Search

Primary Menu

Skip to content
  • Accueil
  • Contact
  • Dernières actualités
  • Inscription à la newsletter
  • Mentions légales
  • Newsletter
  • Newsletter
  • Qui sommes-nous ?
Newsletter Contribuer Connexion
Archives
18 December 2003
|

Les réactions des médias arabes à l’arrestation de Saddam : 1ère partie

La capture de Saddam Hussein a fait les gros titres dans toute la presse irakienne et une bonne partie de la presse arabe. Voici un rapport en deux parties: la première partie s’intéresse aux réactions de la presse irakienne, communiquées deMEMRI Bagdad, la deuxième aux réactions de la presse arabe en général.

Première partie: la presse irakienne

Al-Zaman , plus grand quotidien irakien indépendant , publie un éditorial intitulé: «La chute de Saddam est complète et le soleil est revenu briller en Irak »:

«C’est en effet un grand jour. L’ère de l’oppression et de la dictature est à jamais révolue (…) Avec la chute de Saddam, soumis et conciliant, [capturé] par la quatrième division [d’infanterie] américaine, le régime destitué a poussé son dernier souffle (…) Saddam a prouvé qu’il était lâche et peu disposé à se défendre (…) Les Irakiens s’aperçoivent aujourd’hui que l’oppression a une fin et qu’elle n’est pas gratuite. [1]

La capture de Saddam ouvre une nouvelle fenêtre d’espoir pour un Irak propre, baignant sous le soleil, loin d’un obscur passé peuplé par les cachots souterrains des services secrets, dans lesquels des centaines de milliers d’Irakiens ont disparu à cause d’un mot, d’un murmure ou d’une opinion différente.»

Sous le titre «Saddam est fini et la nouvelle a secoué le monde», le quotidien Al-Sabah écrit: «C’est dans une cachette secrète, située dans une ferme à proximité de Tikrit, une cachette enfoncée sous terre et ne disposant que d’une ouverture pour l’aération, que Saddam a connu sa fin. Les nouvelles qui ont ébranlé le monde l’ont montré vêtu de haillons, avec une longue barbe négligée et une chevelure où l’on pouvait lire calme et défaitisme. C’est cette image qui a révélé la fin de Saddam, soumis aux tests d’ADN devant certifier son identité (…) Telle est le sort de tout dictateur, de tout despote et de tout oppresseur, que la corbeille de l’histoire attend à chaque occasion et en tout lieu.»

Le même quotidien décrit la joie de la population, reflétée par la distribution de bonbons, les tirs de coups en l’air et les youyous des femmes apprenant la nouvelle de la chute du dictateur «spécialiste des jeux de guerre, des meurtres collectifs, de la destruction et de l’élévation du nombre d’orphelins et de veuves sur cette terre blessée, que le temps est venu de soigner, et qui peut aujourd’hui dire adieu à la république de la peur.» [2]

Un deuxième éditorial d’Al-Sabah, écrit par Saad Hadi et intitulé «Une fin qui sied aux criminels», commente : «Voilà comment la bête est finalement apparue, sous son vrai jour occulté pendant 35 ans: comme un être mentalement dérangé, faible, un menteur qui ne connaît que l’art de la tromperie et de la trahison.

Voilà comment le ‘Prince des ténèbres’ a été cueilli dans son trou, sans opposer de résistance. Si quelqu’un d’autre s’était trouvé à sa place, il aurait mérité de la compassion, mais un criminel de cette envergure ne mérite qu’un long moment de silence en commémoration de ses crimes et de sa cruauté, de ce qu’il a laissé derrière lui, dans la douleur et l’agonie du cœur des Irakiens.» [3]

Abd El-Bassit Al-Naqqash, directeur du quotidien Al-Ahd Al-Djadid, publie pour sa part un éditorial intitulé: «l’Editorial béni»:

