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1 mars 2005
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Ibrahim Al-Ja’fari, nommé Premier ministre de l’Irak – informations biographiques

Pour la première fois dans l’histoire de l’Irak, une liste de candidats, à un scrutin national, quasiment entièrement constituée de candidats Chiites a remporté 48.1 pourcents des voix et une majorité absolue des sièges – 140 sur 275. La liste, nommée Alliance Unifiée Irakienne (AUI), comprenait les deux principaux partis Chiites irakiens: Le Conseil Suprême de la Révolution Islamique en Irak (CSRII) et le Parti al-Da’wa , dirigés respectivement par Abd Al-Aziz al-Hakim et Ibrahim Al-Ja’fari . La liste comprend en outre le Parti du Congrès Irakien , dirigé par le Docteur Ahmad Chalabi , et un nombre important de candidats indépendants. Abd Al-Aziz al-Hakim, le chef du CSRII, un dignitaire religieux qui n’était pas considéré comme un candidat crédible pour le poste de Premier ministre, figurait en tête de la liste; Al-Jafari y figurait en seconde place.

Quelques jours après l’annonce des résultats, rendus publics le 6 février, plusieurs membres nouvellement élus de l’Assemblée Nationale se sont déclarés candidats au poste de Premier ministre. Après une consultation interne, l’Alliance Unifiée Irakienne a désigné le Docteur Ibrahim Al-Ja’fari pour être son candidat à la fonction exécutive la plus importante et le Grand Ayatollah Al-Sistani a approuvé ce choix en lui apportant son soutien. Sauf surprises de dernière minute, le soutien apporté à al-Ja’fari par l’AUI et par al-Sistani est une garantie quasi certaine de son approbation par la majorité relative requise des membres de l’Assemblée Nationale pour devenir le premier Premier ministre irakien élu depuis plus de 50 ans.

Informations d’ordre personnel

Ibrahim abd al-Karim Hamza al-Ja’fari est né sous le nom d’Ibrahim al-Ushaiqir dans la ville de Karbala en 1947. Il est un sayyid , ce qui signifie qu’il est un descendant du Prophète Mahomet. La famille al-Ushaiqir est originaire de la ville d’al-Ushaiqir située dans ce qui est aujourd’hui l’Arabie Saoudite. Sayyid Mahdi bin Sayyid Ali bin Sayyid Baqir al-Ushaiqir, l’arrière arrière-grand-père d’al-Ja’fari, a mené la révolte de Karbala en 1876 contre l’Empire Ottoman. [1] Le jeune Ibrahim a suivi l’école primaire et le collège dans cette ville qui, en 1968, fut le témoin de la première vague de ce qui fut qualifié de «Politisation Chiite» et de la montée de l’influence du parti islamique Da’wa (hizb al-Da’wa al-islamiyya) sous la direction de l’Ayatollah Muhammad Baqir Al-Sadr . Al-Ushaiqir a rejoint le parti Da’wa en 1968 mais a poursuivi ses études à l’Université de Mossoul et y a obtenu un diplôme médical en 1974. Il dira plus tard que ses études à Mossoul l’ont alors sensibilisé aux opinions et aux préoccupations des Sunnites. [2] Après avoir achevé sa formation, il retourne à Karbala pour s’immerger dans l’action politique. Lorsque le conflit entre le parti Da’wa et les autorités baasistes s’est intensifié à la fin des années 1970, Saddam Hussein a engagé une campagne d’éliminations physiques à grande échelle. En 1980, al-Ushaiqir fuyait vers l’Iran. Pour protéger sa famille d’éventuelles représailles du régime, Ibrahim al-Ushaiqir adopta le nom al-Ja’fari (il fut aussi connu sous un autre nom, Abu Ahmad al-Ja’fari). Lui étant impossible de s’engager dans une action politique indépendante de la «ligne» iranienne, al-Ja’fari déménagea en Angleterre en 1989 où il remplit la fonction de porte-parole de son parti et où sa famille comprenant sa femme, ses deux fils et ses trois filles réside encore aujourd’hui. [3] A la différence de Chalabi et de son Congrès National Irakien, al-Ja’fari était opposé à une invasion extérieure pour destituer Saddam. [4]

