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25 juillet 2003
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Un diplomate arabe sur la crise du pouvoir dans le monde arabe

De mai à septembre 2002, Al-Sharq Al-Awsat, quotidien en arabe édité à Londres , publie une série d’articles d’un diplomate arabe écrivant sous le nom d’Abou Ahmed Mustafa, et traitant de la crise du pouvoir dans le monde arabe. Ces articles analysent les racines de la crise à la lumière d’événements historiques. Voici quelques extraits d’articles:

L’Intifada a fini par commettre un crime contre le peuple palestinien

Dans un article intitulé «Quand donc les Arabes tireront-ils la leçon de l’histoire, juste une fois?» [1] et publié au début de la troisième année de l’actuelle Intifada, Abou Mustafa écrit: «Les Arabes doivent s’efforcer, juste une fois, de comprendre la leçon qu’ils ont de nouveau ignorée (…) Tout d’abord, nous devons admettre que ceux qui ont jeté des enfants dans la deuxième ‘Intifada’ [2] n’avaient pas d’objectif politique précis susceptible d’améliorer la situation des Palestiniens.

A mon avis, l’Intifada a fini par commettre un crime contre le peuple palestinien (…) Je voudrais poser quelques questions qui me tracassent depuis les manifestations [de solidarité envers les Palestiniens] intervenues dans les rues des pays arabes rappelant celles qui ont inondé les rues dans le but de défendre l’honneur de la nation [arabe] personnifié, d’après les manifestants, par le camarade Saddam. Y a-t-il un seul pays arabe où ces manifestations ont été spontanées? J’ai entendu dire que les gouvernements [arabes] et les partis politiques avaient formé des comités pour les organiser et que dans certains pays arabes, certains responsables officiels se trouvaient en première ligne. Je pose la question: pourquoi ces responsables ne se hâtent-ils pas de protester contre l’état terrible (en fait l’absence!) de services de base dans leurs pays, pays dépourvus de services sanitaires, éducatifs et sociaux? Ces pays se trouvent en dessous du seuil de pauvreté – et au-delà [du seuil] de la honte. Or tous sont occupés par la Palestine et le slogan ‘nulle voix ne s’élève au-dessus de celle de la bataille (…)

Je pose une autre question: pourquoi ces responsables n’informent-ils pas leurs populations de la nécessité d’améliorer l’éducation, la santé et les services sociaux de leurs pays? Que serait-il arrivé si, depuis 1948, chaque Etat arabe s’était consacré à la construction du pays au lieu de faire du problème palestinien sa préoccupation majeure et sonperpétuel sujet d’inquiétude? N’aurait-ce pas été plus utile que de consacrer des fonds à équiper des armées dans le [seul] but d’assister aux parades militaires de temps en temps? Que serait-il arrivé si tous les pays arabes s’étaient consacrés à l’éducation de leurs citoyens et à l’amélioration de leur niveau de vie dans les domaines de la santé physique et mentale et de la culture? (…)

Je suis abasourdi par [l’attitude] de nos guides religieux, qui nous assourdissent d’appels au djihad contre Israël et qui se préoccupent de lutter et de rivaliser entre eux pour émettre des décrets [justifiant] le suicide, sans [jamais] inciter le peuple à conduire le djihad contre ses propres mauvais penchants [3] Ne serait-ce pourtant pas un grand service rendu à la nation (…), laquelle affronte actuellement une [nouvelle] catastrophe amenée par certains de ses oulémas [érudits]? Je pense évidemment aux savants religieux, non aux physiciens, médecins et ingénieurs. Ils insufflent la peur et l’horreur dans les cœurs, et il suffit que l’un d’entre eux vous accuse d’apostasie pour que vous vous retiriez dans un coin reculé, jetant des regards atterrés autour de vous, de peur qu’un fou vous attrape. N’y a-t-il pas dans la nation arabe une lueur d’espoir pour nous faire vivre?»

