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24 novembre 2003
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Débat dans la presse saoudienne : Faut-il ou non dialoguer avec les membres d’Al-Qaïda ?

Les médias d’Arabie Saoudite ont dernièrement émis de vives critiques à l’encontre de trois cheikhs saoudiens, Muhsin Al-Awaji, Safar Al-Hawali et Suleiman A l-Dawish, pour avoir appelé au dialogue entre le régime saoudien et les groupes armés responsables des derniers attentats terroristes dans le pays. Ces trois cheikhs sont affiliés aux «réformistes» extrémistes religieux qui exigent que l’Arabie Saoudite rompe les liens avec les Etats-Unis et applique la loi de la Charia qui, estiment-ils, n’est pas parfaitement appliquée dans leur pays. Dans une déclaration publiée par l’ambassade d’Arabie Saoudite à Washington le 13 novembre 2003, le Royaume a «catégoriquement démenti les rapports de médias» d’après lesquels le prince héritier Abdullah aurait envisagé d’ouvrir le dialogue avec des terroristes. Cette déclaration établit qu’ «il n’y a pas eu d’incident au cours duquel un groupe [de savants de l’islam] aurait fait au prince héritier une telle proposition [de dialogue].» [1] Voici quelques extraits d’articles de la presse saoudienne rapportant les appels des cheikhs au dialogue:

L’Initiative de dialogue

Trois jours avant l’attentat de Riyad, le cheikh Al-Awaji, le cheikh Al-Hawali et le cheikh Al-Dawish ont appelé au dialogue entre le régime et le mouvement de la Jeunesse du djihad. Dans une interview d’Al-Jazira, le cheikh Al-Awaji a déclaré que c’était le régime saoudien qui avait baissé le prix des billets d’avion pour l’Afghanistan et encouragé les prédicateurs à exhorter les jeunes à s’y rendre pour y mener le djihad. Toutefois, selon Al-Awaji, quand ces mêmes jeunes gens sont revenus en Arabie Saoudite, ils y ont été persécutés. Le cheikh Al-Awaji a affirmé que cette persécution était injustifiée car ni l’injonction de djihad ni les infidèles n’avaient changé [entre temps]. Il a appelé le gouvernement à pardonner aux Jeunes du djihad et à leurs cheikhs incarcérés, précisant que 90% des hommes recherchés par le régime seraient prêts à se rendre s’ils étaient assurés que leur honneur serait préservé et qu’ils bénéficieraient d’un procès équitable.

Le cheikh Al-Hawili a proposé aux Jeunes du djihad de l’appeler au téléphone ou de venir chez lui pour se rendre: «Si l’un d’entre eux se rend par mon intermédiaire, il peut compter sur moi pour le défendre de mon mieux (…) Tous connaissent mon numéro de téléphone, mon adresse et le chemin jusque chez moi (…) Si l’un d’entre eux me parle, je contacterai immédiatement les autorités pour leur dire qu’il m’a parlé et qu’il devrait être en droit de venir à moi (…)»

Al-Hawali a posé une série de conditions au régime: l’amnistie générale pour tous les prisonniers et tous ceux qui se rendraient; la poursuite en justice des enquêteurs ayant déshonoré, torturé ou insulté des prisonniers; la réintégration de tous les imams limogés par le régime; l’abolition de toutes les lois instituées par l’homme au profit de la loi de la Charia; la modification du système judiciaire; l’annulation des accords et des contrats non conformes à la Charia; l’abolition du vice qui représente une provocation pour les imams; l’interdiction d’ouvrages comprenant [des propos] hérétiques et tournant en dérision la religion, et l’adoption de mesures similaires à l’encontre des médias.

Il a également exigé que le pays résiste aux pressions extérieures, «vu que de nombreux jeunes gens assimilent [le fait de céder à] ces pressions à un soutien [accordé aux infidèles] et à de l’hypocrisie. Je ne connais aucun gouvernement au monde qui accepterait qu’un gouvernement plus puissant lui impose sa volonté (…) Il faut résister à ces pressions, conçues pour altérer notre foi, notre religion et créer la discorde parmi nous.»

Le cheikh Al-Hawili a également demandé à ce que le gouvernement revienne sur «ses mauvaises décisions prises récemment, comme celles d’intégrer [les filles au système] éducatif [général], de changer le programme d’études, d’omettre des sujets relatifs à la foi et d’imposer l’école obligatoire.