«Le grand jour du despote (…) On a dit, sans jamais en douter, qu’il approchait. Il n’existe pas d’échappatoire au Jugement des méchants par Allah. La justice s’est emparée de la sangsue, du despote qui a humilié son peuple et sa famille! On nous a appris hier, à Karbala [la sainte ville chiite] en plus (…) la capture de Saddam Hussein. Des coups de feu se sont mis à retentir pour annoncer une liesse dépassant l’allégresse de l’Aïd [festivité religieuse musulmane], dépassant celle de la destitution du régime, le 9 avril (…) Toute la population a manifesté contre le terrorisme de Saddam Hussein, et l’on a entendu les cris des honnêtes gens en Irak et partout ailleurs dans le monde appeler à la liberté des patients Irakiens, du peuple du bien, du peuple de l’histoire, du peuple de la connaissance qui a éclairé le monde (…) C’est le grand Irak et son peuple, les Arabes et les Kurdes, les Turkmènes et autres minorités, ainsi que toutes les religions monothéistes, opposés à l’incroyance, à l’oppression et au despotisme incarnés par Saddam Hussein. C’est le matin le plus clair, le plus radieux de mon pays, la Mésopotamie. Réjouissez-vous, ô mes frères, réjouissez-vous, ô mes frères, car ceci est une merveilleuse nouvelle pour l’Irak.» [4]

Dans le quotidien Al-Nahdha, Jalal Al-Masheta écrit, sous le titre «Qu’y a-t-il après l’aube rouge?», que «l’hyène, qui a toujours fait semblant d’être un paon, a finalement été prise au piège. Saddam Hussein, qui a inscrit son nom sur les pierres de Babylone et transformé ses statues en nouvelles idoles, convoitant l’Irak comme s’il s’agissait d’un bien personnel, tout en repoussant parfois les gens de son peuple de l’autre côté de la frontière, ou les poussant d’autres fois dans les charniers ou sous le feu de la guerre, [Saddam Hussein] est tombé.

L’hyène qui aspirait aux ailes du paon et au courage du lion (…) Le paon a replié sa queue et le lion a ouvert la bouche pour que l’on puisse compter ce qui lui restait de canines (…) Ainsi s’est terminée la légende (…)» [5]

Le quotidien Bagdad, associé auMouvement de réconciliation nationale en Irak, publie dans un éditorial: «Ce fut l’un des grands moments de l’histoire. Saddam Hussein est tombé dans la cage de la justice. L’événement a été fêté par des tirs et des pleurs, et les cris de milliers de victimes (…) Une barbe épaisse, des cheveux que n’ont pas effleuré la paire de ciseaux de son coiffeur personnel depuis la nuit de sa fuite, et deux yeux effrayés, comme s’il se remémorait les jours et les nuits de vantardise et de fanfaronnades. Vous êtes-vous souvenus, Monsieur le président, du jour où vous avez allumé votre énorme cigare Havane? En brûlant ce cigare cubain, vous répandiez la fumée et les illusions sur ceux qui vous entouraient, ceux qui portaient les rubans et les médailles de la peur et de la tromperie. Le [prix de ce cigare] aurait suffi à nourrir une famille entière pendant un mois.» [6]

«Paix, tolérance et réconciliation nationale» est le titre d’un éditorial du quotidien Al-Taakhi, associé au Parti démocratique kurde de Jalal Talabani. On peut y lire: «Il est temps de contrôler ses émotions et de revenir à la tranquillité, à la logique et à la réflexion. Le sort du régime despotique qui portait atteinte au présent et à l’avenir du peuple a été scellé. Ce que l’on attendait est arrivé avec l’arrestation du président déchu, lequel aura droit à un procès public. Paul Bremer a trouvé l’aiguille dans la meule de foin. Le régime de Saddam est tombé en avril dernier et les mois qui ont suivi ont été chargés d’attentats, de destruction, d’assassinats (…) [commis par des groupes] se réclamant de Saddam. Sa capture prouvera la force de l’impact de son arrestation et entraînera une réduction des activités terroristes (…) La capture du despote affaiblira le front [d’opposition au Conseil gouvernemental] et renforcera le Conseil gouvernemental et tous les partisans de la nouvelle ère. Elle bénéficiera au gouvernement du président américain, et plus particulièrement à sa campagne présidentielle, ainsi qu’au Premier ministre britannique Tony Blair et aux autres alliés.» [7]

