiaires, ou encore des tirs de boules de métal, ayant également fait des blessés et des morts.

L’Autorité palestinienne et son chef, Mahmoud Abbas, se sont non seulement abstenus de condamner les actes terroristes du mois dernier, mais encouragent leur poursuite et présentent leurs auteurs, non pas comme des assaillants qui ont délibérément entrepris de poignarder des Israéliens, mais comme des Palestiniens innocents qu’Israël a exécutés sous de faux prétextes. Ils qualifient le fait de blesser ou de tuer des terroristes de « crime de guerre », et informent même de leur intention de poursuivre Israël devant la Cour pénale internationale. Le langage utilisé par Abbas, à savoir des expressions comme « le terrorisme du gouvernement israélien et des troupeaux de colons », « des exécutions de sang-froid » et « l’attaque hostile d’Israël » – n’encourage pas l’apaisement, et incite même à la violence.

Certes, Abbas et ses services de sécurité tentent actuellement de maîtriser la violence dans les territoires de l’AP et ont en effet arrêté des militants du Hamas. En outre, Abbas a rencontré des dirigeants du Fatah dans différentes zones, apparemment pour leur demander de calmer les violences. Toutefois, ces mesures semblent motivées par la crainte de perdre le contrôle de la situation et le désir d’éviter de donner à Israël un prétexte pour reprendre les territoires de l’AP.

La prétendue modification du statu quo à Al-Aqsa

Dans son discours du 14 octobre 2015 diffusée à la télévision palestinienne, Abbas a répété l’accusation, qui est le principal catalyseur des incidents terroristes actuels, selon laquelle Israël projette de modifier le statu quo à Jérusalem, malgré les démentis répétés de responsables israéliens. Abbas a également déclaré que les actions d’Israël avaient déclenché un conflit religieux. Il a affirmé : « Ces jours-ci, l’attaque hostile d’Israël contre le peuple palestinien, son sol et ses lieux saints s’intensifie, et le racisme sauvage, dans sa laideur, rend l’occupation plus horrible et repoussante. Cela pose une menace à la paix et à la stabilité et présage la détonation du fusible d’un conflit religieux qui entraînera une conflagration dévorante, non seulement dans la région [du Moyen-Orient], mais dans le monde entier. C’est une sonnette d’alarme afin que la communauté internationale intervienne immédiatement de manière positive, avant qu’il ne soit trop tard. »

« Nous affirmons explicitement et sans équivoque que nous n’accepterons pas de changement du statu quo [concernant la mosquée] Al-Aqsa bénie ni ne permettrons à Israël de fomenter un complot visant à endommager sa sainteté et son [caractère] purement islamique. Le droit [sur Al-Qasa] est notre droit exclusif – des Palestiniens et des musulmans partout dans le monde. Nous aspirons à nos droits, à la justice et à la paix. Nous n’avons attaqué personne et nous n’accepterons pas d’attaques contre notre peuple, notre patrie et nos lieux saints. » [1]

Notons qu’un mois plus tôt, lors d’une rencontre avec des résidents de Jérusalem-Est, Abbas les avait exhortés à continuer de s’opposer aux « invasions » d’Al-Aqsa et à empêcher les Israéliens de la diviser :

« La mosquée Al-Aqsa et l’église du Saint-Sépulcre sont nôtres. Elles sont entièrement nôtres, et ils n’ont pas le droit de les souiller de leurs pieds sales. Nous ne leur permettrons pas de le faire, et nous ferons tout en notre pouvoir pour protéger Jérusalem. Nous sommes à Jérusalem et y resterons. Nous défendrons les lieux sacrés du christianisme et de l’islam et ne renoncerons pas à notre ville. Nous continuerons à nous accrocher à chaque pouce de son sol et à tout faire pour faire entendre sa voix. Je suis convaincu qu’aucun mal ne sera fait à Jérusalem, même si Israël mène une guerre d’extermination contre elle. Nous continuerons à la défendre en toutes circonstances. Nous parlons avec tout le monde, et tout le monde se demande ce que nous faisons pour faire entendre la voix [de Jérusalem]. » [2]