L’identité chiite est au centre de ses préoccupations

Affranchi pour la première fois des environnements politiquement oppressants d’Irak et d’Iran, al-Ushaiqir / al-Ja’fari a pu recentrer l’attention sur «l’identité chiite irakienne», interagir avec d’autres partis irakiens en exil et offrir des idées innovantes au sujet d’un avenir démocratique pour l’Irak. En effet, le parti islamique Da’wa a pu établir ce qui fut appelé des «alliances flexibles» avec d’autres dirigeants en exil. Al-Ja’fari a contribué à la décision de son parti de participer aux réunions du comité d’action nationale de 1991 à Beyrouth, annonciatrices du Congrès National Irakien. [5] Ses activités, tournées vers le pragmatisme politique, ont rencontré l’opposition d’une autre aile du parti Da’wa dirigée par Abu Bilal al-Adib , qui a défendu le programme iranien et continue de vivre en Iran et d’être soutenu financièrement par le gouvernement iranien. [6]

Retour en Irak

Al-Ja’fari est immédiatement retourné en Irak à la chute du régime de Saddam. Il s’était opposé à l’invasion; cependant, il s’est alors joint à d’autres forces politiques déclarant que l’occupation était un fait et qu’il fallait s’unir les uns aux autres pour écourter sa durée. [7] En juillet 2003, il est devenu membre du Conseil Gouvernemental d’Irak et son premier président – une fonction alternant entre les membres suivant l’ordre alphabétique. Depuis le 1er juillet 2004, il sert en tant que l’un des deux vices présidents d’Irak par intérim.

Le Parti Islamique Da’wa

Le Parti Islamique Da’wa a été fondé en1958 et est considéré le plus vieux mouvement islamique d’Irak. Il repose sur «une idéologie de réforme de la pensée islamique et de modernisation des institutions religieuses.» [8] En 1980, le dirigeant du parti Muhammad Baqir al-Sadr a été assassiné par des agents de Saddam Hussein et le parti banni pour son affiliation à l’Iran. [9] Les membres d’Al-Da’wa se sont alors joints aux unités de l’armée iranienne durant la guerre contre l’Irak ou ont complètement abandonné l’activité politique. En juillet 1982, des membres du parti ont ourdi une tentative d’assassinat de Saddam Hussein et ont fait sauter le Ministère de la Planification le mois suivant. Suite à une attaque sur le cortège de Saddam en avril 1987, des milliers de membres d’al-Da’wa ont été exécutés et de nombreux autres ont fuit l’Irak. [10]

Le position du Parti al-Da’wa sur un gouvernement islamiste

Le Parti al-Da’wa soutient une certaine forme de gouvernement islamiste. A titre d’exemple, un éditorial de l’organe du parti, al-Da’wa , a regretté la décision du Conseil Gouvernemental d’Irak alors au pouvoir, d’exclure du cursus scolaire l’enseignement islamique et de le remplacer par «l’éthique religieuse et les valeurs.» «Nous attendons le jour», disait l’éditorial du journal, «où notre peuple sera la source de [notre] force, et notre foi divine la base de [nos] lois…» [11]

Ce genre de déclarations a soulevé l’inquiétude, aussi bien aux Etats-Unis que parmi les Irakiens sunnites et des politiciens laïques, au sujet des opinions présumées islamistes d’al-Ja’fari. Des doutes ont aussi été exprimés par l’actuel Premier ministre par intérim Ayad Allawi au sujet de l’engagement d’al-Ja’fari en faveur d’une société pluraliste et de ses relations avec le régime iranien. Parlant au nom d’Allawi, son assistant ‘Imad Shabib a appelé al-Ja’fari à «se conduire en Irakien et à être loyal envers l’Irak et aucun autre pays», en évidente référence à l’Iran. Il a ajouté, «le Dr al-Ja’fari est notre ami mais nous nous devons de mettre en garde aussi bien le parti Da’wa d’al-Ja’fari que le CSRII.» [12] Un examen des précédents d’al-Ja’fari pourrait dissiper au moins certaines de ces inquiétudes.

Les opinions d’al-Ja’fari sur les questions-clé

Dans un entretien exhaustif avec l’ Associated Press suivi d’un autre avec le quotidien de Londres al-Sharq al-Awsat , al-Ja’fari a tenté de dissiper les appréhensions au sujet des ses opinions islamistes. Un des problèmes les plus aigus auquel devra s’attaquer la nouvelle constitution est de savoir si, comme le soutient le parti al-Da’wa, l’Islam doit être la seule source de législation ou s’il doit être seulement l’une d’entre elles comme l’a établi la Loi Administrative de Transition (LAT) qui fait office de constitution provisoire de l’Irak. Interrogé sur la question durant l’entretien, al-Ja’fari a répondu de façon quelque peu élusive mais cependant rassurante: «les Irakiens s’accordent sur des principes communs comme le respect des diverses croyances du peuple, le maintien des libertés civiques, l’aval de l’élection comme mode de choix des autorités, la garantie de la souveraineté de l’état, le respect des droits de l’homme, et le respect des femmes et leur intégration à la vie politique.