Le cheikh Suleiman Al-Dawish, également sur Al-Jazira, a exigé «que l’on réexamine les mesures contre la violence dans le pays. A mon avis, l’adoption d’une attitude militaire face à des jeunes gens [religieux] fait plus de mal que de bien, vu que les militaires préfèrent habituellement le langage de la force au dialogue. La violence qui émane de l’idéologie nécessite le dialogue, non la répression.» [2]

L’Initiative a-t-elle reçu le feu vert?

Suite aux derniers attentats meurtriers à Riyad, le ministre saoudien de l’Intérieur, le prince Saoud Nayef Abd El-Aziz, a décrété qu’il n’y aurait pas de dialogue avec les terroristes: «Nous ne leur parlerons qu’avec le fusil et l’épée.» [3] Mais ensuite, les trois cheikhs ont fait une nouvelle apparition dans les médias, appelant de nouveau au dialogue. Le cheikh Al-Hawali a déclaré qu’il était prévu que 40 dignitaires religieux rencontrent le prince héritier Abdallah pour débattre d’une initiative ayant pour objectif d’«éviter une effusion de sang en instaurant le dialogue entre le gouvernement et les hommes armés recherchés, après avoir persuadé ces derniers de se rendre aux autorités indiquées et d’éviter toute violence.» [4]

Les deux partenaires d’Al-Hawali, Al-Dawish et Al-Awaji, ont affirmé qu’ils avaient rencontré un «responsable saoudien» le jour suivant les attentats et que ce dernier leur avait donné «le feu vert» pour «rencontrer les jeunes gens [recherchés] et rapporter leur point de vue au gouvernement saoudien, en leur assurant que leurs exigences seraient considérées sous un jour positif, afin d’éviter toute effusion de sang.» Le cheikh Al-Awaji a même exprimé sa satisfaction quant à «l’attitude positive du régime saoudien face à l’initiative.» [5]

Une source gouvernementale s’est toutefois empressée de démentir que le prince héritier Abdallah ait pu rencontrer ces personnes. L’Agence d’information saoudienne a été informée que «cette histoire n’a aucun fondement; il n’existe aucune intention d’ouvrir quelque dialogue que ce soit avec les terroristes.»La source précise: «La position claire et constante de ce pays, telle qu’elle a été réaffirmée plusieurs fois par le prince héritier, est que la terreur doit être combattue dans le but de la déraciner une bonne fois pour toutes.» La source ajoute que«les hommes recherchés devraient être pris de remords à l’idée de leurs crimes abominables et se rendre immédiatement et inconditionnellement aux autorités.» [6]

Al-Qaïda: qu’y a-t-il à négocier? Nous appelons la nation à porter atteinte aux Américains où qu’ils se trouvent

«La voix du djihad», magazine bi-mensuel en ligne affilié à Al-Qaïda , a repoussé l’initiative de réconciliation. Son quatrième numéro comporte un éditorial du Saoudien Suleiman Al-Dosari, lequel écrit que «(…) le djihad continuera jusqu’au Jour du Jugement, ainsi que l’a établi le seigneur de l’espèce humaine et l’imam des moudjahidin [le prophète Mahomet] (…) Ceux qui savent que tel est l’objectif suprême du djihad ne peuvent croire que certains essaient d’empêcher d’autres de se battre (…), leur disant: ‘Joignez-vous à nous’, tout en ne se battant eux-mêmes que peu. [7] Les Moudjahidin pas plus que les autres ne sont habilités à faire des principes de base et des régulations religieuses un sujet de débat et de négociation (…) Celui qui accepte la Charia, capitule devant Allah, impose Sa loi, abolit les lois humaines, se débarrasse des ennemis d’Allah et refuse de les appuyer, est notre frèreet nous suivons le même chemin que lui. Qu’y a-t-il à négocier dans ce cas?

Mais nous n’avons rien à dire à ceux qui refusent la Loi d’Allah, souhaitant convertir leur religion à la religion de l’Amérique ou souhaitant croire à une partie de l’islam tout en en rejetant l’autre partie. Avec ceux qui veulent conquérir les pays musulmans, tuer leurs fils et déshonorer leurs femmes, le dialogue se fait par la bataille pour Allah jusqu’à ce qu’Allah ait raison de leur force et les brise (…) Nous appelons la nation à porter atteinte aux Américains où qu’ils se trouvent; tel est le langage du dialogue que l’ennemi comprend (…)» [8]

