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30 juillet 2003
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Débat palestinien interne au sujet de la Hudna

En contradiction avec l’engagement de l’Autorité palestinienne (s’inscrivant dans la première étape de la feuille de route) à mener «des opérations soutenues, ciblés et efficaces contre toutes les personnes impliquées dans le terrorisme et pour démanteler les infrastructures terroristes», [1] le Premier ministre de l’Autorité palestinienne, M. Mahmoud Abbas (Abou Mazen), a opté pour le dialogue avec les factions islamiques afin de parvenir à un accord, une Hudna, qui mettrait provisoirement fin aux opérations contre Israël. [2]

Les pourparlers de Hudna, en partie hébergés par l’Egypte – qui a également servi de médiateur, ont débuté il y a plusieurs mois, avant même la nomination d’Abou Mazen comme Premier ministre de l’Autorité palestinienne, le 30 avril 2003, et avant l’officialisation de la feuille de route, le 1er mai 2003. Ils avaient été interrompus suite à des désaccords entre les participants. Avec la nomination d’Abou Mazen et après que la feuille de route eut été rendue publique, les pourparlers ont repris et se sont accélérés.

La reprise des négociations entre factions palestiniennes est intervenue à plusieurs niveaux: Abou Mazen s’est entretenu avec les représentants des factions islamiques à Gaza; Marwan Barghouti, chef du Fatah pour la rive Ouest, et ses émissaires, les représentants du Fatah Qaddoura Fares et Ahmed Ghuneim, [3] ont discuté avec les chefs des factions islamiques à Damas; des négociations ont aussi eu lieu dans les prisons israéliennes entre les membres incarcérés de différentes organisations palestiniennes. [4]

Bien que ces pourparlers se soient terminés par le consentement des participants à mettre fin aux attaques contre Israël, il n’y a pas eu de déclaration commune. En revanche, trois déclarations distinctes ont été prononcées, la première par le Hamas et le Djihad islamique, [5] la deuxième par le Fatah [6] et la troisième par l’OLP. [7] Les responsables du Fatah ont admis que l’absence de déclaration commune était due à l’existence de désaccords au sein du parti.

1 – Désaccords entre factions

Les individus et organisations impliqués dans les pourparlers de Hudna ne se sont pas entendus sur les trois points suivants: le fait de mentionner la feuille de route dans l’introduction de la déclaration, la durée de la Hudna et ses conditions.

A – La feuille de route

La déclaration de Hudna élaborée au cours de discussions entre les émissaires de Barghouti [Qaddoura Fares et Ahmed Ghuneim] et les chefs du Hamas et du Djihad islamique en Syrie ne mentionne à aucun moment la feuille de route. La direction politique de l’OLP/l’Autorité palestinienne [Abou Mazen] souhait pourtant citer la feuille de route, mais les représentants du Hamas et du Djihad islamique s’y sont opposés. [8]

Des membres du Fatah témoignent: «[Certains responsables du Fatah]», dit Fares, «voulaient inclure à la Hudna ce qu’elle n’est pas censée comprendre: une prise de position politique, ce qui a contraint le Hamas et le Djihad islamique à faire des déclarations séparées.» [9] Hatem Abd El-Qadr, membre du Conseil législatif palestinien et responsable du Fatah, émet un avis similaire dans un forum du site www.islamonline.net: «Quand la proposition [élaborée à Damas] a été soumise à la direction palestinienne et au Fatah, ils ont essayé d’y introduire des changements fondamentaux, (…) un contenu politique et des éléments qui ne pouvaient y être ajoutés (…)» [10]

D’autres témoignages de responsables d’organisations islamiques établissent aussi que c’est un désaccord au sein du Fatah – concernant l’introduction d’un contenu politique à la déclaration – qui a empêché une déclaration commune. Dans une interview du quotidien libanais Al-Safir, le secrétaire général du Djihad islamique, Ramadhan Abdallah Shalah, déclare: «Le Fatah est revenu sur l’accord conclu avec nous, en cherchant à y introduire un contenu politique que le Hamas et le Djihad islamique ne pouvaient accepter, de crainte que l’initiative [de Hudna] ne devienne une partie de la feuille de route.» [11]