Les chefs d’Etats arabes ont négligé leurs sociétés pour se consacrer à la lutte contre Israël

Dans un article intitulé «Pourquoi sommes-nous en retard?» [4] , Mustafa écrit: «Dans un article que j’ai publié voilà un mois (…), je soulignais que la nation arabe, et plus précisément ses chefs d’Etats, avaient fait de la cause palestinienne leur préoccupation majeure. Ils ont choisi d’ignorer le fait que la victoire militaire sur l’ennemi ne peut être obtenue par les armes uniquement; il faut bénéficier d’une infrastructure scientifique, sociale et économique pour pouvoir supporter le poids d’une guerre (…)

J’ai été stupéfait du nombre de critiques que j’ai reçues, qui m’accusent de reprendre à mon compte la politique menée par les Etats-Unis en particulier et l’Occident en général pour faire cesser ‘les progrès arabes pour vaincre Israël’ et effacer ce dernier de la carte du Moyen-Orient, [lettres qui précisent] que des pensées aussi démoniaques ont pour but de détruire les espoirs et les rêves des Arabes, lesquels ‘se trouvent à portée de main’.

Il est très difficile d’avoir une discussion rationnelle avec des gens qui pensent ainsi, d’autant plus qu’ils émoustillent les sentiments du peuple, frustré de ses conditions de vie et de l’impossibilité de les changer, et qui se retourne donc contre l’ennemi du dehors.

Il est étonnant que les intellectuels – ou ceux qualifiés d’élite dans le monde arabe – se soient mis à rivaliser entre eux pour gagner l’admiration des masses avec des cris et des hurlements, sans prendre le temps de réfléchir et de considérer les causes du retard actuel, de l’effondrement de l’éducation et de la détérioration des services publics de base.

Ces intellectuels se sont mis à saliver face au mirage du pouvoir et de l’autorité politique que certains d’entre eux ont perdu, [laissant à d’autres], qui refusent les méthodes scientifiques de recherche, la tâche d’analyse et étudier la situation.

La Ligue arabe a-t-elle jamais convoqué un sommet arabe pour discuter de l’état de l’éducation dans le monde arabe? Le Japon se plaint du déclin de son niveau éducatif; les Etats-Unis ont fait de l’éducation l’un de leurs chevaux de batailles aux élections, et les dirigeants européens se sont réunis à maintes reprises pour évoquer ce qu’ils qualifient de ‘désastre éducatif’ sur leur continent (…)

Cette nation [arabe] a besoin d’un dialogue rationnel, mené avec calme, loin des projecteurs, où les intervenants n’auraient pas pour principal souci de composer des lettres de reconnaissance et de soutien au chef d’Etat du pays d’accueil – un dialogue sur un seul et unique thème: pourquoi sommes-nous aujourd’hui en retard?

Ce thème nécessite incontestablement que les intellectuels authentiques mettent de côté leurs sentiments pour parler en toute franchise des obstacles au développement, développement sans lequel il est inutile de s’interroger sur l’éventualité d’une guerre. La nation arabe a traversé une phase où ‘nul appel ne passe avant l’appel à la guerre’. La nation a donc vécu un certain temps sous l’emprise de cet appel, jusqu’à ce que ce slogan ait fait place à un autre slogan: ‘unité [panarabe], liberté et socialisme’, que certains ont ensuite remplacé par celui de ‘l’islam est la réponse’, pour en arriver finalement au slogan: ‘la mère de toutes les guerres (…)’

Nous devons renoncer à nos fantasmes pour nous pencher sur notre histoire dans le seul but d’en tirer des leçons et de profiter de notre expérience – et non pour enivrer les esprits des générations futures de [récits] d’actes et de conquêtes héroïques.»

Les intellectuels arabes doivent se sentir responsables de la société arabe

Dans un article intitulé: «Les intellectuels pourront-ils reprendre la place des enturbannés sur la scène?» [5] , Mustafa écrit: «Quand Saddam Hussein a envahi le Koweït, les soi-disant experts ont mentionné une théorie de complot – par lequel l’Irak serait tombé dans le piège tendu par l’ambassadeur américain April Gillespie. Tout cela parce que Gillespie a dit à Saddam que le gouvernement américain considérait le conflit entre l’Irak et le Koweït comme une affaire arabe [interne]. Il est curieux que ces [spécialistes] acquittent le président irakien de toute mauvaise intention envers le Koweït et ses voisins (…)

