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8 May 2004
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Le dirigeant du Parti Réformiste de Syrie : ‘Si 20% des habitants en Syrie s’insurgeait, ils pourraient assaillir le régime’

Le quotidien koweïtien Al-Siyassa a publié une interview avec Farid Ghadry, dirigeant du Parti Réformiste de Syrie (PRS) basé aux Etats-Unis. Principalement soutenu par des citoyens syriens expatriés, le PRS a été crée après le 11 septembre 2001 pour permettre aux libéraux syriens de s’exprimer. Cette voix libérale n’a pas été entendue depuis que le parti Baas a pris le pouvoir dans ce pays. Le PRS demande une nouvelle constitution pour la Syrie et la révocation du régime Baas. Voici l’interview traduite: [1]

‘La rue syrienne n’est plus dupe des mensonges et des tromperies du [parti] Baas’

Question: « Comment est née l’idée de créer ce parti à ce moment [de l’histoire] et y va-t-il de la volonté américaine?»

Ghadry: « L’idée de créer un parti démocratique syrien est issue des cercles d’émigrants syriens aux Etats-Unis suite aux événements meurtriers du 11 septembre. Elle a été sujet de débat parmi un grand nombre d’exilés de chaque sphère de la société syrienne et a fait l’objet d’un consensus général. L’idée a été adoptée et formulée par des intellectuels qui soutiennent la démocratie au sein de la patrie et en Europe. Nous avons échangé nos idées et nos opinions à propos de la situation des Syriens au pays et au sein de la diaspora, tenu un congrès fondateur, et publié un premier communiqué. Ensuite, [nous avons organisé] plusieurs réunions en Europe et aux Etats-Unis, lesquelles ont servi de forum pour échanger nos opinions avec [d’autres] membres de l’opposition syrienne.»

«Pour répondre à la deuxième partie de la question […] les Américains étaient occupés à soigner leurs blessures et n’ont guère eu le temps de créer un parti syrien à cette époque. Cette [accusation] est illogique. En vérité, le régime dictatoriale du [parti] Baas à Damas avait pris l’habitude de calomnier tous ces rivaux politiques et d’attaquer chacun de ses opposants. Ils ont essayé de nous éliminer politiquement, même quand [nous étions] au berceau.»

«Mais la rue syrienne n’est plus dupe des mensonges et des tromperies du [parti] Baas. Brandir [les gens] comme traîtres est [une tactique] utilisée depuis longtemps par le [parti] Baas. Etant une organisation politique démocratique et ouverte sur le monde, nous nous servons de l’expérience des peuples développés dans le domaine de la démocratie, puisque l’expérience [d’avoir suiviMichel] ‘Aflaq fut un échec décisif, depuis le héro de Al-Qadisiyya [Saddam Hussein] au dictateur syrien [président Hafez Al-Assad]. En quoi notre coopération avec les Etats-Unis et l’Europe est-elle un problème?» [2]

‘La rue syrienne politisée a besoin d’une organisation démocratique moderne pour répondre aux aspirations d’un grand nombre de Syriens, lassés de slogans vides de sens’

Question: « Pourquoi rajouter un parti supplémentaire aux partis [déjà] existants de l’opposition syrienne paralysée?»

Ghadry: « Je suis, en somme, d’accord avec vous, car [l’opposition syrienne] est parfois paralysée et [parfois] malade ou engloutie par le régime stérile. Telle est la situation réelle de l’opposition syrienne, et elle ne peut être niée.Mais nous pensons qu’il y a assez de place en Syrie pour tous les Syriens, quelle que soit leur foi ou leur école [de pensée], de toutes religions et de toutes dénominations politiques. [Parmi eux], il y a des nationalistes, des islamistes, des marxistes, des socialistes et autres. Je ne pense pas que notre rôle soit de changer les croyances, mais d’accepter autrui, avec tout ce qu’il a de bon et de mauvais.»

«Je pense que la rue syrienne politisée a besoin d’une organisation démocratique moderne pour répondre aux aspirations d’un grand nombre de Syriens, lassés de slogans vides tels ‘unité, liberté, et socialisme’, derrière lesquels se cache le bourreau du peuple. [Ces bourreaux] ont transformé la patrie en prison et les civils en prisonniers. Je pense que le [parti] Baas est devenu un mutant, déformé par les opposants du développement social qui ont paralysé la société [syrienne]; celle-ci exige la réforme pour éliminer tout vestige du [parti] Baas et le remplacer par quelque chose de mieux.»