Les médias saoudiens: pas de dialogue avec des meurtriers

Tout de suite après l’intervention des trois cheikhs, les médias saoudiens ont émis des critiques caustiques de l’initiative de dialogue. Un éditorial du quotidien officiel Al-Watan affirme: «Il ne peut y avoir de dialogue avec quelqu’un qui a le doigt posé sur la gâchette.» Cet article est le seul qui envisage toutefois le dialogue sous certaines conditions: «Aucune partie ne doit se voir refuser le dialogue, quelque aveugle et extrémiste soit sa position, car un véritable dialogue n’intervient pas entre des personnes aux opinions similaires, mais différentes.» [9]

Abd El-Rahman Al-Lahem souligne dans Al-Watan que «les guides religieux qui se disent modérés se sont tus sur le sujet de la violence, de l’abolition des libertés du peuple, des mines que sont les idées extrémistes susceptibles d’exploser à n’importe quel moment (…)»

Ceux qui ont contribué à alimenter cette culture de violence présentent maintenant une initiative de dialogue

«Il est bien étrange que deux de ceux qui ont contribué à alimenter cette culture de violence [en référence à deux des cheikhs, qui avaient été soupçonnés de terrorisme et emprisonnés] (…) présentent maintenant une initiative [de dialogue] en commun accord avec ceux dont les mains sont tâchées de sang innocent, bien que ces mêmes héros initiateurs de négociations continuent de réclamer que l’on ferme la bouche aux gens et qu’on les prive de leurs libertés (…), comme s’ils étaient devenus les gardiens de la société, société dont on se demande quand elle atteindra sa majorité et se débarrassera de ses maudits gardiens.

Avec aplomb, et avant [même] l’extinction des incendies occasionnés par les attentats, avant l’enterrement des dépouilles, et alors que les blessés se trouvent encore sur leurs lits d’hôpital, un auguste négociateur [en référence au cheikh Al-Awaji] surgit devant nous (…) sur un forum Internet où ses amis se retrouvent, pour suggérer à ses frères de le soutenir dans son voyage sacré au pays des ombres, où il parlera avec ses amis de jadis de poser les armes autrefois brandies à la face de la société (…) Ces deux négociateurs respectés sont tout à fait conscients que le plan politique proposé par les groupes de la violence n’est autre que le plan taliban appliqué en Afghanistan, et qu’il consiste à bafouer les libertés, à refuser [l’exercice des] droits humains les plus élémentaires, à ignorer les principes culturels et à complètement isoler [l’Arabie Saoudite] dans le monde. Le fait que la situation religieuse actuelle soit extrémiste à plusieurs niveaux en Arabie Saoudite, et plus particulièrement dans le domaine [culturel], ne suffit pas aux adeptes de la violence qui demandent plus d’extrémisme – c’est à dire plus de violence (…) Cette initiative met la société devant un ultimatum: la talibanisation ou la violence.» [10]

Les terroristes ne comprennent pas le langage du dialogue – on devrait les éradiquer comme un cancer

Des chroniqueurs du quotidien Okaz, de tendance religieuse, se sont également opposés à l’initiative de réconciliation. Khaled Hamed Al-Suleiman écrit: « Le dialogue avec qui?! Comment le dialogue peut-il devenir la solution face à des extrémistes qui accusent les autres d’hérésie et dont le lexique est exempt du terme ‘dialogue’? Leur idéologie se base sur des leçons apprises par cœur: il y a toujours un côté qui apprend par cœur et écoute sans avoir le droit de discuter, tandis que l’autre côté endoctrine, s’étant alloué le droit de délivrer le message divin ainsi que le monopole de son interprétation (…) [Les terroristes] ne comprennent pas le langage du dialogue (…) La seule façon de traiter cette pourriture de l’esprit qui a pris possession d’eux est de s’en débarrasser totalement, comme d’un cancer.» [11]

Nous n’avons pas besoin de dialogue avec cette idéologie – Nous avons besoin de la déraciner de force

Dans un autre article sur le sujet, Al-Suleiman écrit: «L’expérience nous apprend que la force est le meilleur moyen d’endiguer la source d’où coule cette idéologie et de sauver les esprits influençables. Je ne pense pas que nous ayons aujourd’hui besoin de dialogue avec cette idéologie, mais bien de la déraciner de force, parce que tout dialogue avec [ses adeptes] serait un dialogue de sourds. Il s’agit d’une idéologie malade que seule la chirurgie peut soigner. Il est peut-être possible de dialoguer avec les esprits influencés par cette idéologie – mais uniquement après en avoir coupé les grosses têtes [les dirigeants] !» [12]