Aujourd’hui, Israël devrait se monter reconnaissant à l’égard des chefs du Hamas et du Djihad islamique, car ils lui ont donné l’occasion d’humilier leur peuple [le peuple palestinien] en toute liberté, devant les lentilles de la télévision [les caméras], de façon pire encore que ces cinquante dernières années. Ils [les chefs du Hamas et du Djihad islamique] ont commis la plus grande des tromperies à l’égard de leur peuple et de leur jeunesse en prétendant que les opérations menées contre [Israël] libéreraient leur terre usurpée. J’ai beaucoup de mal à comprendre ces personnes, qui prétendent que ce que le peuple palestinien subit est le résultat inévitable d’Oslo. Leurs actions actuelles contribueront-elle à améliorer le sort des Palestiniens?

Le mensonge et l’hypocrisie de ces intellectuels et responsables religieux, leurs discours superficiels et leur logique tordue: voilà ce qui plonge la nation dans un abyme dont nous n’apercevons pas le fond (…) Comme j’aimerais que les intellectuels et les guides religieux s’unissent pour désigner les véritables insuffisances et imperfections, [s’écartant] du mythe de nos ancêtres et des légendes héroïques! (…)

Eloignez-vous d’eux et de leurs fatwas d’un autre temps qui ne servent à personne. Vous devriez propager le réalisme, non les fantasmes illusoires. Vous devriez comprendre que les malheurs qui assaillent actuellement la nation proviennent de l’histoire inventée que vous avez inculquée aux différents peuples arabes. Quelqu’un parmi vous peut-il désigner une période éclairée de notre histoire, un bienfait humanitaire que nous aurions accompli en ce dernier millenium?

Ce peuple, oppressé depuis des temps anciens, ne sait pas, ne comprend pas quels sont ses intérêts. Il ne sait pas non plus comment conduire ses affaires, et tâtonne dans l’obscurité, car aucune lumière ne brille au bout du tunnel. Je n’ai entendu aucun enturbanné évoquer le Rapport arabe sur le développement humain – un rapport choquant pour tout être doté d’intelligence, car ces [enturbannés] vivent de la propagande pour le djihad et la victoire sur l’ennemi.

Tout ceci est grotesque et doit prendre fin; les intellectuels authentiques doivent abandonner leur hypocrisie et prendre la place des enturbannés sur les devants de la scène, ces derniers ayant conduit leurs peuples à un nouveau désastre dont les principales caractéristiques sont facilement identifiables (…)»

Obsédés par le passé

Dans un article intitulé «Les Arabes et l’histoire» [6] , Abou Ahmed Mustafa écrit: «L’Arabe est amoureux du passé et du plaisir de ses histoires et légendes, hésite beaucoup à se tourner vers le présent et est terrifié à l’idée de contempler l’avenir. Un cas qui devrait être étudié et analysé par les spécialistes des sciences sociales et politiques.

Il n’est pas peu courant, dans les cas de désespoir, d’échec et de vide idéologique, qu’un individu se réfugie dans ce qui lui apporte un sentiment de gloire et de fierté, le sentiment que ses origines ancestrales sont supérieures à toutes les autres – même si elles sont fausses et imaginaires. Cette culture figée du passé a régné sur l’esprit arabe et l’a guidé depuis plus de dix siècles. Cette culture du passé n’est pas en mesure de surmonter les retards accumulés, responsables de la corruption de l’esprit et du comportement arabe.

Ceux qui contemplent l'[état] actuel du [monde] arabe ne peuvent que témoigner de son retard effrayant dans tous les domaines – social, politique et idéologique (…) Tous ces gens seront choqués de l’énorme quantité d’ouvrages et de débats diffusés sur les chaînes satellite qui encouragent la société à réfléchir davantage à la vie de nos vertueux ancêtres et à lui prêter une attention accrue – non dans le but d’en tirer des leçons mais dans celui de les imiter, en complet décalage avec l’époque moderne.