La grande majorité des Irakiens sont musulmans; donc, il est naturel que nous prenions en compte leur sensibilité en faisant de l’Islam la religion officielle de l’état et une des principales sources de législation [nous ajoutons les italiques] de concert avec d’autres sources, sans blesser la sensibilité musulmane.»

Dans l’entretien ultérieur avec al-Sharq al-Awsat, al-Ja’fari s’est montré beaucoup plus assertif sur la question: «je crois qu’il incombe à quiconque dirigeant l’Irak d’être né au cœur de ce pays et d’avoir un caractère compatible avec celui du pays. L’Irak est multiple et ne ressemble à aucun autre pays. Tous les Irakiens ne sont pas chiites et tous les Chiites ne sont pas islamistes et tous les islamistes ne croient pas au commandement du juriste [ wilayat al-faqih , caractéristique du régime iranien]… l’Irak est multiple et il incombe à chacun de respecter cette diversité, de respecter les libertés, les croyances et les affiliations politiques, religieuses et ethniques de tous les Irakiens.» [13]

Lorsque l’on sait que l’Ayatollah al-Sistani est né en Iran, la notion qui voudrait que le dirigeant de l’Irak soit né «au cœur de ce pays» est assez éloquente.

Questionné davantage sur l’éventuelle contradiction entre sa réponse et l’appel de son parti pour une islamisation de la société et de l’état, al-Ja’fari a fait une distinction révélatrice: «Nous croyons que la théorie n’est pas la finalité, mais plutôt que la finalité est l’être humain [qui] saurait être souple dans le développement de la théorie.» [14] Dans son entretien avec al-Sharq al-Awsat, al-Ja’fari a ajouté: «Qu’une personne puisse changer ne me surprend pas mais je serai surpris qu’elle ne change pas d’opinion. L’activité politique consiste en l’art du possible dans la gestion du changement.» [15]

La position du CSRII

La position d’al-Ja’fari sur la diversité de l’Irak s’est reflétée dans les déclarations faites par l’autre partenaire majeur de L’Alliance Irakienne Unifiée, nommément le Conseil Suprême de la Révolution Islamique en Irak. Un porte-parole du CSRII a soutenu qu’il est «impossible que le prochain gouvernement irakien soit religieux et islamiste. Il s’agira d’un gouvernement de coalition, national, libre et démocratique» qui offrira l’opportunité à toutes «les confessions, nationalités et religions d’Irak d’y participer… Nous ne formerons pas un gouvernement subordonné à tel ou tel pays. Nous n’avons pas besoin de l’Iran ou de la Syrie – ils ont besoin de nous.» [16]

Le «conseil» donné par l’ Ayatollah al-Sistani à une délégation de dirigeants de l’AIU lui rendant visite à Najaf n’est pas moins révélatrice. S’il a cautionné le choix d’al-Ja’fari comme Premier ministre, il a appelé l’AIU à défendre les droits des Sunnites au vu des épreuves qu’ils ont traversées. [17]

Pas de retrait des forces multinationales avant le retour à la sécurité

Al-Ja’fari a déclaré ouvertement et à maintes reprises que jusqu’au retour à la sécurité en Irak il serait prématuré de demander le départ des forces multinationales. Cette position est partagée par le CSRII, les Kurdes et l’actuel Premier Ministre Ayad Allawi, mais rejetée par la majorité des Sunnites et le clerc chiite radical Muqtada al-Sadr . [18] Les Sunnites et al-Sadr se sont obstinés dans leur demande d’un retrait des forces étrangères d’Irak comme condition préalable à leur engagement dans processus politique.

Dans son entretien avec l’ AP , al-Ja’fari semble étendre la justification de la présence de troupes étrangères dans des pays incapables d’assurer leur propre sécurité:

«Nous devons examiner les raisons pour lesquelles les troupes multinationales restent en Irak, et pas seulement en Irak mais dans de nombreuses régions de par le monde: les troupes se trouvent dans un pays donné quand les violations de l’état de sécurité sont plus importantes que la capacité de l’appareil sécuritaire à les traiter.

