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21 July 2003
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Nouveau discours de Ben Laden

Dernièrement, un certain nombre de forums islamistes ont affiché sur Internet un nouveau discours du guide d’Al-Qaïda, Oussama Ben Laden. Dans ce discours, d’une durée approximative de 90 minutes, Ben Laden engage une controverse avec des dignitaires religieux saoudiens sur le sens du djihad. Voici quelques extraits du discours: [1]

Sans hijra et sans djihad, il n’y aura pas d’Etat islamique.

«(…) Depuis la chute de l’Etat du califat islamique, des régimes n’obéissant pas aux règles du Coran ont vu le jour. Pour tout dire, ces régimes luttent contre la loi d’Allah. Malgré la multiplication des universités, des écoles, des ouvrages, prédicateurs, imams et mosquées, ainsi que du nombre de [personnes qui récitent] le Coran, l’Islam bat malheureusement en retraite, car les gens ne suivent pas la voie de Mahomet (…)

Afin d’instaurer l’Etat islamique et de propager la religion [l’islam], [cinq conditions] sont requises : le regroupement d’individus, la possibilité de se faire entendre, l’obéissance, la hijra [2] et le djihad. Ceux qui voudraient asseoir l’islam sans hijra et sans sacrifices de djihad dédiés à Allah ne comprennent pas la voie de Mahomet (…)»

Les pays islamiques sont responsables de la chute des taliban

«Nous n’avons plus actuellement de pays propice à la hijra. L’occasion s’est présentée [de créer un pays adapté] – une occasion unique. Depuis la chute du Califat, les croisés s’appliquaient à empêcher le véritable islam de fonder un Etat. [Puis] Allah a décrété les événements en Afghanistan, et l’URSS a attaqué [l’Afghanistan]. Les Croisés ont [alors] abandonné leur détermination [à prévenir l’avènement d’un Etat islamique] face à la menace soviétique. Ils n’avaient d’autre choix que de repousser l’URSS par tous les moyens possibles et imaginables, en ayant même recours à l’aide des moudjahidine, des fondamentalistes et des jeunes guerriers du djihad de l’islam.

C’est ainsi que les portes se sont ouvertes. Mais malheureusement, dix ans plus tard, la nation [islamique] – et plus particulièrement les dignitaires religieux, les prédicateurs, les prêcheurs et les universités islamiques – ne se sont pas pliés à leurs obligations. Ceux qui sont venus en terre de djihad soutenir les musulmans et les moudjahidine représentaient une poignée de jeunes issus de la nation [islamique], auxquels s’ajoutaient les fonds octroyés par quelques marchands; cela n’était pas suffisant pour créer un Etat fort détaché des contingences tribales et géographiques. Nos frères afghans ne sont retrouvés dans une situation sans précédent, où la création d’un Etat islamique basé sur des critères islamiques, et non nationaux ou géographiques, était possible. Mais malheureusement, (…) ce fut une occasion manquée. Je rappelle les faits pour vous dire que les choses ne sont pas si simples, et qu’aujourd’hui, elles le sont encore moins.

Par la suite, Allah a permis la création de l’Etat des taliban. Les taliban ont créé [un Etat], mettant fin aux conflits qui divisaient les Afghans. Ils sont restés à peu près six ans au pouvoir. Mais les gens demeuraient prisonniers d’idées arrêtées et des médias internationaux, lesquels ont lancé une folle offensive contre les taliban, salissant leur réputation (…)

L’Afghanistan ne se trouve qu’à quelques heures de la Péninsule arabique et des pays du monde islamique (…) mais l’Etat des taliban a disparu sans que personne ne lève le petit doigt. Je suis convaincu que, par la grâce d’Allah, cette nation a les moyens d’instaurer l’Etat et le califat islamiques, mais nous devons informer les forces concernées que c’est leur devoir d’agir dans ce sens. Parallèlement, nous devons informer les autres forces, celles qui restreignent ces premières, qu’elles pèchent par leurs agissements (…)»

Le commandement du djihad face aux autres commandements

«Certains affirment, et ce n’est pas là un secret, que le djihad ne nécessite pas [la participation] de toute la nation; ils disent vrai, mais le sens qu’ils donnent à leurs mots est erroné. Il est vrai que le djihad ne peut inclure toute la nation aujourd’hui et que seule une infime partie s’occupe de repousser l’ennemi agressif. Mais le djihad demeure néanmoins un commandement qui incombe à chaque musulman. Elles [les autorités religieuses des régimes désignés] ne sont toutefois pas d’accord avec nous et disent: ‘Si nous vous en envoyions quelques milliers, vous ne parviendriez pas à les mobiliser tous. Il n’est pas logique d’ignorer toutes les autres violations pour ne se consacrer qu’au djihad (…)’

En devenant un commandement personnel, le djihad devient la première des priorités; or il ne fait aucun doute qu’il en est un, comme l’a décrété Cheikh Al-Islam [Ibn Taymiya, maître spirituel du wahhabisme]: ‘Il n’est pas de devoir plus important que celui de repousser l’ennemi agressif qui corrompt la religion et le monde – hormis [le commandement de] la foi elle-même.’