Nouvelles complémentaires dans la presse irakienne

La presse irakienne apporte des nouvelles complémentaires de celle de la capture de Saddam:

Al-Jazira a tenté de tuer la joie des Irakiens

Selon le quotidien irakien Al-Ahd Al-Jadid, «la chaîne Al-Jazira se serait efforcée de gâter la joie des Irakiens en diffusant des rencontres avec les clairons et les bénéficiaires de Saddam et de son gang. Elle a également essayé d’inciter [à la violence] en rapportant les attentats de la résistance consécutifs à l’arrestation de la tête de la pyramide, oubliant que Saddam était la tête d’une épée qui s’est rendue tranquillement.» [8]

Le musée des cadeaux de Saddam sera le lieu du tribunal qui le jugera

Un porte-parole du Conseil gouvernemental irakien a annoncé que le tribunal mis en place pour juger ceux qui ont commis des crimes contre l’humanité s’établirait au musée des cadeaux de Saddam. La salle utilisée, qui sert d’entrepôt aux présents de Saddam, est si haute que les Irakiens l’appellent «la tour de l’horloge’.» [9]

Deuxième partie: la presse arabe

Réactions de la presse arabe éditée à Londres

Al-Hayat: «Il n’a pas résisté»

Al-Hayat, quotidien édité en arabe à Londres, titre, dans son numéro du 15 décembre: «Il n’a pas résisté, il n’a pas de regrets». Le numéro comprend plusieurs articles sur la capture de Saddam.

Ghassan Charbal , directeur adjoint du journal, pose la question: «Oùest donc le pistolet qui, raconte-t-on, faisait office de vieux camarade, de dernier ami? Où est la dernière balle qu’il disait conserver pour lui-même, afin que ses ennemis ne puissent le voir en captivité? (…) L’histoire aurait été autre si son doigt s’était approché de la détente, s’il avait placé l’arme sur sa tempe, et si les Américains avaient obtenu un cadavre plutôt qu’un prisonnier.

(…) La légende dépasse toujours l’homme et devient [ici] une histoire sans balle. Un cadavre n’aurait pas été pardonné pour ses actions, mais [sa découverte] aurait fait dire qu’il a payé (…) Le maître de ces balles s’est montré parcimonieux quand il s’est agi de se placer une balle dans la tête, alors que sa générosité était grande quand il s’agissait d’en placer dans celles des autres (…)» [10]

Al-Sharq Al-Awsat: l’arrestation de Saddam est une insulte à l’honneur des Arabes

Abd El-Rahman Al-Rachid , directeur du quotidien londonien Al-Sharq Al-Awsat, écrit: «(…) La nuit de l’arrestation de Saddam représente une nuite de défaite de plus pour la propagande arabe, laquelle s’est habituée à propager des illusions sans aucun fondement, certaine que personne ne découvrira jamais la vérité (…) L’apparition [de Saddam Hussein] a provoqué la colère de tous ceux qui s’étaient laissé bercer d’illusions: il ne portait pas de ceinture d’explosifs, ni de mitraillette, et ne s’était pas non plus suicidé en absorbant du cyanure. Tout ce qu’il avait en sa possession, c’était un téléphone et une poignée de dollars grâce auxquels il régnait, de sa petite fosse, sur ce qui restait de l’Irak, comme il avait régné auparavant de son luxueux palais de Bagdad: avec une main ordonnant les assassinantes et l’autre achetant la loyauté. Sa fin est celle de ces faux héros remplissant les pages de l’histoire. Parce que nous savons que quand un mensonge n’atteint pas sa cible, un autre mensonge naît, nous nous attendons à un nouveau chapitre de fraude.» [11]