Abbas : Israël exécute des Palestiniens, dont des enfants, de sang froid

Une autre fausse accusation prononcée par Abbas dans son discours, récemment devenue  partie intégrante du narratif palestinien, est qu’Israël exécute les Palestiniens, y compris les enfants, sous prétexte qu’ils avaient tenté de poignarder des juifs. A titre d’exemple, il a cité le cas d’Ahmad Manasra, le garçon de 13 ans qui, le 12 octobre, a poignardé et grièvement blessé un israélien de son âge dans le quartier de Pisgat Zeev à Jérusalem, alors que Manasra est seulement légèrement blessé et hospitalisé en Israël. Abbas a affirmé : « Nous avons dit au monde entier depuis la tribune de l’ONU qu’en aucune façon nous n’accepterons la situation actuelle en Palestine occupée, ni ne capitulerons face à la logique de la force par l’oppression et la politique d’occupation et d’agression adoptée par le gouvernement israélien et ses troupeaux de colons, qui utilisent la terreur contre notre peuple, nos lieux saints, nos maisons et nos arbres et exécutent nos enfants de sang-froid, comme ils l’ont fait pour le petit Ahmad Manasra et d’autres enfants à Jérusalem et ailleurs. »

Abbas a ajouté que l’Autorité palestinienne poursuivrait Israël devant la Cour pénale internationale pour ses exécutions : « Nous intenterons de nouveaux procès pour l’exécution de nos fils, filles et petits-enfants. Quiconque craint le droit international et ses sanctions devrait cesser de commettre des crimes contre notre peuple. » [3]

Cette accusation a été reprise par le négociateur en chef palestinien et secrétaire du Comité exécutif de l’OLP Saeb Erekat, qui a affirmé lors d’une conférence de presse qu’Israël exécutait les Palestiniens, occultant le fait qu’ils ont été abattus alors qu’ils poignardaient ou tentaient de poignarder des Israéliens. Erekat a affirmé : « Nous exigeons que le Rapporteur spécial sur les droits de l’Homme de l’ONU, Christof Heyns, arrive immédiatement et enquête sur les exécutions sur le terrain… Conformément à la directive du président [Abbas], nous avons décidé de recueillir des informations en vue d’intenter trois actions en justice, contre le Premier ministre Netanyahu, son ministre de la Défense et les chefs des forces de sécurité israéliennes. » [4]

Abbas : Le sang des martyrs est le prix de la liberté ; le combat des Palestiniens a attiré l’attention et gagné le respect du monde entier

Dans son discours, Abbas a appelé à poursuivre la « résistance populaire » et félicité Jérusalem et les martyrs, déclarant que les événements actuels sont le résultat du rejet par Israël de la main tendue et de la poursuite de la construction dans les colonies : « Ô héroïques Palestiniens, par votre combat et votre ténacité, vous avez remporté des victoires considérables et des succès politiques, et grâce à cette merveilleuse ténacité, la cause palestinienne a attiré l’attention et gagné le respect du monde entier. Il est vrai que nous en avons payé le prix avec le sang de nos martyrs et blessés, les larmes de nos mères et le tourment de nos prisonniers, mais c’est le prix de la liberté, qui est désormais très proche. »

« [Je] vous félicite, notre glorieux peuple, ainsi que la fière Jérusalem et ses habitants qui se trouvent en première ligne ; [Je] félicite Gaza, la Cisjordanie et notre peuple en diaspora. La victoire viendra, avec l’aide d’Allah… Nous persisterons dans notre lutte nationale légitime, focalisée sur notre droit à nous défendre, la résistance populaire non violente et le combat diplomatique et juridique, et nous agirons avec la patience, la sagesse et le courage nécessaires pour défendre notre peuple et ses succès diplomatiques et nationaux, remportés après des décennies de lutte et de persévérance et grâce à la longue route des martyrs, blessés et prisonniers. »

« L’instabilité et l’insécurité résultent du rejet par le gouvernement israélien de notre main tendue [pour] une paix juste qui garantisse les droits de notre peuple, sa liberté et son honneur national. [Elles résultent] de l’entêtement [d’Israël] à construire dans les colonies et imposer des diktats [aux Palestiniens]. La paix, la sécurité et la stabilité ne seront atteintes qu’avec la fin de l’occupation israélienne et la création d’un Etat palestinien indépendant, avec la sainte Jérusalem comme capitale, dans les frontières du 4 juin 1967. »

« Membres du glorieux peuple palestinien, où que vous soyez, je vous invite à vous rassembler et vous unir, et à prêter attention aux complots de l’occupation fomentés pour torpiller notre entreprise nationale. Nous ne cesserons jamais de défendre notre peuple et de le protéger. Tel est notre droit. [Je] félicite les martyrs, les blessés et les prisonniers. » [5]

Des hauts-responsables du Fatah louent les terroristes, les encouragent à poursuivre la « résistance populaire »