Question: « On dit que vous comptez sur une intervention militaire américaine pour changer la donne en Syrie. Est-ce un aveu de votre incapacité à agir contre le régime syrien?»

Ghadry: « Il n’est pas surprenant que le [parti] Baas essaie de mener une politique consistant à lancer des communiqués et des accusations, et à émettre des dénonciations ou des recommandations […] Je ne m’étonne pas des noms infâmes qui nous sont attribués depuis notre arrivée sur la scène politique. Je ne sais combien de fois j’ai du répéter que je ne suis qu’un Syrien soucieux des intérêts de mon peuple, et non un sioniste américain ou un marchand usant de la politique, comme ceux qui bradent notre force et notre patrie le prétendent. Je défi quiconque de trouver la moindre trace sur notre site en langue arabe ou anglaise d’une expression insinuant que nous voulions entrer en Syrie sur un tank américain.»

«Ceci dit, si la volonté du peuple syrien est de renverser le [parti] Baas par la force, nous sommes avec lui. Si le peuple approuvait d’une intervention étrangère, soit à travers un coup militaire, soit par une rébellion civile et une paralysie de l’état, nous soutiendrions toute solution que la rue aura agréée. Nous ne sommes pas entrain d’importer des prescriptions ‘révolutionnaires’ pour les tester sur notre peuple, devenu le laboratoire de recherche du [parti] Baas.»

‘Nous sommes parmi les seules organisations dont le mot d’ordre estque le régime Baas de Damas est irréparable’

Question: «Quels sont vos liens avec les autres partis d’opposition syriens en Syrie et en dehors du pays?

Ghadry: «Nous sommes syriens et donc naturellement en relation avec quiconque s’intéressant aux Syriens. Le but de toutes les factions est de renverser la dictature et instaurer la démocratie. Ce n’est pas le moment de se disputer. Nous respectons toute opinion sans qu’elle nous engage directement, tout comme nous refusons d’imposer nos idées à autrui. Une foi que notre pays sera libre et régit par des lois et non par caprices et intérêts personnels, nous aurons le temps de débattre les détails insignifiants. Aujourd’hui, nous sommes relier à toutes les branches politiques syriennes sur de nombreux points et nous entretenons d’excellentes relations avec des organisations influentes en Syrie.Mais nous ne pouvons révéler nos contacts politiques à la lumière du climat meurtrier que perpétue le [parti] Baas actuellement. Le secret nous protège et protège nos alliés dans le pays.»

Question: « Vos relations avec les autres groupes d’opposition syriens sont tendues. Pourquoi cela?»

Ghadry: « Permettez-moi de vous contredire. Nous sommes parmi les seules organisations dont le mot d’ordre est que le régime Baas de Damas est irréparable. Il est corrompu jusqu’à la moelle et nous pensons que la meilleure solution est de le déraciner et le remplacer, comme pour son frère irakien. Les organisations les plus proches de nous hésitent à nous suivre par peur de représailles. Certains se dissocient par peur que tort soit fait à leurs dirigeants. La différence d’opinion n’est pas cause de rivalité entre nous. Nous ne nous disputons pas avec autrui pour ses opinions. Distance, dissociation et refus de l’autre sont caractéristiques du [parti] Baas uniquement.»

«Il ne fait aucun doute que le sentiment d’impuissance et de fatigue sont entrain d’accroître au sein de l’opposition syrienne, et en tant que membres de cette opposition militante et réformatrice, nous évitons d’agir comme des pirates en vers qui que se soit. En même temps, nous ne tenons pas compte des complots dont le but est non seulement de nous entraîner dans une guerre de communiqués et de lutte verbale [interne], mais aussi de vider l’opposition de son contenu concret et de l’éloigner des [véritables] soucis du peuple.»

«Ceux qui nous considèrent comme l’ennemi parce que nous avons dérangé leur sommeil, tel les douze partis [membres] du Front Démocratique National, les influents et les entrepreneurs politiques sont tout aussi responsables de l’état actuel du pays que le régime; cela après avoir échoué dans tous les domaines et manifesté leur capacité à faire du bruit sans résultats, et en plus ils bénéficient du statut quo.»

A propos des Kurdes: ‘On ne peut faire son propre bonheur par le malheur des autres’

Question: « La Coalition Démocratique Syrienne, sur laquelle vous avez parié pour faire pression sur le régime, a échoué quelques mois après sa fondation. Pourquoi?»

