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Dans un clip vidéo diffusé sur Internet le 26 octobre 2014, un groupe égyptien, « Malaleem », met en scène une chanson antisémite, dans laquelle une « guenon juive » trompe son amant pharaonique. « Ce sera le sort de tout Egyptien qui croit aux juifs », disent les paroles.
Le groupe Malaleem a été formé en décembre 2010 par l’ingénieur Kareem El-Sabahy, qui a composé la musique d’ « Un amour de singe », chante et joue au clavier. Les paroles ont été écrites par Abd El-Rahman Zahran.
Titre : « Un amour de singe » par Malaleem
Paroles : Il était une fois, un singe pharaonique qui s’amouracha d’une guenon juive. Cet amour est aberrant – mais que pouvons-nous dire ? Ce sont des singes !
Il était une fois, un singe pharaonique qui s’amouracha d’une guenon juive. Cet amour est aberrant – mais que pouvons-nous dire ? Ce sont des singes !
Les juifs furent très heureux et organisèrent une fête à la frontière, tandis que les pharaons jetèrent un sort, selon leur coutume.
[Les juifs] lui dirent de choisir : « Vis avec nous ou oublie-la. »
La [guenon] aux yeux diaboliques lui fit quelques promesses.
Elle lui fit jurer de ne jamais la quitter – pas même s’il était avalé vivant par des lions, pas même s’il était attaqué par des bombes, des canons ou des fusils.
[Les juifs] lui dirent de choisir : « Vis avec nous ou oublie-la. »
Elle lui fit jurer de ne jamais la quitter – pas même s’il était avalé vivant par des lions, pas même s’il était attaqué par des bombes, des canons ou des coups de fusils.
Il alla la voir, muni d’un sac de cacahuètes, et non de roses. C’est le présent d’amour d’usage chez nos frères les singes.
Il frappa à sa porte, qui fut ouverte par un singe de jadis.
Ce singe était aussi imposant qu’un éléphant et presque aussi haut qu’une perche.
Notre [singe pharaonique] lui demanda : « Qui est-ce ? » et elle lui dit : « C’est l’amour de ma vie. Vous n’étiez qu’une erreur que je ne répéterai jamais. »
Il frappa à sa porte, qui fut ouverte par un singe de jadis.
Ce singe était aussi imposant qu’un éléphant et presque aussi haut qu’une perche.
Notre [singe pharaonique] lui demanda : « Qui est-ce ? » et elle lui dit : « C’est l’amour de ma vie. Vous n’étiez qu’une erreur que je ne répéterai jamais. »
Il s’évanouit sur place. Le crime ne connaît pas de frontières.
Ce sera le sort de tout Egyptien qui croit aux juifs.
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