Saeb Erekat a salué Fadi Aloun, qui a perpétré une attaque au couteau le 4 octobre 2015 à Jérusalem, ainsi que Muhannad Al-Halabi, qui a poignardé deux Israéliens à mort dans la Vieille Ville de Jérusalem le jour même. Il a également donné les noms des « martyrs », dont la plupart ont perpétré des attaques terroristes, tout en soulignant leur jeune âge. Il a ajouté : « La méthode israélienne vis-à-vis du peuple palestinien est [de procéder à] des exécutions sur le terrain… Israël tue des civils et des enfants et impose des punitions collectives. » [6]

D’autres hauts responsables du Fatah ont justifié la violence et/ou encouragé sa poursuite. Dans une interview pour l’agence de presse Amad, le membre du Comité central du Fatah et ancien chef des renseignements généraux de Cisjordanie Tawfiq Al-Tirawi a déclaré que le peuple palestinien avait le droit de se défendre et de résister afin d’assurer son avenir, car la résistance populaire est l’une des méthodes de résistance. [7]

Le membre du Comité central du Fatah Azzam Al-Ahmad a affirmé : « Nous devons poursuivre l’éveil national, car une activité diplomatique sans résistance populaire est dérisoire. Le temps est venu d’élargir le cercle de [ceux] qui rejoignent la résistance populaire, et nous devons tous participer à la lutte, chacun selon ses moyens. » [8]

Le membre du Comité central du Fatah Abbas Zaki a déclaré à l’agence de presse turque Anadolu : « La lutte armée contre l’occupation est un droit légitime auquel nous ne renoncerons pas, mais elle nécessite l’unité de  toutes les factions palestiniennes, la mise en place d’un bureau de guerre central et la mise au point de plans, pour que la lutte armée coûte un prix élevé à l’ennemi tout en servant les intérêts du peuple palestinien. Nous nous réservons le droit de [nous engager dans] la lutte armée, qui est une option à laquelle nous ne renoncerons pas, mais nous devons examiner comment et quand la mener, et si le climat est propice pour nous. À l’heure actuelle, nous soutenons une Intifada populaire qui confondra l’ennemi et paralysera sa sécurité et son économie, et incitera le monde à aborder la question de savoir comment mettre fin à la dernière occupation restante dans le monde. »

« Décider de mener la lutte armée ne fera [que] servir l’ennemi, qui a la puissance militaire de [nous] tuer quotidiennement. Aujourd’hui, nous nous défendons, et nous continuerons de le faire. Nous ne voulons pas d’escalade, mais l’ennemi attaque et détruit nos villes et villages. [Les moyens] de légitime défense diffèrent d’un Palestinien à un autre ; certains d’entre nous utilisent des pierres et d’autres des couteaux. » [9]

Menaces déclarées ou voilées d’intensifier les violences

En plus de féliciter les auteurs des attaques aux couteaux et d’appeler à poursuivre la violence, les membres du Comité central du Fatah ont même appelé à l’intensifier. Azzam Al-Ahmad a déclaré que, si Israël poursuit ses « crimes » contre les Palestiniens, les événements pourraient atteindre des proportions échappant à tout contrôle, ajoutant : « Il existe des similitudes entre les forces israéliennes et l’organisation terroriste Etat islamique. » [10]

Dans une annonce du 13 octobre, les Brigades d’Al-Aqsa ont salué les attaques et appelé à « les intensifier sur le terrain contre l’occupation israélienne qui a tout autorisé, y compris les meurtres de sang-froid de femmes, d’enfants et de personnes âgées… La réponse sera douloureuse et choquante, et nous allumerons un feu sous les pieds sales des sionistes. » [11]

Une photo sur le site des Brigades d’Al-Aqsa montre un couteau tranchant une étoile de David, avec la légende : « Palestinien, lève-toi et résiste, et ne renonce jamais à ton droit » (3asfa.com, le 13 octobre 2015)

C. Jacob est chercheur à MEMRI

Notes :

[1] Al-Ayyam (Autorité palestinienne), le 15 octobre 2015.

[2] Voir MEMRI en français Le président palestinien Mahmoud Abbas : « Les juifs n’ont pas le droit de souiller la mosquée Al-Aqsa de leurs pieds sales, 24 septembre 2015.

[3] Al-Ayyam (Autorité palestinienne), le 15 octobre 2015.

[4] Amad.ps, le 13 octobre 2015.

[5] Al-Ayyam (Autorité palestinienne), le 15 octobre 2015.

[6] Amad.ps, le 13 octobre 2015.

[7] Amad.ps, le 13 octobre 2015.

[8] Amad.ps, le 13 octobre 2015.

[9] Amad.ps, le 9 octobre 2015.

[10] Amad.ps, le 13 octobre 2015.

[11] 3asfa.com, le 13 octobre 2015.

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