B – La durée de la Hudna

La version originale de la déclaration élaborée à Damas mentionnait une durée de trois mois. La direction politique de l’Autorité palestinienne a opté pour une durée de six mois. [12]

C – Les conditions de la Hudna

Les factions islamiques ont demandé à ce que l’application de la Hudna soit conditionnée par un engagement israélien à répondre à un ensemble d’exigences palestiniennes; la direction de l’Autorité palestinienne a refusé. [13] Dans une interview en ligne, Al-Qader note les divergences suivantes: «La version du Fatah et de l’OLP était contraire à l’accord conclu entre le Fatah [Marwan Barghouti et ses émissaires], le Hamas et le Djihad islamique: un accord pour une trêve [Hudna] conditionnelle de trois mois sans contenu politique (…)» [14] Shalah, Secrétaire général du Djihad islamique, confirme: «[Les responsables du Fatah] ne voulaient pas que la suspension des opérations [militaires] soit conditionnée par des engagements de l’ennemi.» [15]

2 – La déclaration publique de Hudna

En fin de compte, les désaccords entre factions palestiniennes ont conduit à des déclarations distinctes. Chaque partie a cru nécessaire de faire connaître sa propre conception de la Hudna. Le Hamas et le Djihad islamique se sont également efforcés de justifier leur acceptation de la Hudna, après avoir catégoriquement refusé de l’envisager. Même des organisations non impliquées aux pourparlers de Hudna ont tenu à donner leur avis.

Voici un résumé des principales divergences existant entre les différentes versions:

Le Hamas et le Djihad islamique ont évité de qualifier de «Hudna» l’engagement à interrompre les opérations militaires contre Israël. Tandis que l’OLP et le Fatah mentionnent un Etat palestinien dans les frontières de 1967, aucunemention de ce type n’est faite par le Hamas et le Djihad islamique (qui souhaitent la «libération» de toute la Palestine). Le Hamas et le Djihad islamique ont également omis de mentionner la feuille de route, ont limité à trois mois la durée de la trêve, et ont tenu à souligner que la résistance à l’occupation demeurait «une option stratégique.» Ils ont également exigé «la libération sans condition de tous les prisonniers arabes et palestiniens», mais n’ont pas demandé un retrait israélien sur ses positions de septembre 2000, ni n’ont fait appel à des observateurs internationaux.

Le terme «Hudna» est également absent de la déclaration du Comité exécutif de l’OLP qui a toutefois inclus des références au Quartette (Etats-Unis, Union européenne, Nations-Unies et Russie) et à la feuille de route. Le Comité exige la libération de tous les prisonniers ainsi qu’un retrait israélien sur ses positions de septembre 2000, appelant en outre à la présence d’observateurs internationaux.

Le Fatah a annoncé que l’accord était «une Hudna conforme à l’initiative égyptienne» sans en préciser la durée, et a introduit un contenu politique: le but de l’accord, déclare-t-il, est la création d’un Etat dans les frontières de 1967 avec Jérusalem pour capitale et l’application du droit de retour. Le Fatah exige «la libération de tous les prisonniers», le retrait israélien jusqu’aux positions de septembre 2000 et la présence d’observateurs étrangers.

Après la déclaration officielle, plusieurs autres organisations ont donné leur opinion:

Les Brigades des martyrs Al-Aqsa, branche armée du Fatah , ont annoncé leur acceptation du communiqué du Fatah. [16] Mais le jour suivant, le 1er juillet 2003, un communiqué affiché sur le site officiel des Brigades déclarait rejeter catégoriquement l’idée de Hudna. Ce communiqué donne plusieurs raisons à ce rejet, à commencer par «le fait que [la Hudna] ne soit pas reconnue par les sionistes.» [17] Ceci n’est que l’une des nombreuses déclarations de l’organisation niant tout engagement à respecter la Hudna. [18]