Ghadry: « La naissance de tout phénomène provient des circonstances particulières qui lui sont attribuées […] La situation interne est en plein désarroi, et nous devons lui faire face en tenant compte des conditions [réelles] et non de nos espérances en tant qu’individu ou parti. Nous sommes arrivés à un stade avancé de la lutte pour la libération de la Syrie et il est inconcevable de relâcher [maintenant] ou de laisser leurs obstacles entraver [notre chemin]. La coalition a participé à des symposiums internationaux aux Etats-Unis et en Europe et plusieurs démarches sérieuses que nous annoncerons plus tard, restent à faire dans cette direction.»

Question: « Vous demandez le droit d’autodétermination pour les Kurdes en Syrie.»

Ghadry: « Nous abordons ce problème comme nous souhaiterions que d’autres le fassent si nous étions dans la position des Kurdes, et cela ne justifie pas une accusation de trahison. C’est le problème d’un peuple qui a été expulsé de sa terre [natale], non des droits syriens au pôle Nord ou dans le désert du Nevada – nous parlons de nos droits et de notre terre. Je pense que les Kurdes syriens ont le droit de vivre sur leurs terres, pourvu de tous leurs droits et leurs obligations. Il est impossible de renier la culture, la langue et les coutumes du peuple kurde pour tenter de les perdre dans le ‘melting pot’ arabe.»

«On ne peut faire son propre bonheur par le malheur des autres. Je pense que le peuple syrien – les Arabes, les Kurdes, ainsi que toutes les minorités nationales et religieuses – constitue un tissu national commun à tous. Ca n’est pas une moindre affaire de consacrer notre plate-forme à la résolution du problème kurde; problème qui a été créé par le [parti] Baas, attisé et exploité en fonction des besoins du régime Baas.»

‘Toutes les feuilles du figuier sont tombées, et la nudité des Baas est pleinement exposée’

Question: « Certains observateurs disent que le Parti Réformiste de Syrie ne jouit pas d’un [soutien] populaire en Syrie.»

Ghadry: «Bien que nous soyons un jeune parti et malgré le tort causé par les médias et l’interdiction de diffuser nos publications en Syrie, nous pouvons affirmer que notre propagation à travers le pays est bonne et en hausse. Je pense que l’inauguration de Radio Free Syrie fera entendre notre voix à un plus grand nombre de gens.» [3]

«Nous travaillons pour établir un programme organisé de partisans au sein de la Syrie. Il est impossible de croire en l’humanité d’un régime qui a tué et emprisonné des masses d’innocents à Qamishli, Alep, Afarin, et autres villes, tout particulièrement après avoir pris le contrôle, instauré la peur et exposé leurs dents, et qui est prés à sacrifier des innocents et répéter les massacres de Hama et Tadmor de maintes façons pour préserver le régime.»

«Dans une atmosphère aussi agitée nous ne pouvons nous vanter d’une liste de membres parmi nos forces [en Syrie], et nous garderons le silence aussi longtemps que possible. Le moment viendra pour nous de se montrer ouvertement pour dire adieu à la dictature du [parti] Basa, comme l’ont fait les Irakiens.»

Question: «Des sources du régime syrien insistent que vous agissez pour plaire aux institutions juives et sionistes aux Etats-Unis en déclarant que si vous arriviez au pouvoir, vous voudriez établir la paix générale avec Israël, puis discuter de l’affaire des monts du Golan syrien.»

Ghadry: « Je ne cherche pas à obtenir de conseils de la part du régime dictatorial. Celui-ci essaye toujours de persuader le peuple à chercher des solutions à leurs problèmes en dehors du cadre du [parti] Baas et il accuse les autres de tous les maux. Nous en avons assez de ce disque rayé qui réitère les crimes des ‘réactionnaires, du sionisme et de l’impérialisme’ et les pâturages bienfaisants du ‘nationalisme, du socialisme et du panarabisme’ [baas]. Nous avons pris l’habitude de chercher les erreurs du [parti] Baas syrien et ses crimes loin de la Syrie.»

«La raison est simple: le régime n’a plus d’autres moyens pour persuader le peuple qu’il vaut mieux que les autres à part ces mensonges et ces fabrications, et il est entrain de mobiliser ses propagandistes vétérans pour déformer l’image de toute opposition avant même qu’elle n’émerge. Toutes les feuilles du figuier sont tombées et la nudité des Baas est pleinement exposée; [la politique du regime] se caractérise par une série d’accusations ridicules [dans le style de Michel] ‘Aflaq, tel les déclarations du ministre de l’information de Saddam pendant la libération de l’Irak des griffes du ‘héro d’Al-Qadisiyya’ [i.e. Saddam] et de son entourage.»