La presse égyptienne

Ibrahim Nafie , directeur du quotidien gouvernemental Al-Ahram, adopte une approchedifférente : «La vision de l’ancien président Saddam Hussein au moment de son arrestation (…) est douloureuse et choquante. Aucun Arabe ne pouvait souhaiter une chose pareille au président de l’Irak, l’un des plus grands pays arabes (…) De nombreux Irakiens souhaitaient mettre fin eux-mêmes à son règne, mais Saddam avait rejeté tous les appels adressés par les forces arabes, (notamment par l’Egypte) dans le but de prévenir le danger encouru par l’Irak et les Arabes. Il est entré, mal préparé, dans un conflit l’opposant aux forces internationales qui cherchent à gouverner le monde (…) Il doit à présent être jugé par un tribunal irakien, et non américain.

Au bout du compte, c’est un président arabe, et ses crimes et erreurs, du début à la fin, ont été commis contre le peuple irakien et son voisin le Koweït.» [12]

Selon l’éditorial d’Al-Ahram, la résistance se poursuivra et les chiites la rejoindront. [13]

La presse saoudienne

Abdallah Nasser Al-Fawzan écrit dans le quotidien saoudien Al-Watan: « (…) Très sérieusement, je ressens un fort désir de rédiger un long, chaleureux éloge en l’honneur des deux fils de Saddam, Ouday et Qousay, qui ont rejoint les nombreuses victimes de leur père, le faux ‘chevalier parmi les chevaliers’, lequel a réussi à tous les tromper. Parce qu’ils pensaient (…) que leur père ne se rendrait à aucun prix aux Américains, qu’il serait honteux et humiliant pour eux de se rendre, ils ont résisté aux Américains jusqu’à la mort (…)

Nous avons tous vu ces images (…) Saddam était misérable, et moi, en tant qu’Arabe, je me suis senti humilié. Mais mes autres sentiments contre Saddam l’ont emporté. C’était un chevalier de papier. » [14]

Le chroniqueur Suleiman Al-Aqili écrit dans Al-Watan: « (…) Voilà une occasion en or d’insuffler du réalisme dans la politique arabe et de fermer la porte à toutes les aventures militaires et à tous les slogans politiques qui attisent les sentiments des masses sans que quiconque ne pense aux conséquences (…) Tous sont appelés à considérer de près les déclarations des politiciens opportunistes avant de leur accorder leur confiance, surtout au vu de la façon dont ils affrontent l’ennemi, quand les gens simples sacrifient leurs âmes pour repousser l’envahisseur (…)» [15]

La presse jordanienne

George Hadad écrit dans le quotidien jordanien Al-Dustour: «La théorie qui dit:’Tuez le berger et le troupeau s’éparpillera ‘, théorie dans laquelle les tyrans et les bandits ont toujours cru, ainsi que les voleurs de moutons et les loups, est une théorie dont l’histoire a prouvé la fausseté (…) L’Irak est occupé par les mafias internationales, les bellicistes, les gangs à pétrole; le sionisme mondial, tous les médias et toutes [les chaînes] de désinformation du monde, à commencer par les chaînes satellites arabes pétrolières, ne pourront changer les faits et présenter l’invasion et l’agression comme une libération. L’Irak est l’Irak; il l’était avant Saddam Hussein et le restera après lui (…) L’arrestation du président Hussein bénéficiera peut-être au président américain dans ses apparitions télévisées et ses feux d’artifice médiatiques, mais en fin de compte telle sera la plus grande leçon que les Irakiens auront enseignée au monde. Qui vivra verra! [16]

Battr Mohammed Ali Wardam écrit: «Lors de la prochaine étape, la véritable résistance irakienne se lèvera, et sous sa bannière se réuniront tous les Irakiens qui ont hésité à la rejoindre en raison de la propagande qui laissait croire c’était une résistance baasiste pro-Saddam (…)» [17]