Le Front de libération arabe (FLA) publie un communiqué pour se démarquer de la déclaration de l’OLP (qui mentionne le FLA) car son contenu «contredit l’idéologie du FLA». [19]

Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a annoncé son refus de signer la Hudna, précisant toutefois qu’il ne l’enfreindrait pas. [20] Dans une interview du quotidien libanais Al-Safir, Ahmed Sadat, Secrétaire général du FPLP, explique que la Hudna ouvre la porte à des négociations politiques sur la base de la feuille de route, précisant que le FPLP s’oppose aux deux. [21]

Dans des avis publiés séparément, le Front démocratique de libération de la Palestine [22] et le Comité de résistance populaire [23] se sont tous deux déclarés favorables à la cessation des opérations contre Israël.

3 – Déclarations palestiniennes consécutives à la déclaration de Hudna

Peu de temps après avoir annoncé la cessation des opérations contre Israël, des chefs du Fatah et de l’OLP comme des organisations islamiques se sont tournés vers leurs partisans pour expliquer et justifier leurs positions:

A – OLP, Fatah et dirigeants de l’Autorité palestinienne

Dans une interview de Reuters, Abou Mazen déclare: «A partir de maintenant, tout parti, toute faction, toute personne qui violera [la Hudna] sera emprisonné (…) Nous ferons tout notre possible pour éviter la confrontation avec notre peuple. Parce qu’une confrontation pourrait conduire à une guerre civile et anéantir tous les espoirs de notre peuple.» [24]

Lors d’une réunion, le 22 juillet, avec Amr Moussa, Secrétaire général de la Ligue arabe, Abou Mazen tempère: «Il n’est pas question de sévir contre le Hamas, le Djihad islamique et [les autres] organisations palestiniennes. Nous appliquons la loi que nous avons acceptée sous la direction de l’Autorité palestinienne.» [25]

Mohammed Dahlane, ministre de l’Autorité palestinienne chargé de la sécurité , est cité en ces termes dans le quotidien palestinien indépendant Al-Qods: «La place de toute personne qui violera le cessez-le-feu annoncé par l’Autorité palestinienne sera le tribunal.» [26]

Suite aux attaques de mortier et de roquettes Qassem intervenues contre de petites villes israéliennes après la déclaration de Hudna, le Fatah a publié un communiqué condamnant toute tentative de violation de la Hudna, qualifiée de «déviation du consensus national.» Le mouvement a appelé ses membres à «lutter contre de tels actes, les dénoncer et dévoiler l’identité de leurs instigateurs.» Il a en outre appelé le gouvernement palestinien à «prendre ses responsabilités en arrêtant toute personne agissant de son propre chef contre les intérêts du peuple palestinien.» [27]

D’autres déclarations, moins tranchées, ont été prononcées au sujet de la confiscation d’armes détenues par les factions islamiques. M. Dahlane, ministre palestinien de la Sécurité, a répondu évasivement à la question de savoir si les armes aux mains des activistes du Hamas et du Djihad islamique seraient confisquées: «Je ne veux pas prédire les événements à venir. Les Palestiniens se comporteront de façon claire et respecteront leurs engagements.» [28]

Dhiab Al-Lauh, membre du Conseil révolutionnaire du Fatah , a abordé la question avec honnêteté dans une interview du quotidien de l’Autorité palestinienne, Al-Hayat Al-Jadida: «La feuille de route mentionne la nécessité de démanteler l’infrastructure des factions militaires et de confisquer leurs armes. Mais [les responsables] du bureau du Premier ministre [de l’Autorité palestinienne] ont dit qu’ils avaient informé les Américains et les Israéliens qu’ils ne pouvaient pas et ne souhaitaient pas remplir cette condition. [Ainsi], un plan alternatif a été proposé, que les Américains et les Israéliens se sont sentis obligés [d’accepter], et qui mentionne la restriction des opérations militaires ainsi qu’une déclaration de Hudna.» [29]