«En ce qui concerne la paix avec Israël, il ne fait aucun doute que la paix profitera plus à la Syrie qu’aux Israéliens. La simple logique nous démontre que nous ne pouvons vaincre un pays doté d’une force militaire comme Israël avec des armes soviétiques rouillées et obsolètes sur un front qui est calme depuis plus de 30 ans. Cela révèle le mensonge des [slogans baasistes] à propos de confrontation et de libération.»

«Je ne suis pas un Juif et je ne défends pas les intérêts d’Israël. Je me souci en premier des intérêts de mon pays et de mon peuple. Nous n’avons pas besoin de recommandations. Le nationalisme, selon le [parti] Baas, c’est consentir à la supériorité du Baas. Celui qui critique les dirigeants barbares, la conduite primitive des membres du [parti] Baas, et leur pillage de l’état, voit sa citoyenneté soutirée et se trouve immédiatement cloué au pilori du traître.»

«Il est vrai que les monts du Golan sont des territoires syriens occupés. Mais en même temps, je pense que tant que le parti Baas est incapable de les récupérer par la guerre, nous le ferons par la paix. La paix est un besoin urgent pour nous en tant que syriens, et lorsque nous aurons récupéré nos terres occupées, nous n’aurons aucune raison de ne pas se réconcilier avec et reconnaître Israël. Je suis convaincu que le peuple syrien est trop intelligent pour tomber dans [le piège] des mensonges du régime à propos de la confrontation, la libération, la guerre et tout le reste. Ce n’est rien qu’une ruse pour creuser la tombe des citoyens, sous prétexte de transférer des fonds pour l’armement et l’entraînement, alors que l’argent est détourné dans les comptes [bancaires] privés des plus hauts dignitaires du régime pour construire leurs villas et importer des voitures de luxe pendant que les habitants crèvent de faim et le pays reste immobilisé.»

‘Notre but est de restituer la liberté et la démocratie à une nouvelle Syrie’

Question: « Comment voyez-vous la situation actuelle en Syrie aujourd’hui, et est-il possible de provoquer le changement par des voies pacifiques?

Ghadry: « Personne en Syrie ne souhaite le changement par la violence, et le régime de Damas a toujours fait couler le sang d’innocents et ses prisons sont encore pleines. A ce jour, tout le monde sait qu’on ne peut échapper au changement en Syrie, et les hauts dignitaires du régime sont responsables du retard […] et les événements de Qamishli l’ont prouvé.»

«Aujourd’hui en Syrie, 4% à 5 % de la population dirige tout le pays. Si 20 % de la population s’insurgeait, ils pourraient assaillir les membres dirigeants du parti Baas.»

« Nous devons [maintenant] les traquer [jusque] dans leurs terriers, leurs caves et leurs trous à rats. Il est certain que le changement peut être mené par des voies pacifiques mais cela dépend de la mise en place d’élections libres et transparentes avec une supervision internationale, à l’issu desquels un parlement syrien légal se réunira pour purger la constitution syrienne des articles [ajoutés par] le [parti] Baas et lui dépouiller de sa dictature – c’est-à-dire lui enlever son autorité exécutive et judiciaire.»

Question: « Ne craignez-vous pas que l’expérience irakienne se répète s’il y a une intervention américaine forcée en Syrie?»

Ghadry: « C’est une supposition hypothétique, et la réponse ne sera qu’une estimation […] Comme je l’ai déjà certifié, notre intention est de restituer la liberté et la démocratie à une nouvelle Syrie, et autant notre but est clairement défini, autant les moyens et outils pour y parvenir sont formels. Le [parti] Baas déterminera lui-même la nature de ce changement car nous ne sommes pas au pouvoir et nous [ne prenons pas] les décisions. Nous prenons le tyran irakien en exemple puisque personne n’a forcé Saddam à quitter son palais spacieux et se cacher sous terre. [C’est lui qui a précipité son propre destin].»


[1] Al-Siyassa (Koweït), le 18 avril 2004

[2] Michel ‘Aflaq (1910-1989) a fondé et dirigé le Parti Baas syrien pendant les années ’40.

[3] La Radio Free Syria a commencé à émettre récemment à partir de Chypre.

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