La presse palestinienne

Dans un éditorial, le quotidien palestinien Al-Qods publie: «(…) L’événement reflète la fragilité des régimes arabes, desquels de larges secteurs de la population se sont détachés. La vision [de l’arrestation] de Saddam Hussein (…) demeurera parmi les visions douloureuses de l’histoire, vision qui atteste de l’humiliation et de l’atrophie où la nation arabe est tombée en conséquence des désaccords, des luttes [internes] et de la poursuite d’intérêts [privés] (…)

Le plus triste et le plus honteux est que la destitution du régime et l’arrestation de Saddam Hussein sont le fait des forces de l’occupation. Si l’opération avait été exécutée par des Irakiens, elle n’aurait pas provoqué un tel émoi. Tous les futurs [actes de] résistance en Irak seront une réaction naturelle à la profanation de la souveraineté irakienne (…)» [18]

L’émergence de théories de complot

Si la plupart des journaux ont rapporté en détails la capture de Saddam, des «théoriesde complot» ont aussi vu le jour. Abd El-Bari Atwan, directeur du quotidien Al-Qods Al-Arabi, loyal à Saddam Hussein, écrit que l’arrestation de ce dernier «sans aucune résistance, caché sans un sale petit trou, était vraisemblablement une opération théâtrale bien tissée.» [19]

Dans un éditorial, le quotidien saoudien Al-Riyad suggère qu’un complot est en marche: «(…) On peut penser que Saddam était aux mains des Américains et que son apparition publique était un spectacle destiné à neutraliser une situation explosive, et à apaiser la pression psychologique et militaire, en donnant un nouvel élan au président américain au moment même où il en avait le plus besoin (…)» [20]

Le quotidien saoudien Okaz imagine que la seconde femme de Saddam, Samira Al-Shahbandar, qui réside au Liban sous une fausse identité avec le seul fils encore vivant de Saddam, Ali, a peut-être fourni l’information ayant conduit à l’arrestation de son mari. «Il est possible», dit le journal, que «contre la tête de son mari, elle reçoive la récompense de 25 millions», offerte par les Etats-Unis pour une information menant à l’arrestation ou à l’exécution de Saddam.» [21]

Ce qui pourrait accréditer cette théorie est une interview de Samira Al-Shahbandar, fortuitement parue dans le Sunday Times du 14 décembre, et résumée dans Al-Sharq Al-Awsat, journal édité en arabe à Londres. Al-Shahbandar révèle que Saddam était en contact téléphonique avec elle environ une fois par semaine. C’est l’information qui a conduit Okaz à penser que ce sont ces appels téléphoniques qui ont dirigé les Américains jusqu’à Saddam. [22]

Le quotidien irakien Al-Zaman cite un Palestinien de Cisjordanie convaincu que Saddam anticipait son arrestation, en raison d’un accord conclu avec les Américains par des intermédiaires. [23] Une personne interviewée à Tikrit, ville de Saddam, s’est dit pour sa part convaincue que Saddam avait été «drogué» avant son arrestation, car «c’est un lion qui demeurera un lion.» [24]


[1] Al-Zaman (Irak), le 15 décembre 2003.

[2] Al-Sabah (Bagdad), le 15 décembre 2003.

[3] Al-Sabah (Bagdad), le 15 décembre 2003.

[4] Al-‘Ahd Al-Jadid (Bagdad), le 15 décembre 2003.

[5] Al-Nahdha (Bagdad), le 15 décembre 2003.

[6] Bagdad , le 15 décembre 2003.

[7] Al-Taakhi (Bagdad), le 15 décembre 2003.

[8] Al-Ahd Al-Jadid (Bagdad), le 15 décembre 2003.

[9] Al-Rassed Al-Iraqi (Irak), le 15 décembre 2003.

[10] Al-Hayat (Londres), le 15 décembre 2003.

[11] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), le 15 décembre 2003.