Dans un autre éditorial paru dans le quotidien officiel Al-Riyad, on peut lire: «(…) Tous deux étaient invités sur Al-Jazira, jouant prétendument le rôle de médiateurs auprès des terroristes, posant des conditions que seul un pays victorieux peut obliger un pays vaincu à accepter: l’annulation de tous les accords internationaux conclus avec des pays non-islamiques, l’adoption d’un l’enseignement purement religieux et la réintégration des imams et prédicateurs limogés – et tout cela dans le but de dialoguer avec des assassins. Voilà l’offre d’Al-Qaïda (…)

Certains pays ont autrefois négocié avec des terroristes, en Egypte, en Algérie, au Soudan, en Indonésie et ailleurs, ce qui a abouti à une plus grande effusion de sang (…). Nous n’avons entendu parler d’aucun pays démocratique disposé à conduire des négociations avec des criminels (…) Alors comment pourrions-nous accepter la demande [des cheikhs] d’appliquer la Charia envers ceux dont les crimes n’arrivent pas à la hauteur de ceux de ces terroristes (…) sans l’appliquer à ces terroristes eux-mêmes? La Charia ne devrait-elle pas être appliquée à la lettre dans leur cas?» [13]

Pas de dialogue avec les assassins, mais une main de fer!

Abordant également le sujet, Mohammed Ben Abd El-Latif Aal Al-Cheikh écrit, dans le quotidien saoudien Al-Jazira: «On ne peut demeurer neutre face au terrorisme, ni dialoguer avec des assassins. Tout ce qu’ils verront de nous sera une main de fer. Ce groupe de personnes dépourvues de cervelle, malades, haineuses et mentalement dérangées ne nous fera pas modifier d’un pouce notre façon de les traiter (…) Ceux qui baissent les bras, les opportunistes, et ceux qui tirent profit de telles crises, lesquels sont tous pour l’initiative du ‘dialogue’ avec les terroristes, ne nous empêcheront pas de continuer à traiter cette tumeur maligne au scalpel plutôt qu’avec des conseils et des sermons. Nous avons une grande expérience de tels opportunistes, des gens qui baissent les bras, de ceux qui [esquivent] la confrontation. Quand Saddam a occupé le Koweït, ces mêmes personnes qui appellent aujourd’hui à [plus de] compréhension face aux Jeunes du djihad étaient [occupés] à énumérer les dangers d’une intervention des armées étrangères [en référence aux forces américaines]. Mais nous [qui avons soutenu l’intervention américaine] avons gagné, et le slogan ‘Non aux puissances étrangères’ a été jeté à la poubelle de l’histoire avec son allié Saddam, de sorte que le Royaume d’Abd El-Aziz [l’Arabie Saoudite] a pu garder la tête haute, atteignant presque les nuages, défiant fièrement tous ceux qui comptaient sur sa faiblesse et anticipaient sa chute.

La cinquième colonne s’était effondrée; nous pensions qu’elle avait connu sa fin. Certains de ses membres sont partis vivre en exil, regrettés de personne, tandis que les autres vivaient dans un état pitoyable en marge de la société [en Arabie Saoudite]. Mais le jour du déclenchement de la crise terroriste, la cinquième colonne était de retour; ses dirigeants scandent les mêmes slogans et forgent les mêmes excuses (…) Autrefois, leurs armes pour miner le pays étaient les cassettes [de cheikhs islamistes]; aujourd’hui, ils utilisent d’autres moyens et se branchent sur Internet. Tels des souris, ils ont également infiltré un petit nombre de chaînes satellite [au contenu] discutable, afin de [mieux] servir leurs propres intérêts (…)» [14]


[1] http://www.saudiembassy.net/press_release/press_release.html , le 13 novembre 2003.

[2] http://www.aljazeera.net/programs/no_limits/articles/2003/11/11-9-1.htm

[3] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), le 12 novembre 2003.

[4] Al-Hayat (Londres), le 13 novembre 2003.

[5] http://www.islam-online.net/Arabic/news/2003-11/09/article15.shtml

[6] Al-Hayat (Londres), le 14 novembre 2003.

[7] Le Coran 33:18.

[8] La Voix du djihad , novembre2003. http://www.oddworldz.com/sound900

[9] Al-Watan (Arabie Saoudite), le 13 novembre 2003.

[10] Al-Watan (Arabie Saoudite), le 13 novembre 2003.

[11] Okaz (Arabie Saoudite), le 14 novembre, 2003.

[12] Okaz (Arabie Saoudite), le 16 novembre 2003.

[13] Al-Riyad (Arabie Saoudite), le 15 novembre 2003.

[14] Al-Jazira (Arabie Saoudite), le 16 novembre 2003.

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