Dans une interview d’Al-Hayat Al-Jadida, le Colonel Rachid Abou Shbak, chef du service de sécurité préventive dans la bande de Gaza, affirme clairement que «la nouvelle du ramassage des armes par les services de sécurité est fausse.» (30)

Hatem Abd El-Qader, membre du Comité législatif palestinien et responsable du Fatah, est allé encore plus loin: dans un forum de www.islamonline.net, il explique: «Le but [de la Hudna] n’est pas de déposer les armes, mais de nous permettre de nous ressaisir pour [mieux] continuer le combat. Elle ne fait pas de mal; elle est le ‘repos du guerrier’ (…)» [30]

B – Le Hamas et les chefs des partis islamiques

Dans un effort de justification du revirement des factions islamiques, qui ont accepté la Hudna après l’avoir totalement rejetée, les chefs des factions ont expliqué que la Hudna représentait un moyen de préserver l’unité du peuple palestinien et n’était qu’une simple tactique. [31]

Dans une interview du quotidien libanais Al-Safir, Ramadhan Abdallah Shalah, secrétaire général du Djihad islamique, souligne: «Abou Mazen et son gouvernement nous ont assuré qu’ils ne prendraient par les mesures exigées par Sharon contre les factions de la résistance, c’est-à-dire le désarmement, les arrestations et d’autres mesures du même type.» [32] Shalah ajoute que «la stratégie du Djihad islamique est de poursuivre la résistance. La suspension des opérations n’est que tactique (…) Nous ne négocions pas avec l’ennemi, que nous ne reconnaissons pas. Mais pour préserver l’unité de notre peuple et [servir] notre intérêt national, nous devons (…) nous dégager du piège de la guerre civile que Sharon a tendu à notre unité nationale (…)» [33]

Dans sa chronique d’Al-Rissala, hebdomadaire du Hamas, le Dr Abd El-Aziz Al-Rantissi (qui avait déclaré, quelques jours après la tentative d’assassinat d’Israël, que le Hamas rejetait «tout appel à un cessez-le-feu sous l’occupation» et que «l’expression ‘cessez-le-feu’ n’existe pas dans notre dictionnaire») [34] écrit: «Ce qui motive notre décision de suspendre, sous condition, la résistance, est essentiellement le désir d’éviter les répercussions désastreuses de luttes palestiniennes internes, dont seul Allah connaît l’issue. Nous avons toujours été inflexibles en ce qui concerne l’unité du peuple (…)» [35]

Conclusion

La difficulté à mettre au point une déclaration de Hudna et les différentes interprétations dont celle-ci a fait l’objet révèlent le peu d’ascendant dont dispose l’Autorité palestinienne. Le rejet de l’autorité d’Abou Mazen par les factions islamiques ne fait que confirmer cet état de fait, aggravé par les divergences d’opinions entre OLP et Fatah. Les désaccords internes aux organisations sont également le reflet des efforts déployés par le président Yasser Arafat pour miner l’autorité d’Abou Mazen.

Toute l’affaire prouve une fois de plus le mal qu’a l’OLP, depuis des années, à s’imposer comme le seul représentant du peuple palestinien. *B. Tchernitzky est chargée de recherche àMEMRI


[1] une Feuille de route basée sur les faits pour une solution permanente de deux Etats au conflit israélo-palestinien

[2] L’accord d’Al-Hudaybiya entre le prophète Mahomet et la tribu quraychite de la Mecque a servi de précédent et de modèle à tous les accords de Hudna permis par l’islam. Il établit, selon les savants de l’islam, qu’un accord avec l’ennemi (qui doit toujours être provisoire) ne doit pas dépasser dix ans, vu que c’était là la durée de validité de l’accord d’Al-Hudaybiya.

[3] Qaddoura Fares est membre du Conseil législatif palestinien et membre influent du Fatah. Ahmed Ghuneim est membre du Haut comité du Fatah.

[4] Al-Hayat Al-Jadida (Autorité palestinienne), le 27 juin 2003; Al-Rissala (Autorité palestinienne), le 3 juillet 2003.