[12] Al-Ahram (Egypte), le 15 décembre 2003.

[13] Al-Ahram (Egypte), le 15 décembre 2003.

[14] Al-Watan (Arabie Saoudite), le 15 décembre 2003.

[15] Al-Watan (Arabie Saoudite), le 15 décembre 2003.

[16] Al-Dustour (Jordanie), le 15 décembre 2003.

[17] Al-Dustour (Jordanie), le 15 décembre 2003.

[18] Al-Qods (Autorité palestinienne), le 15 décembre 2003.

[19] Al-Qods Al-Arabi (Londres), le 15 décembre 2003.

[20] Al-Riyadh (Arabie Saoudite), le 15 décembre 2003.

[21] Okaz (Arabie Saoudite), le 15 décembre 2003.

[22] L’interview de Shahbandar a paru dans Al-Sharq Al-Awsat (Londres), le 15 décembre 2003.

[23] Al-Zaman (Irak), le 15 décembre 2003.

[24] Al-Jazira , le 15 décembre 2003.

Post navigation

Previous PostUn journaliste somalien musulman dénonce les effets du wahhabisme sur son paysNext PostAl-Shatat : une production syrienne en l’honneur du Ramadan

Dépêches à la une

  • Le présentateur algérien Zaki Alilat : la France est notre ennemie ; nous devons couper le cordon ombilical – Le sociologue Ahmed Rouadjia répond qu’il aime la France
  • Sermon du vendredi à la mosquée Al-Aqsa : le président français Macron n’a pas présenté ses excuses pour son affront à l’islam – hommage aux musulmans qui ont boycotté les produits français
  • L’ancien ministre des Affaires étrangères Farès Bouez : l’équipe de Biden est dominée par les Juifs – Benjamin Franklin avait mis en garde les Américains contre les Juifs qui dévoreraient leurs enfants
  • Le ministre iranien des Affaires étrangères Javad Zarif réagit à la révélation par MEMRI de son usage du terme “youpin” en persan : “MEMRI est tombé encore plus bas…”
  • Dans une école islamique d’Islamabad, une enseignante décapite l’effigie du président Emmanuel Macron devant ses élèves
  • En 2012, MEMRI alertait l’opinion au sujet d’Abdelhakim Sefrioui et du Collectif du cheikh Yassine
Plus de Dépêches à la une→

Dernières publications

  • Iran : pressions pour la levée des sanctions par les Etats-Unis et la reconnaissance de son statut nucléaire
  • Le présentateur algérien Zaki Alilat : la France est notre ennemie ; nous devons couper le cordon ombilical – Le sociologue Ahmed Rouadjia répond qu’il aime la France
  • Jibrail Rajoub, du Fatah : maintenant que cet âne de Trump est parti, Netanyahu ne peut plus diriger le monde – Nous assistons à un deuxième Holocauste en Palestine.
  • Le professeur de théologie Asaad Al-Sahmarani: le projet de Maison abrahamique d’Abou Dabi est une forme de guerre douce – il ne peut y avoir de dialogue interreligieux avec les Juifs, qualifiés de singes, porcs et vipères dans les Écritures
  • L’ayatollah Mohammad Saidi dans un sermon du vendredi à Qom : si juifs et chrétiens ne se soumettent pas aux ordres divins, les musulmans devront les combattre et les forcer à payer l’impôt de la Jizya

Informations

  • Qui sommes-nous ?
  • Mentions légales
  • Contact

Rubriques

  • Regards de la semaine
  • Projets
  • Régions
  • Archives

Visitez aussi

  • MEMRI en anglais
  • Memri TV
  • The Memri Blog
  • Jihad and Terrorism Threat Monitor (JTTM)
  • Observatoire de l’antisémitisme
  • Démocratisation de la région MENA
  • Observatoire de l’Asie du Sud

Nous suivre

  • Facebook
  • Twitter
Copyright © | 2001 - 2014 | Middle East Media Research Institute