Il n’y a pas lieu de dire que si tous partaient en djihad, le djihad ne pourrait les inclure tous. Une telle affirmation est le produit d’une carence anormale de la loi religieuse et de la soumission anormale aux [valeurs de] ce monde. Quand le nombre [de moudjahidine] sera suffisant pour repousser l’ennemi agressif, le djihad passera automatiquement du stade de commandement personnel à celui de commandement collectif (…) Ceux qui prétendent que le djihad est un rituel d’une importance capitale, mais qu’il y a d’autres rituels [tout aussi importants], ne comprennent pas la voie de Mahomet (…)»

Des autorités qui évitent d’inciter au djihad

«Il est fort regrettable que de jeunes gens capables de se sacrifier pour la religion souffrent d’écouter des responsables religieux qui se dérobent [au commandement de djihad]; ces derniers ne doivent pas être entendus. Ainsi ces forces [à l’écoute des responsables] demeurent paralysées; ils [les responsables] les éloignent de l’obéissance à un commandement qui leur incombe personnellement, au profit de commandements collectifs, comme celui de l’étude. [Mais même] si tous devenaient des dignitaires religieux, il n’y aurait pas d’éveil religieux sans que soient remplies [les cinq conditions] de regroupement, écoute, obéissance, hijra et djihad (…)

Un grand mal se répand de bout en bout du monde islamique: les imams qui attirent le peuple en enfer sont ceux que l’on voit le plus au côté des chefs d’Etat de la région, des souverains du monde arabe et islamique. A travers les médias et leurs propres dispositifs, à travers la ruine du pays perpétrée au moyen d’idées destructrices et de lois créées par l’homme, (…) ils appellent, du matin au soir, les peuples aux portes de l’Enfer (…)

L’hérésie contre Allah et son Prophète intervient au grand jour: dans les journaux, à la télévision et la radio, aux symposiums, et personne ne s’élève contre elle (…) Dans une telle situation, seul [le djihad] passe avant tous les autres commandements, hormis celui de la foi (…). Cette obligation prioritaire est actuellement passée sous silence par les responsables religieux. Tous, sauf ceux qui ont bénéficié de la clémence d’Allah, sont occupés à louer et encenser les imams despotiques [les souverains arabes] qui n’ont pas cru en Allah et Son Prophète. Ils envoient des télégrammes louant ces dirigeants qui n’ont pas cru en Allah et Son Prophète. Leurs journaux et médias propagent l’hérésie contre Allah et Son prophète. D’autres télégrammes leur parviennent de ces mêmes dirigeants qui les félicitent de tromper la nation.

La nation ne s’est jamais trouvée assaillie par une telle catastrophe. Autrefois, il existait bien quelques imperfections. Aujourd’hui, ces dernières touchent tout le monde, du fait de la révolution des communications et du fait que les médias ont accès à toutes les demeures. Nulle habitation, en ville ou dans le désert, n’est épargnée par la fitna [lutte interne]. Et nul ne sera épargné (…)»

Les responsables religieux sont des fonctionnaires

«Les responsables religieux sont les prisonniers et les otages des tyrans. Certains m’ont dit: ‘Nous ne pouvons pas dire la vérité [parce que nous sommes dans la fonction publique] (…)’ Les jeunes gens doivent comprendre la nature du lien qui unit aujourd’hui les fonctionnaires au chef d’Etat. Un employé de l’Etat est un employé de l’Etat (…) Il est étonnant que certains refusent que nous les liions au dirigeant tyrannique, vu la situation (…)

Le véritable rôle de certains fonctionnaires est d’être de faux témoins, comme dans le cas du ministre de l’Information. Lui et son dispositif trompent quotidiennement l’opinion publique en décrivant le pays comme le meilleur des pays et son souverain comme un génie inégalé. De même, le ministre de la Défense trompe le peuple avec de faux témoignages, qualifiant la situation de bonne, nos forces armées de bonnes, alors que nous nous trouvons sous occupation depuis plus de dix ans. Le monde entier sait que nous sommes sous occupation et que les avions américains décollent quand bon leur semble, sans notifier qui que ce soit, la nuit comme le jour. Puis le ministre de la Défense assure: ‘Nous sommes indépendants: nul n’utilise notre terre sans notre approbation.’ Ceci est un faux témoignage. Dieu soit loué, le peuple sait qu’il s’agit là d’employés de l’Etat. Le danger ne provient toutefois pas du ministre de l’Intérieur et de ses subalternes, car quoi qu’ils fassent, ils ne parviendront pas à tromper qui que ce soit (…).

