L’écrivain libéral syrien Nidhal Na’isa a démarré sa carrière de journaliste à l’adolescence, dans les quotidiens gouvernementaux Al-Thawra et Syria Times. Il s’élève aujourd’hui contre les régimes arabes et l’idéologie panarabe, l’islamisme et le terrorisme islamique. Il écrit qu’en raison du “tsunami” islamiste, le Moyen-Orient peut être qualifié de “zone de désastre intellectuel”, que les médias panarabes propagent “le mal, de douleur et de destruction.” En revanche, il fait l’éloge de l’Occident pour son “humanisme” et son “respect des individus”, affirmant que vu la situation qui prévaut dans le monde arabe, la véritable question ne devrait pas être “pourquoi l’Occident nous hait ?”, mais “pourquoi il ne nous hait pas ?”
Consulter le rapport en anglais sur:
http://www2.memri.org/bin/articles.cgi?Page=archives&Area=sd&ID=SP159007
Quelques citations:
“Nous pourrions qualifier [le Moyen-Orient] de zone de désastre intellectuel depuis le tsunami fondamentaliste.”
“Dans nos sociétés totalitaires, s’écarter du consensus est considéré comme une erreur, [une marque d’] hérésie et d’athéisme.”
Les médias syriens sont un “enfant mongoloïde, retardé et sous-développé.”
“En vérité, je pense que ces méchants ‘infidèles’ nous aiment plus que nous les haïssons.”
“Londres est devenu un havre de paix pour les fondamentalistes qui fuient l’Enfer du despotisme du Moyen-Orient.”
Si l’Occident souhaitait rendre la pareille aux chaînes satellite arabes, “il pourrait éteindre leurs lumières…”