[5] http://www.palestine-info.info/arabic/hamas/statements/2003/29_6_03.htm

[6] www.alkrama.com/statment/statments6.htm

[7] Al-Qods (Autorité palestinienne), le 30 juin 2003.

[8] Al-Hayat Al-Jadida (Autorité palestinienne), le 27 juin 2003.

[9] Al-Hayat Al-Jadida (Autorité palestinienne), le 30 juin 2003.

[10] http://islamonline.net/livedialogue/arabic/Browse.asp?hGuestID=QAo7j4

[11] Al-Safir (Liban), le 2 juillet 2003; Muhammad Al-Hindi, autre haut responsable du Djihad islamique, a émis un avis similaire : «Les dernières heures, un certain nombre de responsables du Fatah sont intervenus pour introduire une prise de position purement politique au document. Nous, ainsi que le Hamas, avons annoncé notre refus commun d’inclure à la déclaration une prise de position politique ou toute expression qui retreindrait le droit des factions à s’opposer à l’occupation israélienne en cas d’infraction de la Hudna.»Al-Nahar (Liban), le 2 juillet 2002.

[12] http://islamonline.net/livedialogue/arabic/Browse.asp?hGuestID=QAo7j4

[13] http://islamonline.net/livedialogue/arabic/Browse.asp?hGuestID=QAo7j4

[14] http://islamonline.net/livedialogue/arabic/Browse.asp?hGuestID=QAo7j4

[15] Al-Safir, (Liban), le 2 juillet 2003.

[16] www.alkrama.com/arshif/7/news171.htm

[17] http://www.fateh.tv/01-07-2003.htm

[18] Zakaria Al-Zubeidi, commandant des Martyrs des Brigades d’Al-Aqsa, affirme que ce sont les Martyrs des Brigades d’Al-Aqsa à Gaza qui ont consenti à la Hudna, et non l’organisation dans son ensemble ; Al-Hayat Al-Jadida (Autorité palestinienne), le 5 juin 2003. Al-Zubeidi a aussi dit que les Brigades étaient déterminées à rester opposées à la Hudna. http://www.fateh.tv/01-07-2003-1.htm

[19] Al-Hayat Al-Jadida (Autorité palestinienne), le 30 juin 2003.

[20] Al-Hayat Al-Jadida (Autorité palestinienne), le 30 juin 2003.

[21] Al-Safir (Liban), le 1er juillet 2003.

[22] www.annaharonline.com/htd/ARAB030630.HTM

[23] Al-Ayyam (Autorité palestinienne), le 7 juillet 2003.

[24] http://www.palestinechronicle.com/article.php?story=20030703183311499

[25] Al-Ayyam (Autorité palestinienne), le 23 juillet 2003.

[26] Al-Qods (Autorité palestinienne), le 4 juillet 2003. Tiré d’une interview de la 1ère chaîne israélienne.

[27] http://www.mic-pal.info/fateh/160.htm

[28] Al-Qods (Autorité palestinienne), le 4 juillet 2003

[29] Al-Hayat Al-Jadida (Autorité palestinienne), le 7 juillet 2003.

[30] Al-Hayat Al-Jadida (Autorité palestinienne), le 13 juillet 2003.

[31] http://islamonline.net/livedialogue/arabic/Browse.asp?hGuestID=QAo7j4

[32] Al-Safir (Liban), le 2 juillet 2003. Shalah a tenu des propos identiques dans un autre entretien d’Al-Safir, daté du 9 juillet 2003, consécutif à l’attentat de Kfar Yabetz, en Israël, revendiqué par l’organisation.

[33] Al-Safir (Liban), le 2 juillet 2003. Dans une interview d’Al-Safir (ibid.) datée du 9 juillet 2003, Shalah déclare: « Nul ne peut s’attendre à ce que la cessation [des opérations militaires] se fasse unilatéralement (…) Cette opération est à placer dans le contexte de l’équation ‘violations contre violations.’»

[34] Website

[35] Al-Rissala (Autorité palestinienne), le 3 juillet 2003.

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