Le véritable danger provient de la fausseté des imams qui commettent de faux témoignages tous les matins et tous les soirs, menant la nation à sa perte; c’est encore pire quand le faux témoignage provient de la maison d’Al-Haram [la mosquée de la Mecque] et de la Kaaba [la Pierre noire, à la Mecque] (…)

Le faux témoignage est l’un de pires péchés qui soient, pire encore lorsqu’il est commis dans la maison d’Al-Haram chaque vendredi et à chaque occasion possible dans le but de conduire une nation entière à la perdition en échange de quelques pièces (…) Combien grand est le péché de celui qui le commet. Voilà des fonctionnaires vers qui nul être raisonnable ne peut se tourner pour poser des questions d’ordre religieux. Le moins que l’on puisse dire de ces responsables religieux qui défendent les tyrans, c’est, comme l’a affirmé Cheikh Mohammed ben Abd El-Wahhab, qu’ils sont corrompus. Le peuple doit les boycotter et les bannir.»

L’islam cesse d’exister quand le souverain est un infidèle

«[Ils se sont trompés], ceux qui voulaient faire croire que la religion pourrait exister alors même que l’imam [en référence au souverain] ne croyait pas en Allah et en Son Prophète il y a cent ans, époque où il s’est imposé par la force des Anglais, le soutien des Anglais, les armes anglaises et l’or anglais [en référence à la famille de Hussein ben Ali qui, pendant la première guerre mondiale, a comploté avec les Britanniques contre le califat ottoman] (…) Il est inconcevable que la foi et la religion règnent si l’imam est un infidèle. Cela doit être bien clair: si l’imam est un infidèle (…), l’islam cesse d’exister; une action doit [alors] être entreprise pour mettre en place un imam [fidèle] (…)

Les chefs d’Etat de la région nous trompent en soutenant les infidèles, puis prétendent qu’ils suivent l’islam. Ce qui accentue encore cette tromperie est l’institution d’organismes destinés à mener le peuple à sa perte. Les gens peuvent se demander comment des organismes occupés à étudier la loi islamique et la jurisprudence peuvent jouer un tel rôle, que ce soit ou non en connaissance de cause. Le but du régime qui diffuse les fatwas de responsables religieux [infidèles] par télévision satellite et radio n’est pas [de propager la connaissance de la loi islamique] – si c’était le cas, le régime ferait entendre des prédicateurs fidèles; l’objectif de ces autorités est de se servir de ces religieux en temps voulu.

Par exemple, quand le régime a décidé de faire venir les forces croisées américaines sur la terre des deux lieux saints [l’Arabie Saoudite], suscitant la colère des jeunes, ces organismes [de responsables infidèles] (…) ont émis des fatwas et loué le comportement du dirigeant, l’assimilant aux Wali Amr [hommes d’autorité, en référence à l’injonction coranique d’obéir aux autorités musulmanes], alors qu’il ne faisait pas vraiment partie des Wali Amr parmi les musulmans. Il faut être vigilant.

Les gens peuvent se demander comment il est possible que Cheikh «untel» , respectable cheikh âgé aux connaissances religieuses étendues, soit capable de vendre sa religion pour une maigre somme de ce monde. Je dis qu’aucun homme n’est à l’abri de l’erreur. En nous penchant sur l’histoire islamique de ces derniers siècles, nous nous apercevons du grand nombre d’exemples similaires (…) De nombreux responsables religieux ont trompé [le peuple] face aux menaces de coups, d’emprisonnement et peut-être même de mort [venant des régimes]; seul quelques-uns ont résisté dont, comme vous savez, l’imam Ahmed ibn Hanbal (…)