Il est malheureux que beaucoup s’efforcent d’attribuer le fossé qui nous sépare de l’Occident – ou même de l’Asie de l’Est – dans les domaines scientifique, social et politique, au colonialisme, ancien ou contemporain. Ils essaient de persuader le peuple que si la [nation] arabe est tombée aussi bas, c’est parce qu’elle ne s’est pas rattachée aux principes religieux. Même les catastrophes naturelles que nous avons endurées viennent, d’après eux, nous punir de n’avoir pas suivi les [enseignements] religieux à la lettre. Nul n’ose remettre en question ces déclarations, ni en débattre. Ceux qui le font [malgré tout] sont accusés d’apostasie et d’hérésie, ou pour le mieux de laïcité – même si [ces accusateurs] n’ont pas la moindre idée de ce qu’est la laïcité.

Une enquête portant sur le développement de l’Occident face au retard qui nous poursuit nous amènerait à une étude comparée des mentalités arabe et occidentale. On notera que l’Arabe se focalise sur le passé, y vit et aspire à y retourner, se rattachant à tout ce qui s’y rapporte: les rituels, les coutumes et les fantasmes. Parallèlement, la mentalité occidentale s’est détachée de ces aspects, ne les considérant pas comme essentiels à la réalisation des aspirations de la société et du peuple. Elle a ainsi relégué les sujets [se rapportant au passé] à un petit nombre d’individus dont ils sont la spécialité et qui en tirent profit. Ces derniers ne se réclament toutefois pas de la sainteté, pas plus qu’ils ne la refusent aux autres. On entend parler d’institutions religieuses occidentales qui poursuivent en justice ceux qui sont à la tête de ces institutions, sans pour autant qu’on leur en tienne rigueur [aux institutions] (…).

L’Occidental considère que l’esprit de la religion prime sur ses écrits, que la religion est un devoir individuel ne pouvant être imposé par un petit groupe de personnes qui prétendent détenir la vérité alors que nul ne leur a accordé le droit de harceler les autres au nom de leur croyance en l’immuabilité des Ecritures.

Les sociétés occidentales n’ont pas accompli leurs progrès scientifiques, ni développé leurs institutions, en ressassant le passé, mais en s’efforçant de donner la priorité au présent et de tirer la leçon des crises révolues (…), attitude qui permet à une société d’être en constante évolution et lui évite de se rattacher de façon rigide à la lettre des Ecritures.

En considérant la société arabe dans son ensemble dans les domaines de la langue, de l’histoire et du retard, nous constatons qu’elle n’a pas connu une lente accumulation de connaissances ou un progrès graduel de ses institutions, mais des épisodes récurrents de lutte, de compétition négative et de rejet de l’autre, prétendant toujours détenir l’autorité divine.

Nous ne pouvons attribuer le retard à une courte étape [historique] ou au règne colonial, qui a pris fin voilà plus d’un demi-siècle. Nous devons admettre qu’il résulte de notre stérilité intellectuelle et de notre mauvaise approche des événements passés et de leurs conséquences.

La peur d’ouvrir les vieux dossiers pour en débattre et découvrir les causes des ondes de choc responsables de fissures difficiles à cacher – cette peur contribue inéluctablement à l’avènement de nouveaux complexes, tumeurs et blessures. Une société qui vit dans la peur évite de chercher les raisons de cette peur et d’apprendre à s’ouvrir à la culture des autres. [Une telle société] ne pourra jamais être en paix avec elle-même, ni transmettre ce qu’elle a accompli de positif aux générations [futures].

Une société qui vit dans le secret et l’isolement, rejetant tous ses maux sur les autres, ne pourra que rester enfermée dans sa coquille et prise dans la toile qu’elle s’est tissée toute seule, à force de passivité, de mensonges et de fantasmes. Les sociétés qui nous ont dépassés dans tous les domaines ne sont ni gênées ni honteuses de se mettre à nu – elles n’en souffrent pas. Au contraire, en agissant ainsi, elles font un effort supplémentaire pour se libérer de leurs complexes et des résidus du passé (…)»


[1] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), le 8 mai 2002.

[2] Guillemets dans le texte original.

[3] Jihad al-nafs , ou la lutte totale pour vaincre son mauvais penchant. Ce concept a été développé par la pensée soufie.

[4] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), le 9 juin 2002.

[5] Al-Sharq Al-Awsat ( Londres ), le 26 septembre 2002 . Par «les enturbannés», l’auteur se réfère aux oulémas, autorités musulmanes

[6] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), le 27 octobre 2002.

Voir aussi
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