Il est vrai que la présence de forces multinationales en Irak est une faiblesse et non un atout puisque cela veut dire que la sécurité n’est pas au niveau qu’exige le pays. Cependant, traiter une telle faiblesse ne saurait nous entraîner vers une plus grosse erreur en demandant le retrait des troupes à ce stade. Il y a des menaces sécuritaires, il y a des violations, des assassinats et des explosions.» [19]

Le fédéralisme irakien

La réponse d’al-Ja’fari au sujet du fédéralisme laissera sans aucun doute de nombreux Kurdes perplexes. Il semble croire que les appels au fédéralisme découlent d’un désir d’échapper à la «suppression des fils des provinces» par le nouveau gouvernement. Si le gouvernement central met en place la justice pour tous, a assuré al-Ja’fari, «beaucoup de craintes vont se dissiper.» En d’autres termes, les appels au fédéralisme prendront fin. Les partis kurdes auront sans doute du mal à soutenir un Premier ministre ayant une telle opinion du fédéralisme. Les Kurdes ont déclaré avec vigueur qu’ils soutiendraient seulement un candidat au poste de Premier ministre qui défend leurs principes. [20]

Difficultés en vue

  • Le Dr al-Ja’fari, et de fait tout Premier ministre qui sera choisi par l’Assemblée Nationale, fait face à d’énormes défis. S’ils ne sont pas abordés avec sagesse et précaution, chacun de ses obstacles pourrait sérieusement affaiblir le fragile système démocratique en cours de construction en Irak. Il aura à charge de:
  • Travailler de près avec les forces multinationales pour contrôler l’insurrection, première étape vers la restauration de la sécurité et l’amorce d’une dynamique de reconstruction du pays.
  • Promouvoir un mouvement de réconciliation nationale qui ramènera les Sunnites dans le processus électoral en tant que partenaires essentiels, ce qui pourrait grandement affaiblir leur soutien aux rebelles.
  • Travailler de près avec les Kurdes pour satisfaire leur exigence d’un système de gouvernement fédéral qui préserverait leur autonomie.
  • Empêcher les figures religieuses de son propre camp de presser trop fort en faveur de l’Islamisation de l’état et de la société.
  • Répondre aux besoins cruciaux de la population qui affectent la qualité de vie, par exemple la fourniture d’eau et d’énergie.

En tant que dirigeant national, maintenir l’Assemblée Nationale concentrée sur l’ébauche d’une constitution qui incarne les aspirations de tous les secteurs de la population.

  • Etre ferme face à l’ingérence iranienne dans les affaires irakiennes.

Conclusion

Le Dr Ibrahim al-Ja’fari se distingue par ses déclarations comme un religieux modéré et un politicien pragmatique. Dans la mesure où il présidera un gouvernement de transition jusqu’aux prochaines élections prévues pour le mois de décembre de cette année, il n’y pas de raison de se préoccuper qu’il cherche à transformer l’Irak en nation islamiste alors que le pays est engagé dans l’ébauche d’une constitution. Il pourrait y avoir quelques changements marginaux, mais les principes fondamentaux sur lesquels repose la mosaïque sociale et politique d’Irak demeureront certainement inchangés.

*Le Docteur Nimrod Raphaeli est le Responsable du Programme d’Etudes économiques de MEMRI.



[1] http://nahrain.com/d/news/05/02/16/elf0216a.html.

[2] al-Sharq al-Awsat (Londres), 28 février 2005.

[3] Le Monde (Paris), 16 février 2005.

[4] http://nahrain.com/d/news/05/02/16/elf0216a.html.

[5] al-Sharq al-Awsat (Londres), 24 août 2003.

[6] al- Sharq al-Awsat (Londres), 6 août 2003.

[7] Nahrain, op.cit.

[8] al-Bawaba, 30 juillet 2003.

[9] Pour l’histoire et l’idéologie du parti Da’wa, voir Rodger Shanahan, « The Islamic Da’wa Party: Past Development and Future Prospects », Middle East Review of International Affairs , Vol. 8 No. 2 (Juin 2004).

[10] www.Iraqnews.com/party islamic daawa party.html .

[11] al-Da’wa (Bagdad), 6 août 2003.

[12] al-Sabah (Bagdad), 21 février 2005.

[13] al-Sharq al-Awsat (Londres), 28 février 2005.

[14] Loc. Cit.

[15] al-Sharq al-Awsat (Londres), 28 février 2005.

[16] al-Sharq al-Awsat (Londres), 22 février 2005.

[17] al-Zaman, 28 février 2005.

[18] La position d’al-Ja’fari sur le sujet se reflète dans de nombreux entretiens, dans la presse étrangère et irakienne. Voir par exemple, http://wnbc.com/news du 15 février 2005 , Le Monde, 16 février 2005

[19] www.foxnews.com/story/0,2933,147815,00.html 16 février 2005.

[20] al-Sharq al-Awsat (Londres), 25 février 2005.

Voir aussi
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