Le régime accorde un énorme budget à ces organismes [de responsables infidèles] dont le rôle est de légitimer le régime (…) Imaginez! Les bureaux de l’Autorité religieuse [en Arabie Saoudite] sont adjacents au palais royal, et l’immeuble de l’Autorité des fatwas d’Al-Azhar est adjacent au palais de la république de Hosni Moubarak (…) Dans une telle situation [où même les bureaux sont impliqués], il est raisonnable de demander aux responsables qui reçoit son salaire du roi. Quelle est la règle à suivre vis-à-vis du roi? Le roi doit-il aussi être considéré comme soutenant les infidèles? (…)

Les fonctionnaires endossent leur habit et reçoivent des titres pompeux, mais ils sont en vérité des fonctionnaires (…) Nous avons appris de leurs ouvrages que l’une des 10 actions contraires à l’islam est de soutenir les infidèles. Dans les forums fermés, ils nous parlent franchement; mais en public ils ont peur, et donnent d’autres [interprétations].

L’esprit du martyre est notre force et notre arme, au nom de la survie de notre religion et de la résistance à toute tentative intérieure ou étrangère de déformation de notre religion.

Le djihad est le moyen d’accéder à la vérité est d’abolir le mensonge. C’est pourquoi les jeunes gens (…) qui aiment la religion et se sacrifient pour Allah doivent se méfier de ces employés de la fonction publique et de ceux qui se dérobent au djihad (…) En conséquence de la révolution des communications et des énormes progrès accomplis dans ce domaine (…), ces jeunes gens entendent parler dès le plus jeune âge de télégrammes que le cheikh ‘untel’ a envoyé au roi et de télégrammes qu’il a reçus du roi, et peuvent voir le cheikh ‘untel’ se tenir au bras droit du roi chaque lundi, et ainsi de suite (…) Le public, impressionné, se dit: ‘Si ce roi n’était pas bon, le cheikh ‘untel’ ne lui rendrait pas visite.’ Ils ignorent le fait que ceux qui vont voir le roi dépendent tous du Bureau royal ou du ministère de l’Intérieur [et ne sont pas des religieux indépendants et fidèles] (…)

Aucun point de la loi religieuse de Mahomet n’est respecté par les responsables religieux et les sultans de la fonction publique, car ces derniers ne connaissent pas la voie d’Allah. Nous devons être conscients du fait que pour être pieux, il nous faut manifester notre hostilité aux gens du mensonge (…)

Les religieux fidèles possèdent les caractéristiques définies dans le livre d’Allah (…) Les principales sont la foi et le djihad pour Allah (…) Ceux qui exercent la hijra ou soutiennent Allah et Son Prophète, menant le djihad pour Allah, sont fidèles (…) Ne le sont pas ceux qui voient les dirigeants appuyer les infidèles [sans rien dire] et n’exercent pas le pouvoir conformément aux instructions d’Allah, ceux qui louent les tyrans et ignorent les tours des banques situées à proximité de la mosquée d’Al-Haram, lesquelles prennent des intérêts [interdit dans l’islam] (…) Aucun religieux fidèle n’ira dire que les intérêts ne représentent pas un grand péché (…)

Une donnée fondamentale est que la terre [des deux lieux saints: l’Arabie Saoudite] est occupée [par l’armée américaine] et que cela étant, le premier commandement après celui de la foi est de repousser l’ennemi agressif. Leurs déclarations [des souverains saoudiens] témoignent de leur situation. Dans une interview accordée à certaines agences de presse mondiales, le prince [saoudien] Talal Ben Abd El-Aziz a déclaré: ‘Quand bien même nous demanderions aux forces américaines de partir, elles ne le feraient pas’. Voilà qui est franc. Le ministre qatari des Affaires étrangères a, pour sa part, dit: ‘Si nous demandons au gouvernement américain et aux forces américaines de quitter le Qatar, nous serons effacés de la carte.’

La terre est occupée dans tous les sens du terme. Malgré cela, les gens sont accaparés par toutes sortes [d’autres] rituels. Nous devons faire en sorte que le point de départ soit le djihad pour Allah, de nous préserver de ceux qui s’y dérobent, et de [nous engager] à la hijra et au djihad pour Allah. Tout cela est obligatoire dans la situation actuelle, afin d’établir la vérité et d’abolir le mensonge.»


[1] Le discours a été affiché en trois parties:

1ère partie: http://www.jahra.org/free/131313/Hamza3.wma
2ème partie : http://www.jahra.org/free/131313/Hamza5.wma
3ème partie : http://www.jahra.org/free/131313/Hamza6.wma

[2] Détachement du monde de l’hérésie dans le but d’établir et de renforcer une communauté de croyants suivant la voie du prophète Mahomet.

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